Accueil. Soxaril: manuel de la langue impériale

21 Exemples

21.1 Se connaître

Comment tu t’appelles ? Je m’appelle Zangsa.Bu (ya) nano-la ? Zangsa nano. Mon nom est Zangsa.Ji ya nano ba Zangsa-fu. Je m’appelle Celui Qui Sait Tout.Ji du Swo ho Fugao Shu nano. Tu as quel âge ? J’ai vingt-trois ans.Bu du buma-la ? bitol-dan yixu ho lin.bu du yixu ho lin ja zal-la ? bitol-dan ho lin. Est-ce que tu as un chien ?Paochi ho lin-fe ? Oui. Il est âgé de deux ans.Sie. bi buma. Oui. Il a deux ans.Sie. bi yixu ho lin. En fait, non, j’ai menti. Je n’ai pas de chien. Par contre, j’ai une poule.Gandiade, uso-mena. paochi ho yus lin. ugai, pugpug ho lin. Tu mens souvent, toi ?Bu, uso-sowa-fe-boe ? Je rigolais, c’est tout, crois-moi.Ustu chista-losie. Enfin, qu’importe. Tu n’es pas d’ici, hein ?Ga-fu. bu du yus xuaynin-fe-lô ? Non, pas du tout. Je ne suis pas d’Osha.Nishiwo. ji du yus Osha-dire-fu. Quelle est ta taille ? Un mètre soixante (centimètres).Bu ya zaxu-la ? fa undi tsatol (uzafahundi). Moi, je mesure presque deux mètres.Ji, koyege bi undi ge zaxu-to. Tu es un géant. Quel est ton métier ?Artse shu-fu-lô. porta-la ? Je suis forgeron. Et toi ?Dechexanshu-fu. bu du la ? Je suis quêteur/aventurier.Doxirnin-fu. Oh ! Je devrais peut-être te forger une épée, alors.O ! ja, bu ya bun li zam ho deche-to-xabao-feyusfe-lô. Ce n’est pas la peine, pour l’instant, mais vraiment merci pour l’offre.Da bai du-pe, yus xayi, ambo bu ya toshimaria ja gabi shishiel lô. De rien. Je n’allais pas le faire gratuitement, de toute façon, haha !Iraga ufun. sogarila, ji du chakapin ge meyus dwo-bao-xama, xaxa ! Je m’en doutais.Tsai ho danlai-lô. Tu as beaucoup de travail ?Goyka ba afil-fu-fe ? Tantôt oui, tantôt non.Sie-bai yus-bai. Est-ce que tu es marié ?Niya-fu-fe ? Oui, j’ai même deux enfants. Et toi ?Sie, xoga bi chuge ho lin. bu du la ? Je suis célibataire. Tes enfants ont quel âge ?Chiber-fu. bu ya chuge du buma-la ? Mon fils a seize ans. Ma fille a vingt ans.Ixo ba toltsa, aode ba bitol. Je devrais te la présenter, tiens.Oshima, bu li aitsu ho lie-to-suren ja xushi. Haha, un aventurier comme moi ne lui plaira pas, je le crains.Xaxa, doxirnin-fu ji ba aitsu li yus runja-xoshad. Tu habites Osha ?Osha li baibuay-fe ? Non, je vis dans la montagne, sur le Mont-d’Or, dans le village de Gnawoul.Yus, xuashor li baibuay, Tinshor li, Ñawul ya ruts li. Oh, c’est un bel endroit. Les arbres ont tous des feuilles dorées en été.O, ruxe toki-fu-lô. amiyi li, so ar-bo ya kufa du shain-fu. Oui, je m’y plais beaucoup (j’aime beaucoup), franchement.Sie, jan zama, gandiade. Ta maison est grande ?Bu ya naguan ba ogon-fu-fe ? J’habite dans le Pavillon du Nuage Doré. Il a de très belles vues.Shain Suan ya Baladuin li baibuay. lamar ruxe gaoria ho rere. Ah, tu me donnes envie d’y aller !A, xolaligo guay-son ! Haha, Osha est aussi une belle ville. Le Lac Étoilé est magnifique.Xaxa, Osha xoga ruxe shino-fu. Woshi ya Ganju ba kowasha-fu-lô. C’est vrai, c’est beau, tu as raison, héhé.Ruxe-fu-losie, nishiwo-xama.

21.2 Corps humain

Ma main gauche a cinq doigtsYaska ya esku du ol eusa ho lin. J’ai deux coudes.Ji du bi atsas ho lin. J’ai deux épaules.Ji du bi erozoe ho lin. J’ai une tête.Ji du fa maira ho lin. J’ai deux joues.Ji du bi pingoe ho lin. J’ai un front.Ji du fa zoxara ho lin. J’ai deux talons.Ji du bi todinosa ho lin. J’ai plein de cheveux.Ji du afil arfisa ho lin. J’ai un cheveu blanc.Ji du fa saal fisa ho lin. J’ai dix orteils.Ji du tol eute ho lin. J’ai un cerveau. (je pense)Ji du fa duruhaka ho lin. (lai-lô) J’ai un torse.Ji du fa antel ho lin. Je parle avec ma langue.Ji du iltsa ge behil. Mon menton est pointu.Ji ya mikimi du diniye-fu. Mon dos est large.Ji ya uyel du ginpe-fu. J’ai deux jambes.Ji du bi bahun ho lin. J’ai deux genoux.Ji du bi xuhira ho lin. Ma taille est fine.Ji ya rapichuhe du sose-fu. J’ai deux pieds.Ji du bi bei ho lin. Je n’ai pas desserré/décollé mes lèvres (je me suis tu).Ji du somo ho yus gurats. Il m’a serré la main. (sans ménagement)Aitsu du ji ya esku ho turi. Il m’a serré la main. (salut)Aitsu du ji li kuturi. Il m’a serré la main. (salut)Aitsu du ji ya esku ho saturi. Il m’a serré la main. (avec affection)Aitsu du ji ya esku ho sachuri.

21.3 Dates

21.3.1 Jours de la semaine

Lundifadari Mardibidari Mercredidandari Jeudiledari Vendredioldari *Samedikadari *Dimancheindari

21.3.2 Mois

JanvierFabin FévrierBibin Marsdanbin Avrillebin Maiolbin Juintsabin Juillettinbin Aoûttwanbin *Septembrekimebin Octobretolbin *Novembrezibin *Décembresayabin

21.3.3 Heures

Montre, horlogefakorka Heurefak Quelle heure est-il ?Fak-la ? / ao li fak-la ? / Fak dai-la ? Midi pileSohoso shiyagina-fu. Trois heures pileSohoso dan fak-fu. La demieFak miu-fu Le quartFak liu-fu Moins le quartLiu xoro (fak) fu Il est sept heures de l’après-midi.Shiginyago ya tin fak-fu. Il est trois heures du matin.Zuyshi ya dan fak-fu. Il est une heure.Fa fak-fu. Il est une heure et trois minutes.Fa fak dan fun-fu. Il est quatre heures dix.Le fak tol fu. / Le fak tol fun-fu. Il est quatre heures quarante.Le fak letol fu. / Le fak letol fun-fu. Il est cinq heures et quart.Ol fak yo liu-fu. Il est cinq heures moins le quart.Liu xoro ol fak-fu. Il est quatre heures moins dix.Tol xoro le fak-fu. Il est sept heures et demie.Tin fak yo miu-fu. Il est venu à six heures moins dix.Aitsu du tol xoro tsa fak li kai-mi. J’irai à cinq heures et quart.Ji du ol fak yo liu li guay-gura. Par conséquent, il est deux heures vingt-cinq.Ariago, bi fak bitolol fu. / Ariago, bi fak bitolol fun-fu.

21.3.4 Date complète

Il est sept heures et demie et nous sommes le quinze août mille-neuf-cent-quatre-vingt-treize… que dis-je, on est en deux-mille-vingt-cinq.Tin fak yo miu-fu, yo gontsi yo tuleshor tuletoldan ya yixu… aya… bi gontsi bitolol ya yixu li twanbi ya tolol shi-fu.

21.4 Conjugaisons, temps

J’ai pris.Ji du bura. Je pris.Ji du bura-mi. / ji du bura-to-mi. / ji du bura-xe-mi. J’avais (déjà) pris.Ji du bura-mi. / ji du laxai bura-mi. Je prends.Ji du bura-xe. J’ai marché.Ji du zuguay. Je marche.Ji du zuguay-xe. Je suis en train de marcher.Ji du zuguay-xal. Je continue à marcher.Ji du zuguay-xal-ran. Je suis en train de marcher longuement.Ji du zuguay-ranxal. Je marchais longuement.Ji du zuguay-ranxal-mi. Je marchais. (j’étais en train de marcher)Ji du zuguay-xal-mi. Je pris.Ji du bura-xe-mi. / ji du bura-mi. J’avais pris les clés.Ji du sixun ho bura-mi. Je mangerai.Ji du oñan-gura. J’aurai mangé.Ji du laxai oñan-gura. À ce moment, je serai déjà en train de manger.Dama bai li, ji du laxai oñan-gura-xal-lô. Si j’étais mort, je ne serais pas là.Ji du zai-sha pe yus xuay fu-lô. Si j’étais mort, tu pleurerais, n’est-ce pas ?Ji ba zai-sha pe bu du zuwe-xal-fe-yone. Si tu n’avais pas été là, je serais mort.Bu ba xuay yus fu-mi pe ji du zai-mi-lô. Si tu pars, je me mets à pleurer. (-xoy, d’avertissement)Bu ba tuanbe pe ji du zuwe-ñu-xoy. Si jamais tu partais, je me mettrais à pleurer sans nul doute.Omoxi bu ba tuanbe pe ji du zuwe-ñu-losie. Si tu étais allé plus lentement, tu ne serais pas tombé.Bu du chai lei ge guay pe, yus totora-mi-lô. Si j’avais su, je serais venu.Ji du fugao pe, kai-mi-lô. Si ça avait été plus loin, je ne serais pas venu.Chai tao ge fu pe, ji du yus kai-lô-jaga. Si c’est plus loin, je ne viens pas.Chai tao ge fu pe, ji du yus kai-bao-lô-jaga. C’est comme s’il avait mangé.Aitsu du pexoge oñan-mi. Je ne pense pas que tu aies changé.Bu ba otsoa-nante (ji du) yus lai-lô. Je m’étonne qu’il soit venu. (je pense qu’il n’est pas venu)Aitsu ba kai-nante yus lai-lô. Je m’étonne qu’il soit venu. (il est venu, et je m’étonne)Aitsu ba kai-nante yus danlai-lô.

21.5 Questions : -la

Quoi ?La ? / okaldu-la ? Combien de pommes as-tu mangées ?Bu ba lugu ho oñan zal-la ? Mais depuis quand tu sais faire ça ? !Bu ba tsai ho dwo-yao-ñu-nante bailige-la-boe ? Quand est-il parti ?Aitsu ba tuanbe bai-la ? Depuis quand est-il parti ?Aitsu ba tuanbe bailige-la ? Depuis combien de temps est-il parti ?Aitsu ba tuanbe ranbaige-la ? Jusqu’à quand il va continuer à faire le clown comme ça ?Aitsu ba xol-da berduskus-to-ran-bao bairin-la-boe ? Jusqu’où je vais ?Ji ba guay xuayrin-la ? Où vas-tu ?Bu ba guay xuay-la ? Tu vas vers où ?Bu ba guay xuayri-la ? Tu viens d’où, là ?Bu ba kai xuaylige-la-nanga ? Comment tu as fais ?Bu ba dwo xol-la ? Qui a été capable de faire ça ?Tsai ho dwo-yao shu-la ? Qui a osé faire ça ?Tsai ho oxad shu-la ? Qui ose faire ça ?Tsai ho oxad-bao shu-la ? Laquelle des personnes a été capable de faire ça ?Tsai ho dwo-yao shu dai-la ? Qui est capable de faire ça ? (qui est la personne qui à l’intention de pouvoir faire ça, qui pense pouvoir faire ça ?)Tsai ho dwo-yao-bao shu-la ? Qu’est-ce que tu cherches ?Bu du (la ho) shukin-la ? C’est quoi la chose que tu cherches ?Bu ba shukin okaldu-la ? depuis où ?Xuaylige-la Depuis quand est-il arrivé ?(Aitsu du) uchu ja la ranbaige-la ? Tous ces trucs, quel est l’ordre pour les ranger correctement ?Swo da mono ho xol-nishiwo ranpun yaxari surda-la ? Tous ces trucs, je les range dans quel ordre ?So da mono ho surda-la li ranpun-xabao-la ? Tu essaies d’arrêter quoi ? Cet appareil.Fu-la ho atoy-gaora-la ? da aparei ho. Tu essaies d’arrêter qui ? Le chat.Shu-la ho atoy-gaora-la ? mimao ho. Qu’est-ce que tu manges ?Oñan-la ? / oñan tsai-la ? Lequel est-ce que tu manges ?Oñan dai-la ? (/ dai-la ho oñan-la ?) Combien est-ce que tu manges ?Oñan zal-la ? Combien de pommes tu veux ?Lugu ho shin zal-la ? (/ shin lugu ba zal-la ? / zal-la lugu ho shin ?) Comment est-ce que tu manges ?Oñan xol-la ? Quand est-ce que tu manges ?Oñan bai-la ? Où est-ce que tu manges ?Oñan xuay-la ? Pourquoi est-ce que tu manges ?Oñan bila-la ? Dans quel but est-ce que tu manges ?La yaxari oñan-la ? Dans quel but est-ce que tu manges ?Oñan yaxari-la ? Qu’est-ce que tu as l’intention de manger ?Oñan-bao tsai-la ? Lequel tu as l’intention de manger ?Oñan-bao dai-la ? Vers où est-ce que tu vas ?Guay xuayri-la ? / xuay-la wei guay-la ? Vers où ?Xuayri-la ? / xuay-la wei la ? C’est à l’intérieur de quel endroit ?Xuay li fu-la ?/xuayan-la ? Qui est en train de manger ?Shu-la oñan-xal-la ? / oñan-xal shu-la ? Quel aventurier ?Doxirnin-dai-la ? Jusqu’à quand tu veux que je travaille ?Ji ba goykato ho shin ja bai-la tahin-la ? Jusqu’où tu vas ? Arrête-toi. (courant)Bu, guay xuay-la tahin-la ? atoy-xa. Vers quel endroit ?Toki-la wei la ? / toki wei la ? Vers quoi ? Vers lui.La wei la ? aitsu wei. Jusqu’où tu vas ? (question précise)Bu du guay xuayrin-la ? Jusqu’où tu vas ? Arrête-toi. (emphase : jusqu’à quel point)Bu, xuay-la tahin guay-la ? atoy-xa. Jusqu’où tu penses m’insulter ? (jusqu’à quel bord/fond)Bu, ji ho chaxil ja dien-la tahin-la ? Jusqu’où tu penses m’insulter ? (jusqu’à quel bord/fond)Bu, ji ho chaxil ja dien tahin-la ? Qui est la personne qui est en train de manger ?Oñan-xal da kata ba shu-la ? Pourquoi est-ce que tu manges ça ? Parce que j’aime ça.Daya ho oñan bila-la ? ji ba tsai ho zama bila. Combien de temps tu mettras pour arriver ?Uchu bai-tsoa-la ? Que se passe-t-il, mon oncle ?Xal-la, ozaba ? Tu pars où ça ? Quand ?Tuanbe xuay-la ? bai-la ? Qu’est-ce qu’on te voulait ?Bu du sasu-laho-la ? (formel) / araitsu du bu li ayo-la ? Qu’est-ce qu’on te voulait ? (quelle est l’affaire qui te lie à eux ?)Araitsu du bu li ayo-la ? Qu’est-ce que ça a à voir avec ça (quelle est l’affaire qui lie ça à ça ?)Tsai du tsai xotie ayo-la ? Quel rapport ?Ayoria-la ? Il m’a parlé de couleurs. De couleurs ? Comment ça ?Aitsu du ji li pangia ho begil. pangia ja ? fuisha-la ? / yaxaria-la ? / niwa-la ? / bila-la ? / begalto-hima. Où est-ce qu’il mange d’habitude ?Aitsu ba oñan-sowa xuay-la ? Qu’est-ce qu’il mange d’habitude ?Aitsu ba oñan-sowa-la ? / aitsu du la ho oñan-sowa-la ? (emphase) Que dirais-tu de te taire un peu ?Piska shuxu ja lai-la ? Quel âge a ton fils ?Bu ya ixo du buma-la ? Tu es où ?Bu du xuay-la ? Quel est le sens de la vie, je me demande.Daofa ba fuisha-la-lasul. Quel est ton intention en partant ?Bu ba tuanbe ya bao-la ? Quel est ton nom ?/Tu t’appelles comment ?Bu ya nano-la ? Quel est ton poste de travail/ton métier ?Bu ya banja-la ? Quel sera le champion ? (je me demande, on se demande)Shampishu ba shu-la-lasul. Quel sera le champion, je me demande.Shampishu ba shu-lasul. Lequel ? Celui-là ? Non, celui-ci.Da-la ? damaya-fe ? yus, daya. Lequel ?Dai-la ? Lesquels ?Ardai-la ? Laquelle ? Cette pomme-ci. Non, attends, plutôt… celle-là.Dai-la ? da lugu. aya, mushiro… damaya. Tu veux mes rubans pour quoi faire ?Ji ya ar zakuro ho shin yaxari-la ? Tu veux mes rubans pour quoi faire ?Yari-la, ji ya ar zakuro ho shin-nante ? On pourrait en avoir besoin si… —Si quoi ?Tsai ho xayi-felafe… —felafe-la ? Si, moi, ça… —Quoi ça ?Omoxi ji du tsai ho… —tsai ho okaldu-la ? / tsai ho la ? Si seulement, moi, à lui (objet), je… —Quoi à lui ?Owanshia ji du aitsu ho… —aitsu ho okaldu-la ? / aitsu ho la ? Si seulement tu… —Si seulement je quoi ?Owanshia bu du… —owanshia ji du la ? Si seulement ça avait été une raison pour faire ça… —Une raison pour faire quoi ?Owanshia tsai du tsai ho dwo yari bilaria-fu pe… —dwo-la yari bilaria-fu-nante ? Si j’avais pu faire ça… —Si tu avais pu faire quoi ?Omoxi ji du tsai ho dwo-yao pe… —bu du dwo-yao-la ? / bu du dwo-yao okaldu-la ? Mais de quel endroit tu parles ?Toki-la ja behil-nante, bu du ? C’est quel livre que tu as demandé ?Bu ba jiro baga du dai-la ? Pourquoi est-ce que tu as fait ça ?(Tsai ho) dwo bila la ? Pourquoi l’aurait-il fait ?Aitsu du dwo-nante bila la ? Mais pourquoi l’aurait-il fait ? ! (il l’a fait, mais on n’y croit pas encore)Aitsu du dwo bila la-boe ? À cause de quel trou il est tombé ?Aitsu du dai-la awa bila totora-la ? Dans quel trou il est tombé ?Aitsu du dai-la awa li totora-la ? Quel arbre ?Dai-la abol ? Tu vois quel arbre ?Dai-la abol ho gao-la ? Quel est l’arbre que tu vois ?Bu ba gao abol dai-la ? Quoi ? Comment ? C’est incroyable !La ? okaldu-la ? sugoy-fu-lô ! Tu pars pour faire quoi (dans quel but) ?Bu ba tuanbe yaxari-la ? Mais pourquoi s’est-il laissé frapper par ces voyous ?(Aitsu du) da argaifu li wan ho pegu-chi ya du bila-la-boe ? Mais pourquoi s’est-il laissé frapper par ces voyous ?Da argaifu li wan ho pegu-chi-nante bila-la-boe ? Mais pourquoi s’est-il laissé frapper par ces voyous ?Da argaifu li wan ho pegu-chi ja bila-la-boe ? Mais pourquoi s’est-il laissé frapper par ces voyous ?Da argaifu li wan ho pegu-chi bila-la-boe ?

21.6 Questions : -fe

Es-tu aventurier ?Doxirnin-fe ? Tu veux de l’eau ou du thé ? — Oui. — Idiot. C’est l’un ou l’autre. Fais le choix.Jua-fe bux-fe ho shin-la ? — Sie. — Tubao. Bistu fu-lô (/Pya ba fa ustu fu). Pyabura-xa. Est-ce que c’est ça ce qu’il mange d’habitude ?Aitsu ba oñan-sowa daya-fu-fe ? Tu dis que ma sœur est contente ?Dada ba shinpin ja il-fe ? Tu es là ?(Bu ba) xuay-fe ? Tu te sens malade ?Dug zao-tsoa-fe ? Tu ne t’es pas fait mal, au moins ?Yus aicha-fe-yone-nanga ? Mais tu m’aideras, pas vrai ?Ambo ji li jukama-gura-fe-yane ? Tu as bien dormi ?(Bu du) shasha oyu-fe ? Et ton gardien ? Il n’est pas avec toi ?Bu ya bonfainin du ? bu tie yus fu-fe ? On mangerait bien une pomme, non ?Lugu ho oñan-son-fe ? Tu es toi aussi chamane, non ?Bu xoga atsir-fe ? Tu n’es pas un renard, si ?Bu ba yus rifai-fe-yane ? Est-ce que tu as l’intention de partir ?Bu du tuanbe-bao-fe ? Est-ce que c’est une raison pour tuer ? !Gatsa ya bilaria-fe ? ! Est-ce que c’est une raison pour tuer ? !Zai-tomo ja bilaria-fe ? ! Est-ce que c’est une raison pour tuer ? !Zai-tomo bilaria-fe ? ! Est-ce que c’est une raison pour voler ? !Oyobi ja bilaria-fe ? Est-ce que c’est vrai ?Iwo-fe ? Est-ce que c’est exact ?Nishiwo-fe ? Est-ce que cette histoire est vraie ?Xalmila ba iwo-fe ? Est-ce que j’ai envie de manger une pomme ?Lugu ho oñan ya du shin-son-fe. Est-ce que tu as des relations avec la guilde ? Oui (je suis lié).Xanshibar li lie-to-fe ? lie-fu. Est-ce que tu as des relations avec la guilde ? Oui (je suis lié).Xanshibar tie-li lie-to-fe ? lie-fu. Est-ce que tu as un nom ?Bu du nano ho lin-fe ? / bu du nano ba fu-fe ? Est-ce que tu continues à manger ?Oñan-ranxal-fe ? Est-ce que tu sais pourquoi elle a si souvent le regard fixe vers le nord ?Nae wei xol-tike gao-sowa ya du bila-la fuybura-fe ? Est-ce que tu étais obligé de le tuer ? !Aitsu ho gatsa-xalao-fe ? ! Est-ce que tuer est justifié ? ! (se justifie)Gatsa ya du serbilai-tsoa-fe ? ! Est-ce que ça existe vraiment ?Iwo ge fu-la ? Tu as compris comment marche cet appareil ?Da machin ya guaya/danchoria ho xolbura-fe ? Tu as donc perdu ton chemin (n’est-ce pas) ?Ushwu-tsoa-fe-lô. Tu as encore cette boîte ?Da zuwa ho lin-ran-fe ? Tu as juste envie de m’énerver, hein ?Bu du ji ho bora-suren ja ustu aisa-to-fe-lô. Tu as peur ? Un peu.Ahasi-fu-fe ? piska. Tu as mangé ? Déjà ?Oñan-fe ? Laxai ? Tu as trouvé ?Kaitia-fe ? Tu en manges ? (tu as l’habitude d’en manger)Tsai ho oñan-sowa-fe ? Tu captes ? … Tu es lent à la détente, hein.Fuyka(-fe) ? bu, fuykaria ja oboncha lô. Tu es en train de manger ?Oñan-xal-fe ? Tu disais que ça allait marcher, hein ?(Tsai ba) dancho-gura ja il-mi(-fe)-xeixei ?

21.7 Phrases

Autant crier, tant que tu y es. (ironique)Sohoso ge kial-xa pe iraga-nante. Crie, tant que tu y es. (ironique)Sohoso ge kial-xa-nante. Ils m’ont demandé le ticket de caisse.Araitsu du ji li tindi ho jiro. Tu emploierais mieux ton temps si tu dormais. (Tu ferais mieux de dormir)Bu ba oyu-to ja xushi. Je pense que tu emploierais mieux ton temps si tu dormais.Bu ba oyu-to pe bai ho chai sha ge shua-to ja lai. (Faire ça,) ce n’est pas bien ! (c’est interdit, c’est immoral)Toa-fu ! (Faire ça,) ce n’est pas bien ! (c’est de mauvaise qualité, c’est mauvais)Dug-fu ! (Faire ça,) ce n’est pas bien ! (c’est une méchanceté)Majeria-fu-lô ! (Gentilice) L’habitant d’Osha est un Oshayen.Osha ya sersishu ba Oshadirnin-fu. (Le sommet de la montagne.) Son sommet.Ai ma. (Le sommet de la montagne.) Son sommet.Tsai ya ma. (Plutôt que) Plus que manger, il a dévoré son assiette.Aitsu du, oñan mushiro, tamawa ho gaurañon. (Subordonnée non relative) L’enfant, qui (parce qu’il) était petit, courait lentement.Zu-fu bila, zuhin du lei ge donguay. (Subordonnée non relative) L’enfant, qui (soit dit en passant) était petit, courait lentement.Zuhin du, furul zu-fu, lei ge donguay-mi. (Subordonnée non relative) L’enfant, qui (soit dit en passant) était petit, courait lentement.Furul zu-fu zuhin du lei ge donguay-mi. (Subordonnée non relative) Au fait, l’enfant petit courait lentement.Oshima, zu-fu zuhin du lei ge donguay-mi. (Subordonnée relative) L’enfant qui était petit courait lentement.Zu-fu zuhin du lei ge donguay-mi. (devinant) Toi, tu es amoureux, mon cher, n’est-ce pas, hein que oui ?Bu ba zahili-to-sha-fe-yane-ixie-di ? (devinant) Toi, tu es amoureux, mon cher.Bu ba zahili-to-sha-fe-yane-ixie. (devinant) Toi, tu es amoureux, mon cher.Tsu bu ba zahili-to-sha-fe-yane. (devinant) Toi, tu es amoureux, mon cher.Tsu bu ba zahili-to-sha-fe-lô. (formel) Je suis désolé (littéralement : je ne suis que honte.)Ustu baxad. (informel) désolé (pour demander pardon).Baxad. (janka, informel) Toi, tu es idiot.Bu janka tubao-fu. (aun/una/-aun/-una) On dirait que c’est un arbre.Abol-fu-aun. (aun/una/-aun/-una) On dirait un arbre. (Comparé à un arbre, ça ressemble)Abol xotie una. (aun/una/-aun/-una) Un arbre qui ressemble. / un arbre ressemblantUna abol. (aun/una/-aun/-una) On dirait un arbre.Abol-fu-aun. (aun/una/-aun/-una) Un truc arbreux. (qui rappelle un arbre)Abol-una mono. (aun/una/-aun/-una) Une maison qui rappelle un arbre.Abol-una naguan. (aun/una/-aun/-una) Ça ressemble à un arbre.Abol-fu-aun. (aun/una/-aun/-una) C’est laineux au toucher.Shegi ge polo-una. (aun/una/-aun/-una) C’est laineux au toucher.Shegi ge polo-una-fu. (aun/una/-aun/-una) C’est laineux au toucher.Shegi ge polo-una-sha. (aun/una/-aun/-una) C’est laineux au toucher.Shegi ge polo-una-lô. Ça ressemble.Una-lô. Ça a l’air bon, dis donc !Shañam-fu-aun-lô ! J’ai soudain voulu me casser la tête contre un mur tellement j’ai eu honte. (et j’ai un peu honte à présent en le racontant)Ji du me baxade-fu choxol, wan ya maira ho apur-to-son-fuyoi. Un petit verre, ça me dirait bien.Zu xashiwa pe shin-son. (lai, kanlai) Je crois en Amabiyah.Ji du Amabiyah li kanlai. (lai, kanlai) Je crois en toi.Bu li ji du kanlai. (lai, kanlai) Je crois en toi.Bu li kanlai. (lai, kanlai) Je crois en toi.Ji du bu li kanlai. (lai, kanlai) Je pense que tu es bizarre.Bu ba saranga-sha ja lai. (lai, kanlai) Je pense que tu es bizarre.Bu ba saranga-sha ja lai. (lai, kanlai) Je pense à toi.Bu li lai. (lai, kanlai) Je te crois.Bu ho lai. (lai, kanlai) Je te crois. (Je crois ce que tu dis)Bu ya il ja lai. (lai, kanlai) Je te trouve bizarre.Bu ba saranga-sha ja lai. (li-ge) L’oiseau chante depuis l’arbre.Lanfu ba abol li-ge shai-to-xal. (li-ge) L’oiseau chante depuis l’arbre.Lanfu ba abol ya xuay ge shai-to-xal. (li-ge) À partir de là, tu te mets à courir.Xuay-da li-ge, bu du donguay-ñu-xa. (li-ge) À partir de maintenant, je ne mentirai plus.Ao li-ge, ji du yus uso-gura. (moi) cordonnier aimerais faire une humble demande d’un rendez-vous administratif impérial.Beiwaxanshu ba danxidaye ho jiro-shin-xima-yotan. (sens, goût) C’était un vrai délice.Mixafire ge ji li ñali-to-mi. (sens, goût) C’était un vrai délice.Mixafirega-fu-mi. (sens, goût) Cette pomme à un goût de melon.Da lugu ba meloi ge ñali-to. (sens, goût) Est-ce que celle-ci a goût de melon ?Daya du meloi ge ñali-to-fe ? (sens, goût) Est-ce que tu perçois le goût de melon ?Meloi ho ñali-to-fe ? (sens, goût) Est-ce que tu perçois le goût de melon ?Meloi ya ñali ho zao-fe ? (sens, goût) Je perçois un goût de melon.Meloi ho ñali-to. (sens, odorat) Cette pomme sens le melon.Da lugu ba meloi ho fer-to. (sens, odorat) Je sens le melon (qui est dans la cuisine).Meloi ho ñebu. (xamiña li) (sens, odorat) Je sens le melon de la cuisine depuis la salle de bain.Ji du berotoki li-ge xamiña ya meloi ho ñebu-lô. (sens, odorat) Je sens le melon (odeur sur moi).Ji ba meloi ge fer-to. (ji ya ma li fer ya) (sens, odorat) Le melon sent bon (fait une odeur).Meloi ba ibarihe fer ho dwo. (sens, odorat) Le melon sent bon (émet/sent agréablement).Meloi ba ibarihe ge fer-to. (sens, odorat) Une agréable fragrance jaillissait de la maison.Naguan ge, ibarihe mixafiren ba simasi-tsoa-mi. (temps) J’ai touché la porte.Osu ho shegi. (temps) Je suis en train de toucher la porte.Osu ho shegi-xal. (temps) Je touchai la porte.Osu ho shegi-mi. (temps) Je touchais la porte.Osu ho shegi-xal-mi. (temps) Je touche la porte.Osu ho shegi-xe. (xol) Comment as-tu donc fait pour trouver la maison ?Bu du naguan ho xol-la kaitia-la ? (xol) Comment est-ce que marche cet appareil ?Da machin du xol-la guay-la ? (xol) Comment il marche, cet appareil ?Xol guay-la, da aparei ? (xol) Comment marche cet appareil ?Da machin du guay xol-la ? (xol) Comment tu as fait pour trouver la maison ?Bu du naguan ho kaitia ja xol-la ? (xol) Comment tu as fait pour trouver la maison ?Bu du naguan ho kaitia xol-la ? (xol) Comment tu te sens ?Lito xol-la ? (xol) Comment ça marche, cet appareil ?Guay xol-la, da machin du ? (xol) Comment ça marche, cet appareil ? (familier, emphase)Xol-la guay-la, da machin du ? (xol, omis) Comment ça va ? Bien. (familier)Bu-la ? Shasha. (xol) Comment ça va ? Bien. (courant)Xol-sha-la ? Shasha. (xol) Comment ça va ? Je sais pô/couci-couça.Xol-sha-la ? Gu-pe. (xol) Comment ça va ? À merveille.Xol-sha-la ? Kowoi-sha ge. (xol) Comment ça va ? Ça roule !Xol-sha-la ? Gu-to ! (xol) Comment ça va ? Ça va.Guay xol-la ? Shasha/Guay. (xol, omis) Comment ça va ? Ça va. (dépendant du contexte : où tu vas, pourquoi tu vas…)Guay-la ? Shasha/Guay. (xol) Ça va ? (bonnement ?) Oui.Xol-sha-fe ? Sie. Est-ce que ça va ? Oui.Tsu-sha-fe ? Umu. (zawun/aun) Ah. On dirait que j’arrive à flotter !Aha, ji ba misao-yao-aun ! (zawun/aun) Il a l’air d’être sourd.Aitsu ba luyor-fu-aun. (zawun/aun) Il a l’impression d’être sourd.Aitsu ba luyor-fu-zawun. (zawun/aun) J’ai l’impression de flotter.Ji ba misao-xal-zawun. (zawun/aun) On dirait qu’il est sourd.Aitsu ba luyor-fu-aun. (zawun/aun) Tu as l’air d’être tombé.Bu ba totora-aun. (zawun/aun) Tu as l’air triste.Bu ba bawaga-fu-aun. (zawun/aun) Tu as seulement l’impression d’être tombé.Bu ba totora-zawun. (zawun/aun) Ça donne l’impression d’être sourd.Luyor-fu-zawun. (zawun/aun/pexoge) J’ai l’impression de flotter.Ji ba pexoge misao-xal. (Être/Il y a) On dirait qu’il y a un arbre.Abol ba fu-aun. (Être/Il y a) On dirait un arbre.Abol-fu-aun. 2 fois 2 égal quatreBi bai bi ga le. 2 fois 4 égal 8Bi bai le ga twan. 2 moins 2 égal zéroBi zun bi ga uza. 2 plus 2 égal 4Bi chai bi ga le. 2 sur 2 égal 1Bi tai bi ga fa. A-t-il mangé la pomme ?Lugu ho oñan-fefe ? A-t-il mangé la pomme ? (c’est la pomme qu’il a mangée ou autre chose ?)Lugu ho oñan-lape ? A-t-il mangé la pomme ? (ça pourrait bien être la pomme, ce qu’il a mangé, non ?, proposition d’hypothèse)Lugu-layusla ho oñan-fe ? Marche-t-il lentement ? —Non, rapidement.Zupizupi zuguay-lape ? —Yus, asku ge. Marche-t-il lentement ? —Non, rapidement.Zupizupi zuguay-fe ? —Yus, asku ge. Ah ! Le feu réchauffe la maison.A ! bui ba naguan ho tote-to lô. Ah ! Si seulement j’étais un oiseau, je pourrais voler.A ! ji du lanfu-fu owanshia don-yao. Ah, Zangsa ? Je l’ai vu à l’instant (cette personne dont on parle).Ah, Zangsa ? Ji du da kata ho mena gao. Ah, Zangsa ? Je l’ai vu à l’instant (cette personne dont on parle).Ah, Zangsa ? Aitsu du-pe mena gao. Ah, Zangsa ? Je l’ai vu à l’instant (pourtant/pourquoi la question ?)Ah, Zangsa ? Mena gao-lô-jaga. Ah, aujourd’hui les pommes sont bon marché !Dashida, lugu ba tantin-sha-lô ! Ah, aujourd’hui les pommes sont chères.Dashida du lugu ba guan-sha-lô. Ah, il se pourrait que j’éternue.Ah, xanchu-xao-layusla. Ah, j’ai envie d’éternuer.Ah, xanchu-son. Ah, je crois que j’ai envie d’éternuer.Ah, xanchu-son-felafe. Ah, on dirait que je vais éternuer.Ah, xanchu-xao-aun. Ah, ça faisait longtemps qu’on ne se voyait pas, mon ami, ça fait plaisir !Dopabaido-ixie-xama ! Ah, ça faisait longtemps que je ne mangeais pas de citrouille. (je viens d’en manger une)Ah, kitrulba ho oñan ja dopabaido-mi-lô. Ajoute une pomme, s’il te plaît.Lugu ho chaipun-xima. Allons ailleurs, mon cher ami.Tuxuay li guay-ar-xa, dyig-ixie. Allons ailleurs.Tuxuay li guay-ar-xa. Allons ailleurs.Tuxuay li guay-xa. Allons-y !/Allez-yGuay-ar-xa ! Alors, allons-y ! !Ja, guay-ar-xa ! Alors, c’est moi qui vais le dire : tu te trompes.Ja, ji ba il-gura-tafu : bu ba muyu-tsoa. Alors ? Qu’est-ce qu’on dit ? —Merci…Ja ? la ja il-la-lô ? —shishiel… Apporte-moi le sac, s’il te plaît.garua ho ji li gare-xima. Approche.Kai-xa Après avoir dit « au revoir », il s’éloigna.Baibai il go, taori-mi. Après manger, il est allé couper du bois.Aitsu du oñan-ñao go tota ho bitso yaxari guay. Après qu’il a mangé, je suis allé couper du bois.Aitsu ba oñan-ñao go ji du tota ho bitso yaxari guay. La pomme qu’il a mangée était rouge.Aitsu ba oñan lugu du mei-fu-mi. La pomme ronde qu’il a mangée et que j’ai ramassée était rouge.Ji ba bura-iq aitsu ba oñan nuge lugu du mei-fu-mi. Arrête de faire des bêtises.Barats ho dwo du atoy-xa. Arrête de penser que tu vas te tromper.Muyu-tsoa-gura ya ho milma ja atoy-xa. Arrête de sauter.Babu ja atoy-xa. Arrête tes bêtises.Baratsaria ho atoy-xa. Arrêtez de crier.Kial ja atoy-xa ! Arrêtez de crier.Kial ya du atoy-xa ! As-tu l’intention de sortir ?Mufo-bao-fe ? Assieds-toi dans la deuxième rangée.Bi ya wasuha li fei-tsoa-xa. Assieds-toi dans la première rangée.Fa ya wasuha li fei-tsoa-xa. Attends !Shue-xa ! Attends, s’il te plaît !Shue-xima ! Pouce !Aira ! / aira-xima ! Attention !Fush-xoy ! Attention. Cette pomme pourrait être mauvaise.Fush-xoy. Da lugu du chañali-layusla. Au contraire.Ugai. Au feu !Bui-xoy ! Au feu !Buifa-xoy ! Au lieu de bouder, tu ferais mieux de t’excuser.Bu du, dabuda mushiro, barkatil ja xushi. Au moment où il commençait à peine à comprendre, la porte s’ouvrit (brusquement).Aitsu ba mena fuybura-ñu-mi ya bai li, (pai li) osu ba anur-tsoa-mi. Aucune personne n’a de pomme.Uza shu ba lugu ho lin. Aucun élève n’est ici.Uza boanshu ba xuay fu. Aujourd’hui, il est en colère.Aitsu du tome-sha. Avoir soif quand le temps est chaud, c’est naturel.Tote geyi li xashe-fu ya ba xisho(-fu). Blessé, il se trouvait entre la vie et la mort.Wonsa aitsu ba daofu yo lafu ginan fu-mi. C’est bon marché (celui-ci est bon marché)Daya du tantin-fu. C’est bon marché (celui-ci dont on parle est bon marché)Tsai du tantin-fu. C’est bon marchéTantin-fu. C’est bon marchéTsai ba tantin-fu. C’est bon marchéXaun ba tan-fu. C’est bon !Shañam ! C’est comme s’il volait.Aitsu du (pexoge) don-aun. C’est comme s’il volait.Aitsu du pexoge don(-aun). C’est comme s’il était sourd.Pexoge luyor-fu. C’est de la violence gratuite.Chakapin tomogaria-fu. C’est du vin (de raisin).Matsazi-fu. C’est du vin d’abricot spirituel.Dao kisur ya wezi-fu. C’est du vin de raisin.Matsazi-fu. C’est incroyablement bon marché.Xaun ba me tantan./me tantan xauna-lô ! C’est la mienneJi ya mono-fu C’est le contraire.Ugayen-fu. C’est ta pomme.Da lugu du bu ya fu. C’est ta pomme.Da lugu du bu ya mono-fu. C’est ma pomme.Da lugu du ji ya mono-fu. C’est ma pomme.Da lugu du ji ya fu. C’est sa pomme.Da lugu du aitsu ya mono-fu. C’est sa pomme.Da lugu du ai mono-fu. C’est leur pomme.Da lugu du araitsu ya mono-fu. C’est leur pomme.Da lugu du araitsu ya fu. C’est leur pomme.Da lugu du araitsu ya mono-fu. C’est votre pomme.Da lugu du arbu ya fu. C’est votre pomme.Da lugu du arbu ya mono-fu. C’est notre pomme.Da lugu du arji ya fu. C’est notre pomme.Da lugu du arji ya mono-fu. C’est mauvais !Buehi ! C’est moi que tu cherches.Bu ba shukin da kata du ji-fu. Je suis celui que tu cherches.Ji du bu ba shukin da kata-fu. C’est moi qui chantes.shai-to-xal da kata du ji-fu. Je suis celui qui chantes.Ji du shai-to-xal da kata-fu. C’est naturel.Xisho-fu-lô. C’est sûr qu’il s’y rendra.Aitsu ba xefeze ya du sie-fu. C’est sûr qu’il viendra.Aitsu du sieshage kai-gura. / aitsu ba kai-gura ya du sie-sha. C’est toi qui as fait ça ? Non, ce n’est pas moi.Tsai ho dwo ya du bu-fe ? wochao, yus ji lô. C’est trop cher/c’est du vol.Me guan-fu./ oyobi xaun-fu. C’est très bon marchéXaun ba tantin-fu. C’est un coup de maître.Kolaye usiperia-fu. C’est un coup de maître.Meshasha usiperia-fu. C’est une question de connaissances.Xanse ya ishawoda-fu. C’est une question de temps.Bai ya ishawoda-fu. C’est vraiment trop !Me dichaime ! C’est-à-dire ? Plus clairement ?Osha-la ? chai begal-la ? C’était comme si ce triste vieillard n’était plus vivant.Da bawaga boke du pexoge yu kixe-fu-mi. C’était le premier roi.Aitsu du fa ya dowu-fu-mi. Car j’étais trop triste, il n’a pas parlé. (il ne parla pas)Ji ba dichaime bawaga-sha-mi bila, aitsu du yus behil-mi. Car je suis secrétaire, j’écris ce qu’on me dicte.Ji ba pingulin dadage, ji li egalun tsai ho pin-to. Ce serait une bonne idée de manger maintenant, non ?Ao li oñan ja xushi-fe-lô ? Ce sont mes pommes.Arda lugu du ji ya mono-fu. Ce sont mes pommes.Ji ya arda lugu du fu. Cela fait deux heures que je marche.Bi fak ge zuguay-ranxal. Cela fait deux heures que je marche.Bi fak ge zuguay-ranxal. Cela m’est indifférent.Ji li-du ose-fu. Cela n’a rien à voir avec moi.Ji li-du oskatu-to. Cela n’a rien à voir avec ça.Tsai li-du oskatu-to. Cela n’a rien à voir avec toi.Bu li-du oskatu-to. Oui, mais ça, c’est autre chose, ça n’a rien à voir.Ya, ambo, tsai du wochao mono-fu, oskatu-to. Oui, mais ça, c’est autre chose, ça n’a rien à voir.Ya, ambo, tsai du wochao mono-fu, yus ayo-lô. Ça n’a absolument rien à voir.Yus ayo-lô, oskatu-to. Ça n’a absolument rien à voir.Me oskatu-to. Ça n’a absolument rien à voir.Me yus ayo-lô. Je m’ennuis.Mushki-tsoa. Qu’est-ce que je suis ennuyé… (je m’ennuis).Mushki-sha-wô… Ignore-le, il finira bien par arrêter de te déranger.Yoseose, me selan, aitsu du bu ho usa-to-suren-ortoy-gui-gura. Celle que j’ai est bonne.Ji ba lin daya du shañam-fu. Celle que j’ai est bonne.Ji ba lin daya du tsue-fu. Celle que j’ai est bonne.Ji ba banja daya du tsue-fu. Justement, j’ai pris cela même dont tu parlais.Oshima-jaga ji du me tsai ho bura. Celle que je mange est bonne.Ji ba oñan-xal daya du shañam-fu. Celle que je mange est bonne.Ji ba oñan-xal daya du tsue-fu. Celle-ci est rougeDaya ba mei. Celle-ci ?Daya-fe ? Être ou ne pas être ? Telle est la question.Fu-fe yus fu-fe ? Laila-ranfu-lô. Celle-là est bleue.Damaya du feye-fu. Celle-là est rouge.Damaya du mei-fu. Celui qui est occupé à lire un livre a souri.Baga ho lanwo ya xal li baotiku aitsu ba wixi-to. Ces chaussures ne me vont pas.Da beiwa du ji li yus figin. Ces chaussures sont trop grandes pour moi. (sont si grandes qu’elles ne me vont pas)Da beiwa du ji li dichaime ogon-fu bila yus figin. Ces chaussures sont trop grandes pour moi. (sont si grandes qu’elles ne me vont pas)Da beiwa du ji li dichaime ogon-fu. Ces chaussures sont trop grandes pour moi. (sont tellement grandes qu’elles ne me conviennent pas, ne me vont pas)Da beiwa du ogon-fu choxol ji li yus muneregia. Ces pommes à moiJi ya arda lugu Ces pommes.Da lugu/arda lugu Cet aristocrate est très riche.Da deminfu ba lamar tinlin-fu. Cet endroit sent le métal.Da toki du deche ho fer-to. Cet homme est malade.Da zogo ba dug-fu. Cet homme est méchant.Da zogo ba maje. Cet homme est un heureux insouciant.Da zogo ba chichi lô. Cet homme l’a attaqué violemment.Da zogo ba aitsu ho tots ge togaturi. Cet homme l’a attaqué violemment.Da zogo ba aitsu ho totsie togaturi. Cet homme l’a tué (a provoqué sa mort)Da zogo ba aitsu ho zai-tomo. Cet homme l’a tuéDa zogo ba aitsu ho gatsa. Cet instrument est le meilleur.Da shua du mechai shasha-fu. Ce terrain me revient.Da xuasiu du ji li biulin. Je suis le légitime propriétaire de ce terrain.Ji du da xuasiu li nishihin-to. Cette machine est faillible. (il n’y a pas de doute qu’elle a des défauts)Da aparei ba abor-yao-lô. Une machine faillible n’est pas fiable. (ne mérite pas confiance)Abor-yao aparei du yus doren-foi. Cette machine est infaillible. (elle ne peut pas faillir)Da aparei ba abor-yao-zei. Cette maison m’appartiens.Da naguan ba ji li kobada-to. Cette maison m’appartiens.Da naguan ba ji ya kobada fu. Cette maison m’appartiens.Ji du da naguan ho lin. Cette maison me revient.Da naguan du ji li biulin. Cette montagne est énorme !Da xuashor ba artse-fu-lô ! Cette nuit, je me suis blessé à cause de ce trou !Da wog li da awa ya bun li wonsa-tsoa lô ! Cette nuit, je me suis blessé à cause de ce trou !Da wog li da awa ya chaon li wonsa-tsoa lô ! Cette personne est une mauvaise langue.Da shu du chahil-sha-fu. Cette pomme est de mauvaise qualité.Da lugu ba dug-fwo. Cette pomme est de mauvaise qualité.Da lugu ya fwo ba dug-fu. Cette pomme est de mauvaise qualité.Da lugu ya fwo ba dug-sha. Cette pomme est presque rouge.Da lugu ba koye ge mei-fu. Cette pomme est si grosse que je ne peux pas la manger tout seul.Da lugu du ogon-fu, choxol ji du shao ge yus oñan-yao. Cette pomme est si grosse que je ne peux pas la manger tout seul.Da lugu ba cho ogon ja, ustu ji ge yus oñan-yao. Cette pomme est si grosse que je ne peux pas la manger tout seulDa lugu ba cho ogon-fu bila, ustu ji ge yus oñan-yao. Cette pomme est verte, alors que cette autre est rouge.Da lugu du belka-fu, yagambo da tufu du mei-fu. Cette pomme est à moi/mienne.Da lugu du ji ba/ya lin. Cette pomme, on la dirait/c’est comme si elle était rouge.Pexoge, da lugu ba mei(-fu)-aun. Chacun a une pomme.Sotaiso du fa lugu ho lin. Chacun a son opinion.Sotaiso du wan ya lairia ho lin-lô. Chaque animal a une queue.Sotai bukuxue ba fa ipi ho lin. Chaque animal a une queue.Sotai bukuxue ba ipi ho lin. Chaque arbre a deux pommes.Sotai abol du bi lugu ho lin. Chaque personne a une pomme.Sotai shu ba fa lugu ho lin. Choisis : la vie ou la mort ? (vivre ou mourir)Yaopya-xa ! kixe-fe zai-fe ? Combien de temps jusqu’à ce que tu répares ma table rouge ?Bu ba ji ya mei benze ho zata tahin bai-tsoa-la ? Combien de temps tu mettras pour réparer ma table rouge ?Bu ba ji ya mei benze ho zata bai-tsoa-gura-la ? Combien de temps tu mettras pour réparer ma table rouge ?Bu ba ji ya mei benze ho zata ja bai-tsoa-gura-la ? Combien ?Zal-la ? Comme il continuait à marcher, il arriva à la maison.Zuguay-mi-ran go/ge/xolge naguan li guay-ñao-mi. Comment tu t’appelles ? Je m’appelle Zangsa.Bu du nano-la ? Zangsa nano. Comment tu t’appelles ? Je m’appelle Zangsa.Bu du nano-to-la ? Zangsa nano-to. Quel est ton nom ? Mon nom est Zangsa.Bu ya nano-la ? Ji ya nano du Zangsa-fu. Commençons !Iñu-xa ! Ça a commencé !Tantu-lô ! Continue.Oran-xa. Continue, je te prie.Oran-xima. Tu pourrais continuer ? (sous entendu, c’est une demande)Oran-xafe. Tu pourrais continuer ? (sous entendu, en es-tu capable)Oran-yao-fe ? Cordonnier : Je suis normalement là toute la journée. Après, je peux être sorti de temps en temps.Beiwaxanshu : yomanuma ji du so shi ranbai xuay li fu. Yogo baiyobai mufo-layusla. Couper le gâteau en quatre portionsPachel ho le siu li zeke-to. Couper le gâteau en quatrePachel ho le li zeke-to. Cours ! Vite !Donguay-xa ! asku ! D’accord ? Bien.Oke-fe ? shasha. D’accord ? Bon, d’accord.Oke-fe ? sha, oke. D’accord ? Bon.Oke-fe ? sha. D’accord ? Peut-être.Kyoke-fu-fe ? felafe. D’après ce qu’on m’a dit, tu es tombé. C’est vrai ?Omen, bu ba totora. Iwo-fe ? D’après ce qu’on m’a dit, tu es tombé.Omen, bu ba totora. D’après ce qu’on m’a dit, tu serais tombé, c’est vrai ?Omen, bu ba totora-lô-fe ? D’après lui, la jeune femme aurait volé une pomme.Aitsu omen, yukelya du fa lugu ho oyobi-aun. D’après mon professeur, les nuages sont faits d’eau.Ji ya igo omen, suan du jua-anxua. D’un côté, tu as raison.Cho koye ge bu ba nishiwo. D’une façon ou d’une autreXol-da xol-dama D’une façon ou d’une autre, il le fera.Xol-da xol-dama aitsu ba dwo-gura. De toute façon, je pars.Sogarila tuanbe. Je n’ai pas faim. Et puis, de toute façon, je n’ai rien à manger.Ji du yus ketai-sha. Soreni, oñan yari okaldu du yus lin-lô. Je n’ai pas faim. Et puis, même si c’était le cas, je n’ai rien à manger. (il n’y a pas de nourriture à manger)Ji du yus ketai-sha. Xolxoga, oñan yari kuha ja ufun-fu. Il n’y a rien.Ufun-fu. Depuis hier, la situation a évolué. (a changé, a subi une transformation)Ishawoda du nashi ge ontsei. Depuis hier, la situation a évolué.Ishawoda du nashi li-ge ontsei. Dernièrement, je mange à peine.Damishige, (ji du) yuxo oñan. Dernièrement, je mange du melon.Damishige, ji du meloi ho oñan-sowa. Descends tout de suite de cet arbre !Da abol ge mehen oriro-xa ! Deux heures plus tôt, il pleuvait.Bi fak nuai, nari-to-xal-mi. Avant, je marchais beaucoup.Nuai, ji du janme zuguay-sowa-mi. Deuxièmement.Bi ge Dis-donc, tu t’entends bien avec ton ami.Bu du dyig tie sha barli-to-sie. Dis-leur qu’ils n’y aillent pasYus guay-xa ja araitsu li il-xa. Dis-leur, s’il te plaît, qu’ils n’y aillent pasYus guay-xa ja araitsu li il-xima. Diviser le gâteau en deuxPachel ho bi tai-to. Diviser le gâteau en deuxPachel ho bi ge tai-to. Diviser le gâteau en deuxPachel ho bitso. Diviser le gâteau en troisPachel ho dan tai-to. Donne-moi ta poule, s’il te plaît ! — Ça ne va pas la tête, elle est à moi !Pugpug ho rei-xima ! — dugbuyama-la, ji ya fu/lin ! Dormir à la belle étoileZonko li oyu Du coup, je ne pars plus. (Du coup, je n’ai plus envie de partir.)Ja, yu tuanbe-son. Du coup, je ne pars plus.Ja, ji du yu tuanbe-bao. Du coup, je ne pars plus.Ja, ji du yu tuanbe-xao. Du coup, je ne pars plus.Ja, tuanbe-xao ya du yu iwo-tsoa. .note Du coup, mon départ (que je préparais) n’est plus vrai. Du coup, je ne pars plus.Ja, xolaligo yu tuanbe-xao. .note Finalement, je ne m’apprête plus à sortir. Du coup, on y va (ou on n’y va pas) ? On y va.Ja guay-fe ? sie/guay. Eh, fais attention à ce que tu dis !Xoy ! ilia du fush-lô ! Eh, fais attention à ce que tu dis !Xoy ! da muma ho fush-lô ! Elle a soulevé trente kilos !Aitsu du dantol gotsurpo ho mayigi-mon ! Elle a soulevé trente kilos !Aitsu du dantol gotsurpo ho mayigi-mon-boe ! Elle est comme moi.Aitsu ba ji xotie una. Elle est presque (on la dirait) idiote.Aitsu ba tubao(-aun). Elle est presque (on la dirait) idiote.Pexoge aitsu ba tubao(-aun). Elle est presque arrivée.Aitsu ba koyege/chailazula/pexoge guay-ñao. Elle est presque arrivée.Aitsu ba koyege/chailazula/pexoge uchu. Elle est presque aussi haute que moi.Aitsu ba ji xotie koyege ogon. Elle est à peu près pareille.Aitsu ba chailazula iraga. EmpireDanxi En automne, les feuilles tombent des arbres et planent joliment dans l’air jusqu’à reposer sur le sol.Kime li ar kufa du ar abol ge totora-sowa, yogo man li layu-ñao ya xal li juguay-xal-shien. En ce qui concerne la charrette, c’est moi qui vais l’arranger. (emphase orale)Asareo ya ishawoda li ji du zata-gura-lô. En ce qui concerne la charrette, c’est moi qui vais l’arranger. (emphase)Asareo ya ishawoda li zata-gura da kata du ji-fu-lô. En ce qui concerne la charrette, je vais l’arranger.Asareo du-pe ji du zata-gura. En ce qui concerne la charrette, je vais l’arranger.Asareo ya ishawoda li ji du zata-gura. En plus, il pue.Mama li, aitsu ba xuafu. En tant que secrétaire, j’écris ce qu’on me dicte.Ji ba pingulin toshte, ji li egalun tsai ho pin-to. En tant que secrétaire, j’écris ce qu’on me dicte.Ji du, pingulin toshte, ji li egalun tsai ho pin-to. En tant que secrétaire, j’écris ce qu’on me dicte.Pingulin toshte ji li egalun tsai ho pin-to. En tant que professeur, il me dicte et j’écris.Igo toshte aitsu du ji li egalun, ja-yo ji du pin-to. En tant que secrétaire, j’écris ce qu’on me dicte.Pingulin-fwo ge, ji li egalun tsai ho pin-to. En version courte (en bref), j’ai perdu le pari.Titse-weshwu ge ji du soteraria ho ushwu. Encore une fois !Chai fa bai ! Enfin !Guisha ! Ensemble/À eux seuls, ils ont réussi à porter ça.Barge, araitsu du tsai ho gare-yao-gui. Ensemble/À eux seuls, ils ont réussi à porter ça.Shao araitsu ba tsai ho gare-yao-gui. Es-tu conscient de ce que tu viens de faire ?Bu du dwo-mena ja fugao-la ? Es-tu conscient de ce que tu viens de faire ?Mena dwo ya ho fugao-la ? Es-tu vraiment désolé ?Gabi baxade-fu-fe ? Espèce de cinglé, va !Bakchabao-chaba ! Et c’est comme ça que je peux conclure (allègrement) que les fantômes existent et ouvrent des fenêtres.Xol-da, yokufu ba fu-yo gefon ho anur-to-suren ya ho bilagui-yao-xama. Et il a dit : je me refuse à partir.Aitsu du tuanbe-iyayo ja il. Et que je suis trop lent, et que je dois travailler plus…Oboncha ja, chai goyka-to-xa ja il-chane. Et si on achetait un gâteau ? Qu’en penses-tu ?Pachel ho linjao ja lai-la ? Et si tu te taisais un peu ?Piska shuxu ja lai-la ? Et à partir de là, tu te mets à courir ? C’est ça.Xuay-da ge, donguay-ñu-fe ? nishiwo. Euh, plutôt, j’ai trop mangé.E, mushiro, ji du dichaime oñan. Euh… En fait, c’est maintenant, tu sais ?Eto… iwo ge, ao li-yane ? Faire marcher un plan.Jinbanbaotsen ho dancho-suren. Fais ton travail, pas celui des autres.Porta ho dwo-xa, yus tushu ja. Fais ton travail, pas celui des autres.Porta ho dwo-xa, yus tushu ya ho. Fais-le comme ça.Xol-da dwo-xa. Faite place !Gin-xa ! Franchement, tu pues l’alcool.Da bu… shihito ge xuafu. Grand Prêtre, aidez-moi !Xarishmin-shama, jukama-xima ! Grand-mère ! Ça faisait longtemps (qu’on ne se voyait pas).Ozama ! dopabaido-ixie. Grâce à toi, la poule n’a pas été mangée.Bu shiel, pugpug du yus oñan-laho. Grâce à toi, la poule n’a pas été mangée.Bu ya xima li, pugpug du yus oñan-laho. Haha ! C’est une bonne blague !Xaxa ! sha chista-xama ! Haha ! C’est une bonne blague !Xaxa ! sha chistaria-fu-xama ! Hier, j’ai fini le travailNashi, goyka ho dwo-ñao-mi. Hier, j’ai marché environ pendant deux heures.Nashi, chailazula bi fak ranbai zuguay-mi. Hier, j’ai voulu lui donner, en remerciement, la table qu’a terminée mon ami.Nashi, ji du aitsu li dyig ba dosho-ñao benze ho rere-shin-mi-shien. Hier, j’ai voulu lui donner, en remerciement, la table qu’a terminée mon ami (et qu’il a faite pour quelqu’un d’autre que lui-même).Nashi, ji du aitsu li dyig ba dosho-ñao-bon benze ho rere-shin-mi-shien. Hier, je me suis promené dans la forêt (et je lui en suis reconnaissante pour cela, ça a été un plaisir).Nashi, miza li pyato-mi-shien. Ho ! Il pleut des cordes !Xoy ! meshasha nari-xal ! Ho ! Il pleut énormément !Xoy ! meme nari-xal ! Hé, mon cher Borbo, veux-tu revenir voir ta mère ?Ne, tsu Borbo-san, ama-san ho guay-shin-fe ? Ici, le sol est régulier. Là-bas, il est irrégulier.Xuay, man ba sowa-fu. Xuay-dama, uzowa-fu. Ici ? Là ? Là-bas ?Xuay-fe ? xuay-da-fe ? xuay-dama-fe ? Il a commencé la course de compétition.Donguay ya pikiria ho iñu. Il a commencé à rire, puis s’est mis à pleurer.Aitsu du xamasi-ñu, yogo aganari-ñu. Il a commis un crime.Aitsu du berid ho tomoga. Il a commis un péché.Aitsu du tawen ho tomoga. Il a commis une erreur (il s’est mépris) en lisant le panneau et, en conséquence, s’est planté de rue.Aitsu du shartori ho lanwo-shana erte-to, ariago baur ho muyu-tsoa-lô. Il a complètement changé de comportement.Aitsu ya otaxi du me ontsei-lô. Il a coupé le bois avec la hache.Tota ho aiskora ge bitso. Il a coupé le bois en utilisant la hache.Tota ho aiskora ya shua ge bitso. Il a couru tranquillement. (tranquille)Ganma donguay. Il a dit ironiquement « tu es patient ».Bu du shuebozi-fu-nante ja aitsu du il. Il a donné un coup de bâton.Dun ya pai ho pegu. Il a donné un coup de tête.Maira ya pai ho pegu. Il a dû faire quelque chose a quelqu’un.Aitsu du selan lalila-lô. Il a enfin souri !Guisha wixi-to-gui ! Il a enfin souri/s’est enfin décidé à sourire !Guisha wixi-to-gui ! Il a enfin souri/s’est enfin décidé à sourire !Guisha wixi-to-gui ! Il a faim : il a le droit de manger.Aitsu ba ketaha : oñan ya du xarbiu fu-lô. Il a fait en sorte que le sac soit lourd.Aitsu du garua ba poxas-fu-suren. Il a fait en sorte que le sac ne soit pas lourd.Aitsu du garua ba yus poxas-fu-suren. Il n’a pas fait en sorte que le sac soit lourd.Aitsu du garua ba poxas-fu-suren ja yus dwo-lô. Il n’a pas fait en sorte que le sac ne soit pas lourd.Aitsu du garua ba yus poxas-fu-suren ja yus dwo. Il a fait le spectacle version enfant (l’a adapté pour les enfants).Aitsu du zuhin-weshwu bargaoga ho dwo. Il a fini (de faire) la course.Aitsu du donguay ya pikiria ho dwo-ñao. Il a fini de travailler.Goyka-to-ñao. Il a fini et bâclé ses devoirs.Aitsu du dwopiga ho dwo-ñao-xuwuncha. Il a fini la course.Aitsu ya donguay ya pikiria ba nao. Il a l’air de manger.Aitsu, oñan-xal-aun. Il a mangé rapidement. (rapide)Aitsu (du) asku oñan. Il a marché un peu trop rapidement.Aitsu du piska dichaime asku zuguay. Il a parlé avec une telle colère !Aitsu du cho tomen ge il-lô ! Il a parlé dans un état d’une telle colère !Aitsu du cho tome-sha ge il-lô ! Il a peu de dents.Aitsu du iña ba piska-fu. Il a peu de dents.Aitsu du iña du-pe piska ho lin. Il a péché.Aitsu du tawen-to. Il a reçu un coup de tête.Aitsu du maira ya pai ho pei. Il a ri comme un fou. (en mode fou)Aitsu du guyubao ya fwo li xamasi. Il a ri comme un fou. (version fou)Aitsu du guyubao-weshwu ge xamasi. Il a ri comme un fou.Aitsu du guyubao xotie pexoge iraga xamasi. Il a ri comme un fou.Aitsu du pexoge guyubao ge xamasi. Il a ri joyeusement.Aitsu ba faifai ge xamasi-mi. Il a réussi sans problème.Aitsu du oxanchia-diu ge baripi-mi. Il a réussi sans problème.Aitsu du xol-oxanchia-diu baripi-mi. Il a réussi tout en n’ayant aucun problème.Aitsu du oxanchia ho lin-yushana ge baripi-mi. Il a réussi en n’ayant aucun problème.Aitsu du oxanchia-diu ge baripi-mi. Ce n’est pas possible de marcher en même temps qu’on court.Donguay-shana zuguay-nante usiyae-fu-lô. Ce n’est pas possible de marcher en même temps qu’on ne bouge pas. (sans bouger)Buay-yushana zuguay-nante usiyae-fu-lô. Il a réussi à entrer.Aitsu ba anai-baripi-mi. Il a réussi à porter ça avec eux (avec l’aide de ces gens).Aitsu du tsai ho araitsu (ya jukama) ge gare-yao-gui. Il a réussi à porter ça avec eux (outils, en utilisant ces outils).Aitsu du tsai ho artsai ge gare-yao-gui. Il a réussi !Aitsu ba baripi-mi-wahan ! Il a souris pendant tout le temps que je chantais.Aitsu du ji ba shai-to-xal-mi ya so da bai li wixi-to-xal. Il a baissé les yeux vers soi-même.Aitsu du mun ho wanri tanwei-to. Il a tellement marché qu’il s’est complètement éloigné de la maison.Aitsu du zuguay-mi choxol, naguan ge meme taori-mi. Il a une nouvelle fois volé une pomme.Aitsu du lugu ho moyori oyobi. Il a une tendance à la colère.Aitsu du tomen ya kaolinyoli ho lin. Il a une tendance à être en colère.Aitsu du tome-fu-kaolin. Il a une tendance à être fou.Aitsu du shoke-fu-kaolin. Il a violenté son chien.Aitsu du paochi ho tomoga. Il a vu mon ami.Ji ya dyig ho gao-mi. Il a vu son ami (de quelqu’un d’autre).Aitsu ba aitsu ya dyig ho gao. Il a vu son ami (de quelqu’un d’autre).Aitsu ba ai dyig ho gao. Il approche ? (il vient ? Il vient d’où ? Pourquoi vient-il ? …)(Aitsu ba) kai-la ? (guay-la ?/dir-la ?/kai bila-la ?) Il arrive. (il se dirige vers cet endroit)Aitsu du da toki wei guay-xal. Il arrive. (il se dirige vers ici)Aitsu du xuay wei guay-xal. Il arrive. (il se dirige vers ici)Aitsu du xuayri guay-xal. Il arrive. (il arrive)Aitsu du uchu-xe. Il arrive. (il est train d’arriver)Aitsu du uchu-xal. Il arrive. (il arrive, le voilà, je le vois qu’il arrive)Aitsu du xuay uchu-xe. Il arrive. (il est train d’arriver vers ici)Aitsu du xuayri uchu-xal. Il arrive. (il est déjà train d’arriver vers ici)Aitsu du laxai xuayri uchu-xal. Il arrive. (il est déjà train d’arriver vers ici)Aitsu du laxai xuay wei uchu-xal. Il arrive. (il est déjà train d’arriver ici)Aitsu du laxai xuay li uchu-xal. Il chantait en jouant.Aitsu du yuña-shana shai-to-xal-mi Il chantait en même temps qu’il jouait.Aitsu du yuña-shana shai-to-xal-mi Il continue à travailler. (il a encore un métier)Aitsu du goy-ran. Il continue à travailler.Aitsu du goyka-to-ran. Il court vite.Asku donguay. Il court vite.Asku ge donguay. Il est assis juste à côté/auprès de moi.Aitsu ba ji me koyan fei-tsoa. Il est aussi grand que son ami. (mesure pareil que)Aitsu du dyig xotie iraga zaxu-to. Il est aussi grand que son ami.Aitsu ba dyig xotie iraga ogon-fu. Il est aussi grand que son ami.Aitsu du dyig xotie zaxu ba iraga(-fu). Il est aussi idiot que moi.Aitsu ba ji xotie iraga tubao-fu-lô. Il est blessé, le pauvre !Xuwu aitsu ba wonsa ! Il est bon d’avoir un esprit sain dans un corps sain.Tsu beg li tsu bao ho lin ja xushi. (/shasha beg li shasha bao ja shasha-fu.) Il est colérique.Aitsu du tome-fu Ta belle maison. (la maison qui est belle et à toi)Bu ya ruxe-sha naguan. Il est comme un arbre.Aitsu ba abol xotie iraga-fu. Il est complètement fou.Aitsu ba meme guyubao. Il est content parce qu’il lit un livre.Aitsu du baga ho lanwo bila, shinpinsha. Il est content parce qu’il lit un livre.Aitsu du baga ho lanwo dadage, shinpinsha. Il est content parce qu’il lit un livre.Aitsu du baga ho lanwo xolge, shinpinsha. Il est de nature content.Aitsu du shinpin-fwo. Il est en mode avec urgence.Aitsu du kisa ge fwo li fu. Il est en mode avec urgence.Aitsu du kisa ya fwo li fu. Il est pressé.Aitsu du kisa-to. Il est en mode examens. (il étudie beaucoup)Aitsu du xansepiki ya fwo li fu. Il est en mode fainéant.Aitsu, wofapa ya fwo li fu. Il est en mode idiot.Aitsu, tubao ya fwo li fu. Il est en mode j’éteins mon cerveau.Aitsu du duruhaka ho aluna-wô ya fwo li fu. Il est en mode je fais le fainéant.Aitsu, wofapa-tsoa ya fwo li fu. Il est en mode je n’arrête pas. (il est toujours occupé)Aitsu, yus atoy ya fwo li fu. Il est en mode je n’entends rien.Aitsu, ufun ho luwo ya fwo li fu. Il est en mode lourd (insupportable).Aitsu du poxas ya fwo li fu. Il est en mode précipitation.Aitsu du kisaten ya fwo li fu. Il est en mode travailleur avec sa hache (il ne lâche pas sa hache).Aitsu du aiskora ge xol-goyegoye-fwo-sha. Il est en mode travailleur avec sa hache (il ne lâche pas sa hache).Aitsu du aiskora ge goyegoye ya fwo li fu. Il est en mode « je veux tout casser ! ».Aitsu du so mono ho bojo-to-shin-chaba ya fwo li fu. Il est en train de continuer à longuement marcher.Aitsu ba zuguay-ranxal-ran-mi. Il est en train de longuement marcher.Aitsu ba zuguay-ranxal-mi. Il est en train de manger.Oñan-xal. Tout en mangeant, il lisait.Oñan-shana, lanwo-xal-mi. Il est en train de marcher.Aitsu ba zuguay-xal-mi. Il est grand comme son ami.Aitsu ba dyig xotie iraga ogon. Il est juste ici. (informel, tu ne le vois pas ou quoi ?)Aitsu du cho xuay fu. Il est juste ici.Aitsu du me xuay fu. Il est le premier.Aitsu ba fa surda-fu. Il est le premier.Aitsu ba fa ya. Il est moins grand que son ami.Dyig xotie zun ogon. Il est moins petit que son ami.Dyig xotie zun zu. Trois heures environ sont passées.Uwei dan fak du puyai. Il est mort. Ça s’est passé vers trois heures.Aitsu ba lafusha-mi. Dan fak wei-li xal-mi. Il est mort. Ça s’est passé vers trois heures.Aitsu ba lafusha-mi. Uwei dan fak li xal-mi. Il est mort.Aitsu ba zai. Il est occupé à lire le livre.Baga ya lanworia li baotiku aitsu du baotiku. Il est occupé à lire un livre.Aitsu du baga ho lanwo ya xal li baotiku. Il est parti comme moi.Aitsu ba ji xotie iraga tuanbe. Au moment où il est parti en même temps que moi, il pleuvait.Aitsu du ji xotie shana ge tuanbe ya bai li nari-to-shana. Il est parti en même temps que moi.Aitsu du ji xotie iraga bai li tuanbe. Il est parti en même temps que moi.Aitsu du ji xotie shana ge tuanbe. Il est parti en même temps que moi. (Lui et moi, sommes partis simultanément) Aitsu xoga ji xoga tuanbe-shana-lô. Il est parti pendant qu’il pleuvait.Aitsu du nari-to-xal-shana tuanbe. Il est parti plus vite que moi.Aitsu du ji xotie chai asku tuanbe. Il est parti quand il pleuvait.Aitsu du nari-to-xal ya bai li tuanbe. Il est parti quand il pleuvait.Aitsu du nari-to-xal-shana tuanbe. Il est plus grand que son ami.Dyig xotie chai ogon. Il est plus petit que son ami.(Aitsu du) dyig xotie chai zu. Il est près de moi.Aitsu du ji koyan fu. Il est près de moi.Aitsu du ji koyan fu. Il est près de moi.Aitsu du ji ya koye toki li fu. Il est radin.Aitsu du tincha-fu. Il est tout près de moi.Aitsu du ji me koyan fu. Il est travailleur avec sa hache.Aitsu du aiskora ge goyegoye-fu. Il est trois heures et demi de l’après-midi.Shiginyago li dan fak yo miu-fu. Il est vivant ? ! Non, il est mort.Kixe ? yus, aitsu ba zai-sha. Il est vraiment trop honnête. (Il est coupable d’honnêteté).Aitsu du mushanen ho tawen-to. 1.234.567, un million deux-cent-mille trente-quatre-mille, cinq-cent-soixante-septToltse go bisobel dankibel legontsi go olshor tsatoltin. Il est « patient », qu’il dit, haha !Shuebozi ja aitsu du il-nante, xaxa ! Il est à peine deux heures.Bi fak-fu-mena. Il est à peine deux heures.Mena bi fak-fu. Il fait chaud, aujourdhui.Dashida ba totesha. Il fait chaud, aujourdhui.Dashida, tote-fu. Il fait une chaleur d’enfer !Xarcha ! Il faut se nourrir pour vivre.Baibuay ya bao li kuhato-tsoa-xayi. Il finit de chanter puis il sortit.Shai-to-ñao-mi go mufo-mi. Il jouait sans bruit.Aitsu du tulon-diu ge yuña-xal-mi Il jouait sans faire de bruit.Aitsu du tulon-to-yushana ge yuña-xal-mi. Il l’a fabriqué dans l’intention de pouvoir s’asseoir.Aitsu du fei-tsoa-yao ya bao li tsai ho dosho. Il l’a fabriqué de manière à pouvoir s’asseoir.Aitsu du fei-tsoa-yao ya xolria li tsai ho dosho. Il l’a fait malgré moi.Ji ya shinkoga li aitsu du dwo. Il l’a fait malgré moi.Ji shinkoga, aitsu du dwo. Il l’a fait malgré moi.Ji ya bao shinkoga, aitsu du dwo. Il l’a forcé à rester assis.(Aitsu du) aitsu li fei-ranfu-suren. Il m’a dit que je m’en aille.Tuanbe-xa ja ji li il-mi-lô. Il m’a dit : va-t’en.Ji li il-mi-tafu : tuanbe-xa. Il m’a dit : va-t’en.Ji li, tuanbe-xa ja il-mi-lô. Il m’a dit : va-t’en.Tuanbe-xa ja ji li il-mi-lô. Il m’a enfin donné l’argent bon gré mal gré.Tingi ho ji li rere-gui-xuwuncha. Il m’a forcé à me réveiller !Aitsu du ji ho pika-tomo-xuwe ! Il m’a griffé avec ses ongles.Aitsu ba shura ge ji ho kanda. Il m’a réveillé !Aitsu du ji ho pika-to-suren-xuwe ! Il m’a réveillé !Aitsu du ji ho pika-suren-xuwe ! Il m’a réveillé ! (à cause de lui, je me suis réveillé !)Aitsu ya chao li ji du pika-xuwe ! Il m’a réveillé ! (par lui, j’ai été fait me réveiller !)Aitsu li ji du pika-suren-laho-xuwe ! Il marchait sans objectif.Aitsu ba wôwô zuguay-mi. Il marche au hasard.Denden ge zuguay-xal. Il a marché rapidement.Aitsu du asku ge zuguay. Il me demande où je mange.Ji ba oñan-xuay-la ja ji li aitsu du irmen. Il me demande où je suis.Aitsu du ji li (ji ba) xuay-la ja irmen. Il me demande où je suis.Ji ba xuay-la ja ji li aitsu du irmen. Il me gonfle avec son blabla.Aitsu ya ililil, me chanda-lô. Il me parlait d’un certain homme.Cho-dama zogo ya ho ji li ranil-mi. Il me parlait de ce qu’avait fait un certain homme.Cho-dama zogo ba dwo-mi ya ho ji li ranil-mi. Il me parlait mal d’un certain homme.Cho-dama zogo ya ho ji li chahil-mi. Il me reste deux heures.Bi fak du (manara) ranfu. / manara bi fak (du fu) Il n’a que peu de dents.Aitsu du iña ba ustu piska-fu. Il n’est pas aussi grand que son ami. (mesure moins)Aitsu du dyig xotie zun zaxu-to. Il n’est plus (il est mort).Aitsu ba yufu. Il n’y a plus d’espace.Gin du yu ranfu. Il ne me reste qu’un jour et une nuit, et puis je pars.Fa shi yo fa wog ba ustu ranfu, yogo ji ba mufo. Il ne mesure pas comme son ami. (mesure différemment)Aitsu du dyig xotie xol-wochao zaxu-to. Il ne peut pas chanter.Aitsu ba yus shai-to-yao. Il ne peut pas encore marcher.Aitsu du zuguay-yao ja manara. Il ne peut pas marcher.Aitsu ba yus zuguay-yao. Il ne sait pas chanter.Aitsu du shai-to du-pe yus xolbura. Il ne sait pas chanter.Aitsu du shai-to ja yus xolbura. Il ne sait pas comment faire pour chanter.Aitsu ba shai-to ya du-pe yus xolbura. Il ne sourit que de temps en temps/de temps à autre.Aitsu ba baitaibai xamasi-bai. Il rit de temps en temps/parfois.Aitsu du xamasi-bai. Il rit de temps en temps/parfois.Aitsu du baitaibai xamasi. Il ne veut pas manger cette pomme.Aitsu du da lugu ho yus oñan-shin. Il ne veut pas manger.Aitsu du yus oñan-shin. Il ne veut pas qu’on se moque de lui.Aitsu du gotasi-laho ya du yus shin. Il ne veut pas qu’on se moque de lui.Aitsu du yus gotasi-laho-shin. Il parle assez bien. (a priori)Aitsu du ushayi shasha ranil-yoma. Il parle assez bien. (souvent)Aitsu du ushayi shasha ranil-sowa. Il parle assez bien.Aitsu du ushayi shasha ranil-yao. Il parle assez bien.Aitsu du fezal shasha ranil-yao. Il parle sans mentir.Aitsu du uso-yushana ge il-lô. Une personne qui ne ment jamais dans sa vie a-t-elle bon cœur ?Dodonbai uso-yushana shu ba shatsue-fu-fe-lasul ? Il ne pleure plus depuis deux heures de l’après-midi.Shiginyago ya bi fak li-ge zuwe-ortoy. Il pleure depuis deux heures.Bi fak ranbaige zuwe-xal. Il pleure depuis deux heures. (on ne sait pas si c’est une date précise ou une durée)Bi fak li-ge zuwe-xal. Il pleurait et continuait à pleurer sans fin.Aitsu du zuwe-xal-mi, zuwe-ran-ran, pexoge naoria-diu ge. Il pleut avec envie/à verse.Aisa ge nari-to-xal. Il pleuvait quand il est parti.Aitsu ba tuanbe ya bai li nari-to-xal. Il pourrait ne pas avoir encore mangé, qui sait.Aitsu du oñan ja manara-layusla. Il pourrait être dans la maison, je n’en sais rien.Aitsu du naguan li fu-layusla. Il prend son temps, dis donc.Aitsu… bai ho chiye bura-chane. Il ressemble à sa femme. (apparence physique)Aitsu du bisatu du-pe imen xotie aun. Il ressemble à sa femme. (comportement)Aitsu du otaxi du-pe imen xotie una. Il parle comme mon oncle.Aitsu du ji ya ozaba xogal il-lô. Il parle comme mon oncle.Aitsu du ji ya ozaba xotie iraga il-lô. Tu es comme moi.Bu du ji xotie iraga fu. Tu es comme moi.Bu du ji xogal fu. Il boit comme il mange.Aitsu du oñan xogal xashi-sowa-lô. Il réussit à porter ça.Aitsu du tsai ho gare-yao-gui / aitsu du tsai ho gare ja baripi. Il s’est blessé en jouant. (pendant qu’il jouait)Aitsu ba yuña ranbai wonsa-tsoa. Il s’est blessé en jouant.Aitsu ba yuña ge wonsa-tsoa. Il s’est blessé en tombant.Aitsu ba totora ge wonsa-tsoa. Il s’est blessé parce qu’il est tombé.Aitsu ba totora bila wonsa-tsoa. Il s’est blessé pendant qu’il jouait.Aitsu ba yuña-xal ranbai wonsa-tsoa. Il s’est blessé quand il jouait.Aitsu ba yuña-xal ranbai wonsa-tsoa. Il s’est enfin décidé à y aller.Guisha guay-gui. Il s’est laissé insulter.Aitsu du wan ho chahil-chi-mi. Il s’est mis à chanter.Shai-to-ñu. Il s’est plaint contre le patron.Shuma ya koga li ñañato-mi. Il s’est heurté contre un mur.Kantei ya koga li bonchao-to. Il s’est heurté à un mur.Kantei li bonchao-to. Il s’est réveillé tard.Aitsu du obon ge pika-tsoa. Il s’est trompé de quelques mètres.Aitsu du piska undi ge xucha. Il s’est un peu trompé.Aitsu du piska xucha. Il se concentre sur le livre.Aitsu du baga ho baotiku. Il souriait.Aitsu ba wihi-mi. Il tomba soudainement. Je demeurai surpris.Pai/paipai, aitsu ba totora-mi. Ji ba xoyafa-ranfu-mi. Il tomba soudainement. Même le lendemain, je continuais à être surpris.Aitsu ba totora-xal-mi. Xoga goshi li ji ba xoyafa-ran-mi. Il tomba. Je demeurai surpris.Aitsu ba totora-mi. Ji ba xoyafa ranfu-mi. Il travaillait sans envie.Aitsu ba wôwô goyka-to-mi. Il va falloir courir, je le crains.Donguay-xalao-xoshad. Il veut ne pas manger cette pomme.Aitsu ba da lugu ho yus oñan ya du shin. Il veut ne pas manger.Aitsu ba yus oñan ya du shin. Il veut rester là-bas.Xuay-dama li ranfu-shin. Il vit dans la même maison que moi.Aitsu du ji xotie iraga ya naguan li baibuay-lô. Il vit dans une maison différente à la mienne.Aitsu du ji xotie wochao naguan li baibuay. Il vit dans une maison qui ressemble à la mienne.Aitsu du ji xotie una naguan li baibuay. Il vit dans une maison semblable.Aitsu du una naguan li baibuay. Il vit sans rien. (il vit sur rien)Aitsu du ufun ya ma li baibuay. Il vit à son rythme (librement).Aitsu du bai ho chichixao bura. Il y a des restes. Je n’ai pas pu tout manger.Chikuha du fu. Swo ho yus oñan-yao. Il y a deux heures, je l’ai vu.Bi fak nuai, ji du aitsu li zugao. À deux heures, je l’ai vu.Bi fak li ji du aitsu li zugao. En moins de deux heures, j’ai réussi à le voir.Bi fak gona, ji du aitsu li zugao-yao-gui. Il y a moins de deux heures, je l’ai vu.Bi fak nuaina, ji du aitsu li zugao. Il y a deux heures, je marchais.Bi fak nuai, ji du zuguay-xal. Il y a moins de deux heures, je marchais.Bi fak nuaina, ji du zuguay-xal. Il y a que je suis tombé.Xal-la-tafu totora-mi-lô. Il y a trois pommes sur la table.Benze ya ma li, dan lugu ba fu. Il y a trois pommes sur la table.Benze ya ma li, lugu du dan-fu. Il y avait deux heures, je l’avais vu.Bi fak nuai, ji du aitsu li zugao-mi. Il écrit avec beaucoup de fautes.Aitsu du afil ur ge pin-to. Il était sur le point de pleurer (au bord des larmes).Aitsu du zuwe-xao-mi. Ils sont déjà arrivés, n’est-ce pas ?Araitsu du laxai uchu-fe-lô ? Ils sont déjà arrivés, n’est-ce pas ?Araitsu du laxai uchu-di ? Irami vit avec son ami. (sous entendu : au même endroit que son ami)Irami du dyig tie baibuay-ranxal. J’ai (Il y a) assez de pommes.Lugu du ushayi. J’ai accepté de l’accompagner.Ji ba aitsu li koguay ja kyokato. J’ai accepté de l’accompagner.Ji ba aitsu li koguay ya du kyokato. J’ai acheté le vieux modèle.Seyi weshwu ho linjao-to. J’ai acheté une pomme rouge bon marché, qui était petite mais avait bon goût.Ji du zu ambo shañam-fu tantin mei lugu ho linjao. J’ai aidé à remettre le vieillard debout.Boke ho lada-tsoa-suren ja jukama. Sur le panneau, était écrit : « Attention : marchandage interdit ».Shartori ba lanwo-chi-tafu : « xoy : rinlilil ba toa-to-laho-xoy. J’ai aidé à remettre le vieux monsieur debout.Semon ho lada-tsoa-suren ya du ji ba jukama. J’ai appelé le médecin.Ji du beganshu ho soma-to-lô. J’ai apporté le chat à mon ami (avec les deux mains, avec effort).(Ji du) dyig li mimao ho bioto. J’ai apporté le chat à mon ami (avec une main, sans trop d’effort).Ji du dyig li mimao ho oto. J’ai appris à courir.Ji du donguay ya ho boan-ñao. J’ai appris à courir.Ji du donguay ja boan-ñao. J’ai appris à courir.Ji du donguay du-pe boan-ñao. J’ai appris à courir. (sous-entendu, ça fait longtemps que j’ai appris/c’était très facile à apprendre)Ji du donguay-nante boan-ñao. J’ai assez de pommes.Ji du lugu ho ushayi lin. J’ai attiré l’attention des gens sur l’incendie.Ji du shushu ho buifa ja xoyil. J’ai beaucoup de fruits.Ji du shikua ho afil lin. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer.Bu li dopa du-pe ji du jan xama-to. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer.Bu li dopa ja ji du janme xama-to. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer.Bu li dopa ja ji du janme xama. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer. (peu courant, je suis jovial à te rencontrer)Bu li dopa ja ji du lamar xamae-sha. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer.Bu li dopa ja ji du me xama-tsoa. J’ai beaucoup de joie à te rencontrer.Bu li dopa ja ji du meme xama-to. J’ai beaucoup de pommes.Ji du afil lugu ho lin. J’ai beaucoup de pommes.Ji du lugu du-pe afil lin. J’ai beaucoup de pommes.Ji du lugu ho afil lin. J’ai beaucoup marché.Ji du janme zuguay. C’est du gaspillage (quel dommage.)Kur-fu-lô. C’est malheureusement du gaspillage (quel dommage.)Kur-fu-xoshad. J’ai besoin de t’en parler. (Je dois t’en parler)Bu li tsai ho uzil-xayi. J’ai bientôt fini.Zugozugo dwo-ñao. J’ai calculé les dimensions de la pièce.Shaki ya taoxusria ho jinbantsu. J’ai caressé le chat.Mimao ho ximashegi. J’ai cassé ta boîte. Je suis sincèrement désolé.Xakai ho bojo-to-aiga. Xol-binte baxad. J’ai cassé ta boîte. Je suis sincèrement désolé.Xakai ho bojo-to-aiga. Xol-binte baxad-fu. J’ai couru 30 kilomètres. —Quoi ? sérieux ?Ji ba dantol unondi ho donguay-ñao. —La ? Boe ? J’ai deux enfants.Chuge ba bi. J’ai déjà mangé.Ji du laxai oñan. J’ai dû voler pour pouvoir manger.Oñan-yao yaxari oyobi-xalao-mi. J’ai dû voler pour pouvoir manger.Oñan-yao yari oyobi-xalao-mi. On s’est assis pour manger.Arji du oñan yari fei-tsoa. J’ai encore cinq minutes pour arriver chez moi.Ji du wanxuay li uchu tahin ol fun ho lin-ran. J’ai entendu comme un bruit de sabot.Ji du sokot ya lon ho luwo-layusla. J’ai entendu comme un bruit de sabot.Ji du sokot ya lon-layusla ho luwo. J’ai entendu comme un bruit métallique.Ji du deche ya lon ho luwo-layusla. J’ai eu tendance à trop manger.Dichaime oñan-kaolin. J’ai eu tendance à vouloir trop manger.Dichaime oñan-shin-kaolin. J’ai eu une idée (soudain) !Pai li luma ho lin ! J’ai fabriqué cette maison grâce à toi. Merci.Da naguan du/ho bu shiel dosho-mi. Shielsha. J’ai fabriqué cette maison pour toi.Da naguan du/ho bu bun dosho-mi. J’ai fabriqué ça avec mes (deux/propres) mains. (reprise)Ji ya bi esku tie tsai ho dosho-mi. J’ai fabriqué ça avec mes (deux/propres) mains. (ça : chose montrée)Ji ya bi esku tie tsai ho dosho-mi. J’ai faim, une aumône s’il vous plaît…Keta-xuwe, bawisha-xima… J’ai fait manger des céréales à la poule pour qu’elle grossisse.Pugpug ba ogon-tsoa yaxari ji du siskua ge oñan-suren. J’ai fait tomber mon sac.garua-ji ba ji li totora-tsoa. .note Sens : le sac s’est échappé de moi et est tombé au sol. J’ai fait tomber mon sac.Ji ba garua-ji ho totora-suren. .note Sens : j’ai fait tomber le sac volontairement. J’ai fini (de faire) le travail d’hierNashi ya goyka ho dwo-ñao. J’ai fini (de faire) le travailGoyka ho dwo-ñao. J’ai foiré mes examens.Xansepiki ho xucha-mi. J’ai forcé à manger des céréales à la poule pour qu’elle grossisse.Pugpug ba ogon-tsoa yaxari, ji du siskua ge oñan-tomo. J’ai foutu mes vêtements dans le sac.garua li ji ya nala ho chan. J’ai foutu mes vêtements dans le sac.garua li ji ya nala ho chanto. J’ai gardé mes vêtements dans l’armoire.Ji ya nala ho nalawa li ranpun. J’ai l’habitude de marcher.Ji du zuguay-sowa. J’ai laissé faire aux autres.Ji du artushu ho chitsen. J’ai laissé faire aux gens (aux autres).Ji du shushu ho chitsen. J’ai laissé faire à autrui.Ji du bonshu ho chitsen. J’ai laissé faire.Ji du bu li chitsen. Il s’est laissé prendre par eux.Aitsu du araitsu li wan ho bura-chi. Il s’est laissé tomber sur la chaise.Aitsu du poro li wan ho totora-chi. Il s’est laissé tomber sur la chaise.Aitsu du poro ya ma li wan ho totora-chi. Il s’est laissé tomber sur le sofa.Aitsu du ziba ya ma li wan ho totora-chi. J’ai mal au ventre pour avoir trop mangé.Ji du (wuz ge/)dichaime oñan bila, berogi ba aicha. J’ai tellement mangé que j’ai mal au ventre.Ji du oñan choxol, berogi ba aicha. J’ai mal à la tête.Maira ba dug-fu / (ji ya) maira ba aicha. J’ai mesuré deux mètres pour la hauteur de la porte.Osu ya maen li bi undi ho taoxus. J’ai mesuré deux mètres pour la hauteur de la porte.Osu ya maen du-pe bi undi ho taoxus. J’ai mesuré la porte.Ji du osu ho taoxus. J’ai mis cinq heures à arriver.Ji du uchu yaxari ol fak ho bai-tsoa. J’ai mis cinq heures à arriver.Ji du uchu yaxari ol fak ge bai-tsoa. J’ai mis de l’ordre dans mes affaires.Wan ya mono ho ranpun. J’ai mis les gants.Bionala ho pun-mi. J’ai mis une heure à me décider. (trop)Ji du dwo-gui yaxari fa fak ho oboncha. J’ai mis une heure à me décider. (trop)Ji du dwo-gui yaxari fa fak ge oboncha. J’ai mis une heure à me décider.Ji du dwo-gui yaxari fa fak ho bai-tsoa. J’ai nettoyé la pomme avec de l’eauLugu ho jua ge xuaxoro-mi. J’ai perdu mon ruban… zakuro ho ushwu-mi-xuwe…" J’ai perdu un gant.Bionala ya nisiu ho ushwu. J’ai peu de pommes.Ji du piska lugu ho lin. J’ai peu envie de marcher.Zuguay ja aisa ba piska-fu. J’ai plus de pommes que toi.Lugu du-pe bu xotie ji du chai lin. J’ai plutôt mal parlé que bien parlé.Ji du shasha ranil xotie cha ranil-kaolin. J’ai plutôt mal parlé. (J’ai eu tendance à mal parler)Ji du xol-cha ranil-kaolin. J’ai plutôt mal parlé. (J’ai parlé assez mal)Ji du fezal xol-cha ranil. J’ai plutôt trop manger.Dichaime oñan-kaolin. J’ai poirauté pendant une heure.Ji du fa fak ranbai shueshue-ranxal. J’ai poirauté pendant une heure.Ji du fa fak ranbai shueshue. J’ai pu (on m’a permis de) le voir.Aitsu ho gao-biupei. J’ai ramassé ça : tiens.Daya ho noabura : zaochi. Si tu veux une pomme, sens-toi libre d’en prendre une.Lugu ho shin pe zaochi. Si tu veux entrer, sens-toi libre de le faire.Bu du anai-shin pe zaochi. Si tu veux, je peux t’aider. (excuse-moi, tu as besoin d’aide ?)Barkatu, bu du jukapei-xayi-fe ? Si tu veux, je peux t’aider.Omoxi xayi, bu du jukapei-xayi-fe ? Si tu veux, je m’en vais. (immédiatement)Omoxi xushi, ji du mehen tuanbe. Excuse-moi, tu as besoin d’aide ? (de recevoir de l’aide)Barkatu, bu du jukapei-xayi-fe ? Excuse-moi, tu as besoin d’aide ?Barkatu, bu du jukama ja xayi-fe ? J’ai remis le verre debout.Xashiwa ho zapun. J’ai rempli le verre avec de l’eau.Ji du xashiwa ho jua ge fili-to. J’ai renoncé à arrêter le chat.Ji du mimao ho atoy ja ortoy. J’ai renoncé à arrêter le chat.Ji du mimao ho atoy-ortoy. J’ai renoncé à le convaincre.Ji du aitsu ho milaushil ja ortoy. J’ai renoncé à le convaincre.Ji du aitsu ho milaushil-ortoy. J’ai renoncé à mon poste.Ji du porta ho ortoy. J’ai réussi à le lui dire.Ji du aitsu li tsai ho il-baripi. J’ai réussi à marcher.Ji du zuguay-baripi. J’ai réussi à sauter.Ji du babu-baripi. J’ai senti comme une odeur métallique.Ji du deche ya fer ho ñebu-layusla. J’ai seulement une pomme.Lugu du fa ya (ho) ustu lin. J’ai soif.Xashe-fu. J’ai supporté ses insultes.Ji du aitsu ya chaxilria ho bioto. Je ne le supporte pas.Ji du aitsu ho yus bioto. Je ne peux pas le supporter.Ji du aitsu ho yus bioto-yao-lô. Pour une fois dans ma vie, je fais un bon geste… et ça ne sert à rien.Ustu fa yori ge, ji du ximaria ho dwo… ambo, so du muda-fu-mi. Ne tenez aucun compte de ce qu’il dit.Aitsu ba il ja yus fugao-xima. (yus luwo-xa) Essayons quelque chose !Okaldu ho gaora ! J’ai tendance à ne pas marcher droit.Ji du wa ge yus zuguay-sowa-kaolin. J’ai tendance à ne pas marcher quand il fait froid.Kal ya bai li yus zuguay-sowa-kaolin. J’ai tendance à ne pas marcher quand il fait froid.Kal-fu geyi li yus zuguay-sowa-kaolin. J’ai tendance à ne pas marcher quand il fait froid.Kal-fu ya bai li yus zuguay-sowa-kaolin. J’ai tendance à trop manger.Dichaime oñan-sowa-kaolin. J’ai tendance à vouloir trop manger.Dichaime oñan-shin-sowa-kaolin. J’ai tourné le pommeau de la porte.Osu ya pino ho gu. J’ai trois petits-enfants.Ji du dan oseiche ho lin. J’ai trop de pommes. Sens-toi libre d’en prendre quelques-unes.Lugu ho dichaime lin. Baxad-diu ge zuydi ho bura-lô. J’ai trop de pommes. Sens-toi libre d’en prendre quelques-unes.Lugu ho dichaime lin. Zuydi ho bura-zaochi-lô. J’ai trouvé ça injuste. Voilà pourquoi je suis parti. (C’est pour cette raison que, c’est la raison pour laquelle que)Ji du tsai ba zuruy ja lai. Dabilage tuanbe. J’ai une maison avec une table rouge.Mei benze-line naguan ho lin. J’ai une maison avec une table rouge et une cuisinière.Fa xamintorka-line yo fa mei benze-line naguan ho lin. J’ai une maison très belle avec une table rouge qui pèse beaucoup et une belle cuisinière pour cuisiner.Xamin-to yari ruxe xamintorka tie yo janjan poxas-to mei benze tie ya naguan ho lin. J’ai une maison qui a une table rouge.Mei benze ho lin naguan ho lin. Ma maison a une table rouge.Ji ya naguan du mei benze ho lin. J’ai une maison et une pomme, entre autres.Naguan yo fa lugu iyoyo ho lin. J’ai une maison et une pomme.Naguan yo fa lugu ho lin. J’ai une maison munie d’une table rouge.Mei benze ho tie-fu naguan ho lin. (plus lourd) J’ai une maison qui a une table rouge.Ji du mei benze ho lin naguan ho lin. (lourd) J’ai une maison qui a une table rouge.Mei benze ho tie-fu naguan ho lin. J’ai une maison, et puis même une pomme et un chien.Naguan ho lin yogo xoga lugu yo paochi. J’ai une maison, un chat, un chien, une pomme (parmi bien d’autres choses).Naguan yo mimao yo paochi yo lugu iyoyo ho lin. J’ai une soudaine envie de manger une pomme.Pai, lugu ho oñan-shin-ñu. J’ai uniquement chanté. (Je n’ai fait que chanter)Ji du ustu shai-to. J’ai vendu un terrain. (j’ai fini de vendre le terrain)Xuasiu ho xaozan-ñao. J’ai vendu un terrain.Xuasiu ho xaozan. J’ai volé pour pouvoir manger.Oñan-yao yaxari oyobi. J’ai volé pour manger.Oñan yari oyobi. J’ai volé pour que tu manges.Bu ba oñan yari oyobi. J’ai volé pour que tu puisses manger.Bu ba oñan-yao yari oyobi. J’ai volé pour, en fin de compte, rien.Ariatoge, ji ba oyobi ja muda-fu-mi. J’ai été envoyé en prison pour avoir volé.Ji du oyobi bila chamiki-to-laho. J’ai vu celui qui a la pomme rouge.Ji du mei lugu ho lin da kata ho gao. J’ai vu celui qui a la pomme rouge.Ji du mei lugu ho lin da kata ho gao. J’ai vu cette pomme dont la couleur est verte.Ji du belka pangia-line da lugu ho gao. J’ai vu cette pomme dont la couleur est verte.Ji du belka pangia ya da lugu ho gao-mi. J’ai vu cette pomme dont la couleur est verte.Ji du belka pangia ho lin da lugu ho gao-mi. J’ai vu cette pomme qui est verte.Ji du belka-fu da lugu ho gao-mi. J’ai vu cette pomme verte.Ji du da belka lugu ho gao-mi. J’ai vu la pomme et j’ai regardé mon ami.Lugu ho gao-mi dyig li gao. J’ai vu le renard à deux reprises.rifai ho bi bai ge gao-mi. J’ai vu mon ami.Dyig-ixie ho gao-mi. J’ai à peine fini de travailler.Mena goyka-to-ñao. J’ai à peine mangé.Ji du yuxo oñan. J’ai été permis d’entrer par Son Excellence.Ji du dihaoxanin shiel anai-biupei. J’aime ce mets. (ce type de nourriture ainsi cuisinée)Da xamin ho zama. J’aime celui-là, mais pas celui-ci.Damaya du-pe zama, ambo daya du-pe yus. J’aime celui-là.Damaya ja zama J’aime courir.Zuguay ja zama J’aime la nature.Xisho ho zama. J’aime la nouvelle version.Ji du zata weshwu ho zama. J’aime le soleil qui nous réveille le matin.(Ji du) so zuyshi li arji ho pika-suren shishi ho zama. J’aime les arbres en miniature.Ji du zu-weshwu abol ho zama. J’aime les pommes mais que les rouges.Lugu ho zama, ambo ustu mei ya. J’aime marcher, mais courir… pas trop.Zuguay du-pe zama, ambo donguay du-pe… usgabi. J’aime marcher, mais courir… pas trop.Zuguay du-pe zama, ambo donguay du-pe… zupua. J’ajoute plus que je n’enlève.Xoro ya xotie zalpun ya ba chai lô. J’ajoute plus que je n’enlève.Ji du xoro ya xotie zalpun ya ba chai dwo-lô. J’apprends à courir (dernièrement).Ji ba donguay ya ho boan-xe. J’arrivai avant la nuit.Ji du wog nuai uchu-mi. J’arrive en retard.Obonchae ge uchu. J’en ai un peu trop.Piska dichaime ho lin. J’en mange une rouge maintenant.Dabai li mei ya ho oñan. J’en veux un encore plus grand !Mo chai ogon ya ho shin ! J’enlève moins que je n’ajoute.Zalpun ya xotie xoro ya ba zun lô. J’enlève moins que je n’ajoute.Ji du zalpun ya xotie xoro ya ba zun dwo-lô. J’entends un bruit. Tu l’entends ?Ji du tulon ho luwo. Luwo-fe ? J’habite une maison bleue.Feye naguan li baibuay. J’hésite à lui parler.Aitsu ho dilma-feyusfe. Je continue à m’amuser parce que je vis.Kixe bila, yuña-ran. Je crains de ne pas être aussi honnête que tu sembles le croire.Bu ba lai-aun tsai xotie, ji du yus cho mushan-fu-xoshad. Je crains de ne pas être aussi honnête que tu sembles le croire.Bu ya kanlairia wochan, ji du yus cho mushan-fu-xoshad. Je dirai ceci : tu te trompes. (Voilà que je dis/je dis, voilà :)Ji du il-gura-tafu : bu ba muyu-tsoa. Je dois faire mon travail.Ji ya goyka ho dwo-xabao. Je dois travailler.Goyka-to-xabao. J’ai donné une pomme au renardrifai li lugu ho rei. Je désire acheter cette maison.Da naguan ho linjao-rao. Je désire cette maison.Da naguan ho rao. Je désire ne pas manger.Yus oñan-rao. Je désire vous rendre visite.Oger ho sirigaosi-to-rao. Je finis toujours avant toi.Ji du sobai bu xotie nuai dwo-ñao. Je finis toujours de manger avant toi.Ji du sobai bu xotie nuai oñan-ñao. Je finis toujours de manger le repas avant toi.Ji du xamin ho sobai bu xotie nuai oñan-ñao. Je l’ai aperçu vers trois heures.Aitsu ho uwei dan fak li zugao-mi. Je l’ai fait tomber (sans le faire exprès).Aitsu ho totora-suren. Je l’ai fait tomber.Aitsu ho totora-tomo. Je l’ai fait, et pourquoi, à cause de toi ! (pour toi, en raison de toi)Dwo bila-la : bu bila lô ! Je l’ai fait, et pourquoi, à cause de toi ! (pour toi, en raison de toi)Dwo bila-la : bu bila fu-lô ! Je l’ai laissé manger seul.Ji du aitsu ho shao ge oñan-chi. Je l’ai laissé partir.Ji ba aitsu ho mufo-chi-mi. Je l’ai laissé seul.Ji du aitsu ho shao ge chitsen. Je l’ai vu à l’instant.Aitsu du-pe mena gao-mi. Je l’ai vu à l’instant.Aitsu ho mena li gao-mi. Je le pousse à se retourner vers moi.Aitsu ho ji wei guru-tomo. Je le vois.Aitsu ho gao-xe. Il est écrit le caractère vingt.Bitol ya pin ba pin-sha. Je lui ai apporté le sac lourd.Ji du aitsu li poxas garua ho bioto. Je m’appelle Celui Qui Sait Tout.Ji du Swo ho Fugao Shu nano. Je m’approche de l’arbre.Abol li kai. Je m’apprête à parler en tant que membre de la famille.Ji du amaiti ya elun toshte ranil-xao. Je m’apprête à réparer la fenêtre.Ji du gefon ho mozan-xao. Je m’en contrefiche ! Je m’en fous ! Tu m’entends ?Ji li me suwaretsa ! me chan-tsoa ! luwo-fe ? Je m’éloigne de deux mètres.Ji ba bi undi ge taori. Je m’éloigne de deux pas.Ji ba bi pi ge taori. Je m’éloigne.Ji ba taori-xal. J’ai mangé celle-ci.Daya ho oñan. J’ai mangé celle-ci.Daya ho oñan. J’ai mangé une pomme.Lugu ho oñan. Je mangerai avant d’aller dormir.Ji du oyu-to nuai oñan-gura. Je marche alors que, toi, tu chantes.Ji ba zuguay-xal, yagambo bu ba shai-to-xal. Je marche avec mon ami.Dyig tie zuguay. Je marche souvent.Ji du zuguay-sowa. Je marche tous les matins.Ji du so shiginyana li zuguay-sowa. Je marche vers la maison.Ji du naguan wei-li zuguay. Je vais vers la maison.Ji du naguan wei guay. Dehors, il pleut.Sawdan, nari-to-xal. Dehors, il pleut.Sawdan, nari-to. Je marche à l’extérieur.Ji du sawdan zuguay. / Ji du sawda li zuguay Je suis dehors.Ji du sawdan fu. Je vais vers la maison.Ji du naguan wei-li guay. Je vais à la maison.Ji du naguan li guay. Je vais au sein de la maison.Ji du naguan ya xuay li guay. Je vais dehors.Ji du sawdan guay. / ji du sawdanri guay. (emphase) Je suis dedans.Ji du xuayan fu. Je suis à l’intérieur de la maison.Ji du naguan li fu. Je suis à l’intérieur de la maison.Ji du naguan xuayan fu. Je suis à l’intérieur de la maison.Ji du naguan ya xuay li fu. Je vais dedans, à l’intérieur.Ji du xuayan guay. / Ji du xuayanri guay. (emphase) Je vais dans l’eau.Ji du jua li guay. Je vais dans l’eau. (j’y suis et je progresse dans l’eau)Ji du jua ge guay. Je vais sur le chemin.Ji du pya ge guay. Tu peux le trouver vers le marché.Basaye wei-li (bu du) da kata ho kaitia-yao-yoma. Tu devrais pouvoir trouver cette personne.Da kata ho kaitia-yao-yoma. Tu devrais pouvoir marcher, à cet âge.Bu ya buma ge zuguay-yao-yoma. Il devrait déjà être arrivé. (inquiétude)Aitsu du uchu-yoma-nanga. Il aurait déjà dû être arrivé. (inquiétude)Aitsu du uchu-yoma-nanga. Quant aux tables, la maison en était dépourvue.Benze du-pe, naguan du odiu. La maison est dépourvue de tables.Naguan du benze-diu. La taverne sans tables est à gauche.Benze-diu maoka du yaska li fu. La taverne sans tables est à gauche.Benze-diu maoka du yaskan fu. Je suis tombé au même endroit exactement où tu es tombé.Bu ba totora me da toki li ji xoga totora. Le lieu du palais est beau. (les environs, les jardins et le lieu-même)Palatyoa ya toki du ruxe-fu-lô. Tu étais dans le lieu du crime.Bu du berid ya toki li fu-mi. Je suis tombé à cet endroit.Ji du da toki li totora. Il tombe tout le temps.Aitsu du totora-sowa. Quelle quantité, à peu près/environ ?Chailazula/uwei zal-la ? Je me demande où est la maison.Ji du naguan ba xuay-la ja lasul-lô. Je me demande quel est le sens de la vie.Daoxi ba fuisha-la ja lasul-lô. Je me demande quel est le sens de la vie.Daoxi ba fuisha-la ya du lasul-lô. Je me demande qui est arrivé.Kai shu-la-lasul. Je me refuse à croire que c’est vrai.Daya/(tsai) ba iwo ja lai ya du iyayo. Je me refuse à croire que c’est vrai.Daya/(tsai) ba iwo ja lai-iyayo. Je me refuse à manger(Ji) oñan ya du iyayo. Je me suis blessé, et pourquoi : à cause de toi !Wonsa-tsoa, bila-la : bu bila lô ! Je me suis blessé, et pourquoi : à cause de toi !Wonsa-tsoa, bila-la : bu ya chaon li lô ! Je n’ai jamais bus d’alcool.Ji du shihito ho uzabai xashi. Je n’ai mangé qu’une pomme.Fa lugu (ho) ustu oñan-mi. Je n’ai mangé qu’une pomme.Ustu fa lugu ho oñan. Je n’ai pas beaucoup de pommes, mais je veux bien t’en donner une. (j’ai la possibilité d’avoir l’intention de t’en donner une)Lugu du yus afil lin, yogo ustu fa du-pe rei-bao-yao-lô. Je n’ai pas d’ailes, mais même ainsi je veux voler.Lanlan ho yus lin, xolxoga don-shin. Je n’ai pas encore acheté cette boîte.Da xakai ho linjao ja manara. Je n’ai pas envie.Yus aisa-to-wô. Je n’y vais pas. Et puis, je n’en ai pas envie.Yus guay-bao. Yochai, yus aisa-to-wô. Je n’ai pas plus de pommes que celle-ci.Lugu du daya ho ustu lin. Je n’ai pas plus de pommes que toi.Lugu du-pe bu xotie ji du chai yus lin. Je n’ai pas pu (on ne m’a pas permis de) le voir.Aitsu ho yus gao-biupei. (< Aitsu ho gao ja yus biupei) Je n’ai pas pu m’empêcher de rire. (sans pouvoir m’en empêcher, j’ai ri)Ji du wan li yus yao ge xamasi. Je n’ai que deux yeux : je ne peux pas tout voir.Ji ya mun ba ustu bi-fu, ja-yo swo ho yus gao-yao-lô. Il a dessiné un arbre sur le tableau.Aitsu du abel li abol ho wapapin. Je n’ai rien fait !Ji du ufun ho dwo ! / Ji du ufun-yi-lô ! Je n’ai rien.Ji du ufun ho lin. Je n’aime ni la nuit ni les renards.Wog yus rifai yus ho zama. Je n’arrive pas à le comprendre.Aitsu ya ho yus fuybura-bochane. Je n’arrive pas à le comprendre.Aitsu ya ho yus fuybura-bochane. Je n’arrive pas à savoir (ne peux pas conclure) si cette pomme est bonne ou mauvaise.Da lugu ba tsue-fe dug-fe yus bilagui-yao. Je n’arrive pas à savoir (ne peux pas conclure) si cette pomme est bonne ou mauvaise.Da lugu ba tsue-fu-fe dug-fu-fe (ji du) yus bilagui-yao. Je n’arrive pas, mais du tout, à le comprendre.Aitsu ya ho bochane yus fuybura. Je ne dis queJiji ustu ge Je ne le supporte pas.Aitsu ho yus bioto. Je ne peux pas croire que tu aies fait une bêtise pareille !Bu ba cho barate ho dwo (ya du) yus lai-bochane ! Je ne peux pas le supporter pas.Aitsu ho yus bioto-yao. Je ne sais pas où il mange (d’habitude).Aitsu du oñan-sowa xuay ja yus fugao. Je ne sais pas si cette pomme est mauvaise ou pas.Da lugu ba tsue-fu-feyusfe. Je ne sais pas si j’entends un bruit de sabot ou la pluie.Nari-fe sokot ya lon-fe ho luwo-feyusfe. Je ne sens plus ma main !Esku ho yu zao ! Je ne suis qu’un peu malade.Ji du yuxo dug-fu. Je ne suis que moi.Ji du ustu ji-fu. Je ne veux pas manger.(Ji ba) yus oñan-shin. Je ne veux pas manger.Yus oñan-shin. Je ne veux pas qu’on se moque de moi.Ji ba gotasi-laho ya du yus shin. Je ne veux pas qu’on se moque de moi.Ji du yus gotasi-laho-shin. Je ne veux pas y aller.Guay ja yus shin. Je ne veux pas y aller.Guay ya du yus shin. Je ne veux pas y aller.Yus guay-shin-wô. Je ne veux pas y aller/Je n’ai pas envie d’y aller.Guay ja yus aisa-to-wô. Je ne veux pas y aller/Je n’ai pas envie d’y aller.Yus guay-shin-wô. Je passe devant la maison pour regarder/vérifier si au moins une des fenêtres s’est ouverte.Naguan ya goan li ji ba puyai, yaxari-la, mezunge fa gefon ba anur-tsoa feyusfe ja iwofei ya bao li. Je passe mon temps à marcher. (je consacre pas mal de temps à marcher)Zuguay ya li baibuay-lô. Je te consacre tout mon temps.Bu li ji ya so bai ho rere-lô. Je mets pas mal de temps à arriver.Ji du uchu ja fezal bai-tsoa-lô. Je mets pas mal de temps à rentrer chez moi.Wanwai ja fezal bai-tsoa-lô. Je passe mon temps à marcher. (je n’arrête pas de marcher, je marche sans arrêt)Ji du aira-diu ge zuguay-lô. Je pensais avoir réparé l’appareil (j’étais censé l’avoir réparé), mais il ne marche toujours pas.Ji du da aparei ho zata-yoma, ambo tsai du yus dancho-ran. Je pensais avoir réparé l’appareil (j’étais censé l’avoir réparé), mais il ne marche toujours pas.Ji du da aparei ho zata-yoma, ambo tsai ba dancho ja manara. Je pense qu’il a raison.Ji du aitsu ba nishiwo ja lai. Je pense qu’il viendra.Aitsu ba kai ya du ji ba lai. Je pense qu’il viendra.Ji du aitsu ba kai ja lai. Je pense qu’il viendra.Ji du aitsu ba kai ya ho lai. Je pense que je viendrai. (j’ai l’intention de venir a priori)Ji du yomanuma kai-bao. .ph A priori, j’ai l’intention de venir. Ji du kai-bao-yoma. Je perd mes gants. (Ils me sont trop grands)Bionala du ji li ushwu-tsoa. Je peux écrire.Ji du pin-to-yao. Je refais la maison.Naguan ho mo dosho-xe. Je refais la maison.Naguan ho mozan. Je remange une pomme.Lugu ho mo oñan-xe. Je respire l’air du ciel.Fael ya zon ho gizi. Je respire parce que je vis.Kixe xolge, gizi-ran. Je restai sans manger.Ji ba oñan-diu ge ranfu-mi. Je restai sans manger.Ji ba oñan-diu-ranfu-mi. Je restai sans savoir quoi dire.Ji ba orinshila-sha-ranfu-mi. Je reste tranquille à la maison.Naguan li ganma-ranfu. Je sais que tu ne veux pas y aller. Même ainsi allons-y.Bu ba guay yus shin ya ho ji du fugao. Xolxoga guay-ar-xa. Je sais écrire.Pin-to du-pe xolbura. Je sens l’alcool (ailleurs)Shihito ho ñebu. Je suis allé à la capitale.Shingina li guay-mi. Je suis arrivé à la capitale.Shingina li guay-ñao. Je suis assise entre deux arbres.Bi abol ginan, ji ba fei. Je suis assise entre deux arbres.Ji du bi abol ginan fei. Je suis blessé parce qu’un renard m’a attaqué.rifai ba ji ho tobiña bila, wonsa-fu. Je suis blessé parce qu’un renard m’a attaqué.rifai ba ji ho tobiña dadage, wonsa-fu. Je suis blessé parce qu’un renard m’a attaqué.rifai ba ji ho tobiña xolge, wonsa-fu. Je suis blessé, car je me suis blessé. Le responsable, c’est le couteau qui m’a blessé. —Non, c’est toi, le responsable.Wonsa, bila-la, wonsa-tsoa-mi. Wonsa-to-mi ya tonin du zeke. —Wochao, tonin ja bu fu-lô. Je suis blessé, car je me suis blessé. Le responsable, c’est le couteau qui m’a blessé. —Non, c’est toi, le responsable.Wonsa-tsoa bila, wonsa-fu. Ji ho wonsa-to tonin du zeke-fu-lô. —Wochao, tonin ja bu-fu-lô. Je suis blessé, et pourquoi, parce qu’un renard m’a attaqué.Ji ba wonsa-fu, bila-la, rifai ba ji ho tobiña bila. Je suis celui que tu cherches.Bu ba shukin da kata du ji-fu. Je suis celui qui chantes.Shai-to-xal da kata du ji-fu. Je suis content, car j’ai mangé une pomme.Lugu ho oñan bila, shinpinsha. Je suis content, car j’ai mangé une pomme.Shinpinsha, bila-la, lugu ho oñan bila. Je suis dans la maison.(Ji du) naguan li (fu). Je suis dans la maison.Naguan li fu. Je suis devant toi.Ji ba bu goan fu. Je suis devenu directeur.Ji du xartofu li otsoa. Je suis en mode examens. (j’étudie beaucoup)Ji du xansepiki ya fwo li fu. Je suis en retard.Obonchae-fu. Je suis en train d’apprendre à courir.Ji ba donguay ya ho boan-xal. Je suis en train de manger.Oñan-xal. Je suis en train de tourner le pommeau de la porte.Osu ya pino ho gu-xal. Je suis fatigué depuis hier.Nashi ge bexeche-sha. Je suis fatigué depuis hier.Nashi ya bai ge bexeche-sha. Je suis ici.(Ji ba) xuay li (fu). C’est endroit est cet endroit ici ? C’est ici ?Da toki ba xuay-fu-fe ? C’est où « ici » ?Xuay-nante xuay-la ? Ici, c’est où ?Xuay du xuay-la ? C’est ici ?Xuay-fu-fe ? Tu es ici ?Bu ba xuay fu-fe ? Tu es ici ?Bu ba xuay li fu-fe ? Ah ! Tu étais donc ici ?Ah ! Bu ba me da toki li fu-mi-fe-lô ? Ah ! Tu étais ici ?Ah ! Bu ba xuay fu-mi-fe-lô ? Tu es ici ?Bu ba xuay fe ? Ici ?Xuay-fe ? Là-bas, c’est où ?Xuay-dama du xuay-la ? Là-bas, c’est joli ?Xuay-dama du ruxe-fu-fe ? Il est très loin.Aitsu du taotao-fu. Je suis indifférent. (caractère)Ji du yose-fu. Je suis indifférent. (ça ne me fait rien, ça ne m’affecte pas) (en ce moment)Ji du yose-sha. La Nature est indifférente aux malheurs des hommes.Xisho du shufu ya ar xosh li-du yose-fu. Je suis plus en avant que toi.Bu xotie chai goe-fu. Je suis rentré chez moi sans pommes.Ji du lugu-diu ge wanwai. Je suis rentré chez moi sans pommes.Ji du lugu-diu ge wanxuay li guay. Je suis rentré chez moi sans pommes.Ji du lugu-diu ge wan ya gi li guay. Je suis retombé dans le même trou. —Sérieusement… mo fa bai ge iraga awa li totora-mi. —fuyoi…" Je suis retombé dans le même trou… mo fa bai ge iraga awa li totora-fuyoi…" Je suis sorti de la maison.Naguan ge mufo. Je suis surpris (homme).Boe ! Xoyafa-fu-mon. Je suis sûr qu’il viendra.Aitsu ba kai ya du ji ba sie-sha. Je suis tellement triste que je ne peux pas parler.Ji du bawaga-sha choxol, yus behil-yao. Je suis tombé dans le trou.Awa li totora. Je suis tombé. En conséquence, je suis blessé.Totora-mi ariago wonsa-fu. Je suis toujours à la maison.Naguan li sobai fu. / Wanxuay li sobai fu. Je ne suis jamais à la maison.Wanxuay li sobai yus fu. Je n’ai jamais été là-bas.Xuay-dama li uzabai yus fu. Je ne serai jamais de la vie là-bas.Xuay-dama li dodonbai yus fu. Je ne serai plus jamais de la vie là-bas.Xuay-dama li yuyuren fu. Je ne serai plus jamais de la vie là-bas, coûte que coûte.Xuay-dama li yuyuren dodonbai fu-lô, xol-soge. Je ne serai plus jamais de la vie là-bas.Xuay-dama li xol-soge yu fu. Je suis trop triste pour parler.Ji du dichaime bawaga-sha bila yus behil-yao. Je suis très contente.Lamar shinpin. Je t’ai vu de loin (à distance).Bu ho tao ge gao. Je t’aime beaucoup.Bu ho jan zaya. Je t’aime.Bu ho zaya. Je t’aime, je t’adore !Bu ho zaya, zahili-to ! Je t’écoute tout de suite, mon trésor (enfant).Mehen lutik-ixie, zuzayin. Je te fais confiance (en fait non).Bu ho dor-to-nante. Je te l’ai déjà dit deux fois !(Bu li tsai ho) bi bai ge laxai il-lô ! Je te l’interdis.(Ji du tsai ho) bu li toa-to. Je te manques.Bu du ji ho betsi. Je tourne le pommeau de la porte.Osu ya pino ho gu-xe. Je travaille dans une cordonnerie.Ji du beiwa ya basa li goy. Je vais approfondir cette pensée.Ji ba da milma ho riwa-to-gura-ñu. Je veux boire du jus de pomme.Lugu ya jus ho xashe-shin. Je veux celle avec le ruban bleu.Feye zakuro-line daya ho shin. Je veux celle qui a plein de rubans bleus.Feye zakuro-file daya ho shin. Je veux celle sans les rubans bleus.Feye zakuro-diu daya ho shin. Je veux manger.Oñan-shin. Je veux manger.Oñan-shin. Je veux qu’il devienne encore plus bleu !Ji du daya ba mo chai feye li otsoa ho shin ! Je veux qu’il devienne encore plus petit !Daya ba mo chai zu-tsoa ho shin ! Je veux que tu partes.Bu ba mufo ho shin. Je veux rester ici.Xuay li ranfu-shin. Je veux savoir qu’est-ce que tu fais.Bu ba dwo-la ja fuybura-shin. Je veux tellement celui-ci !Damaya ho cho shin-shin ! Je veux une pomme.Lugu ho shin. Je veux ça.Daya ho shin. Je viens coûte que coûte.Xol-soge kai. Je viens de finir de travailler. (je sors du travail)Goy-ñao-mena. Je viens de finir le travail.Goyka ho dwo-ñao-mena. Je viens de finir le travail.Mena goyka ho dwo-ñao. Je viens de le voir.Aitsu du-pe gao-mena-mi. Je vis dans une autre maison.Tue naguan li baibuay. Je vis dans une autre maison.Wochao naguan li baibuay. Juste deux mètres plus loin et je suis mort.Ustu bi undi ya tao ge xal pe, ji du zai. L’Empereur doit avoir une protection.Soar ba bonfaixi ho lin-xabao. L’Empereur doit avoir une protection.Soar ba bonfaixi ho linto-xabao. .note empereur, protection, employer/utiliser/disposer, obligation morale/responsabilité. L’Empereur est encore vivant.Soar ba wosobai dao-sha. L’Empereur est mort hier.Nashi, soar ba zai(-mi). L’Empereur est mort.Soar ba zai-fu. L’air de l’atmosphèreZonko ya zon L’air que je respire est pur.Ji ba gizi-xal zon du begal L’ami de mon cousin.Wukji ya dyig. L’ami de mon cousin.Wukji ya dyig. L’amour est une belle émotion.Zahili ba ruxe lilye-fu-lô. L’arbre est sans pommes.Abol du lugu-diu-sha. L’arbre est tellement grand que je ne vois pas le sommet.Abol du cho ogon ja, ma ho yus gao-yao. L’arbre est tellement grand que je ne vois pas le sommet.Abol du cho ogon-fu bila, ma ho yus gao-yao. L’arbre est tellement grand que je ne vois pas le sommet.Abol du cho ogon-fu xolge, ma ho yus gao-yao. L’arbre est vert, mais presque plus.Abol du belka-fu, ambo yuxo. L’arbre n’est déjà plus vert.Abol du laxai yus belka-fu. L’arbre n’est plus vert.Abol du yu belka-fu. L’arbre n’est presque plus vert. (est à peine vert à présent, presque comme si plus)Abol du yuxo belka-fu. L’arbre sans pommes.Lugu-diu abol. L’argent l’a rendu idiot.Tingi du aitsu ho tubao li otsoa-suren. L’autruche court ou elle vole ?Gayaranga ba don ge guay-fe donguay-fe ? L’eau du fleuve brillait comme s’il faisait jour.Uon ya jua du pexoge shi-fu ge binto-mi(-aun). L’eau est liquide.Jua ba juse. L’endroit est près d’ici.Toki ba koye-fu. L’enfant a huit ans.Yun du twan yixu (ho lin). L’enfant a quel âge ?Yun du buma-la. L’enfant a vu son ami.Yun du dyig ho gao. L’enfant a vu son ami.Yun du dyig-ixie ho gao. L’enfant a vu son ami.Yun du wan dyig ho gao. L’enfant est devenu capable de marcher.Yun du zuguay-yao-tsoa. L’enfant est âgé de huit ans.Yun du twan buma. L’enfant est âgé de huit ans.Yun du twan buma. L’enfant fera/(aura cheminé dans la vie pendant) huit ans demain.Goshi, yun du twan yixu ge buma. L’enfant peut marcher maintenant (en ce moment).Dabai li yun ba zuguay-yao. L’enfant que je vois est petit.Ji ba gao zuhin ba zu. L’enfant qui crie est petit.Kial-xal zuhin ba zu. L’enfant, qui crie, est petit.Kial-xal zuhin ba zu. L’homme lui a ordonné de s’asseoir.Zogo ba aitsu ho fei-tsoa-xa ja xahil. L’homme qui est en colère est parti.Tome-sha zogo ba tuanbe. L’homme qui est en train d’acheter les pommes me ressemble.Lugu ho linjao-xal zogo du ji xotie una. L’homme qui me ressemble achète des pommes.Ji xotie aun-fu zogo du lugu ho linjao. L’homme qui me ressemble achète des pommes.Ji xotie una zogo du lugu ho linjao. L’imagination alimente l’esprit.Oyulayen ba wan ya bao ho kuha-to. L’oiseau fixe du regard le renard depuis l’arbre.Lanfu ba abol ge rifai ho shagao. L’oiseau fixe du regard le renard depuis l’arbre.Lanfu ba abol xuaylige rifai ho shagao. L’oiseau peut voler grâce à ses ailes.Lanfu ba lanlan shiel don-yao. L’oiseau vole au-dessus de l’arbre.Lanfu du abol ya mama li don-xal-lô. L’étoile clignote.Woshi ba binbin. La Secte de la Contre-BalanceBuaygato Yin La Secte de la JoieXama Yin La Secte des Deux-PôlesBi Manegi Yin La Secte des EspritsArbao Yin La Secte des NuagesSuan Yin La Secte du Mont CélesteFaeshor Yin La Secte du Papillon BlancSaal Languia Yin La belle fée Sommeil, qui est de nature gentille, l’aida.Shatsue-fu ruxei zuxurin Owahei ba aitsu ho jukuma-mi. La belle maison/La maison, qui est belle, est la mienne…Ruxe naguan du ji ya (mono-fu).. La chaise est entre la table et le mur.Poro du benze yo kantei ginan fu. La chaise est entre la table et le mur.Poro du benze yo kantei xotie gina li fu. La chambre est la pièce où se trouve le lit. (La chambre est la pièce qui a un lit)Oetoki du oe-line shaki-fu. La couleur de la pomme a changé du vert au rouge.Lugu ya pangia du belka li-ge mei li otsoa. Le ciel change tout le temps de couleurs. (va de couleur en couleur)Fael du pangia dienlinlige guay-lô. Le ciel change tout le temps de couleurs.Fael du pangia du-pe aira-diu ge otsoa. Cet homme, je te jure… Il change tout le temps de petite-amie…Da zogo-fuyoi… zinrixie dienrinlige guay-lô. La fée chante une chanson des forêts, danse légèrement, et rit bruyamment.Zuxurin du miza ya shairla ho shai-to-xe-yo, sauze ge yoibi-xe-yo buron ge xamasi-xe. La fée chante, danse, et rit.Zuxurin du shai-to yogo yoibi-to yogo xamasi-to. La fée chante, danse, et rit.Zuxurin du shai-to-bai, yoibi-to-bai, xamasi-to-bai. La fée chante, danse, et rit.Zuxurin du shai-to-yo yoibi-yo xamasi-xe. La fête s’est passée vers trois heures de l’après-midi.Dayexama du shiginyago li/ya uwei dan fak li ranxal-mi. La guilde des quêteursDoxirnin ya xanshibar. La lune est la lumière de l’esprit.Baoshi ba shi ya bao. La maison est faite en boisNaguan ba boxua ge bangoa. La maison est faite en boisNaguan ba boxua-anxua. La maison qui est belle est la mienne…Ruxe-fu naguan du ji ya mono-fu.. La mer est faite/composée d’eau.Xina du jua ge bangoa. La mienne est bonne.Ji ya ba shañam-fu. La mienne/chose de moiJi ya (fu) La montagne est là-bas.Xuashor ba xuay-dama li. La musique est si magnifique !Namisa du me kowoi-shien-xama ! La nourriture est nécessaire pour continuer à vivre.Kixe-ran ya bao li kuha ba xayi. La personne qui essaie d’arrêter, c’est qui ?Atoy-xal-gaora shu-la ? La plume est sous la pomme.Lanlan du lugu ya tan li fu. Cette pomme qui est tombée, je l’ai vue.Ji du totora da lugu ho gao. La pomme a rougi.Lugu ba mei wei-li pangia-tsoa/otsoa. La pomme a rougi/a viré à quelque chose de plus rouge.Lugu ba mei wei-li pangia-tsoa. La pomme devint rouge.Lugu ba mei li otsoa-mi. La pomme devint rouge.Lugu ba mei li pangia-tsoa-mi. La pomme est au-dessous de l’arbre.Lugu ba abol ya tantan li fu. La pomme est chère.Lugu ba lamar hawa-lô. La pomme est devenue rouge.Lugu du mei-tsoa. La pomme s’est coloriée en rouge.Lugu du mei li pangia-tsoa. La pomme est devenue rouge.Lugu du mei li otsoa. La pomme est déjà mangée.Lugu du-pe laxai oñan-laho-sha. La pomme est en train de virer au rouge.Lugu ba mei li pangia-tsoa/otsoa-xal. La pomme est faite pour être mangée.Lugu du oñan-laho yaxari fu-lô(/fu-xisho) La pomme est sur la table.Lugu ba benze ya ma li (fu). La pomme que je mange est bonne.Ji ba oñan-xal lugu du shañam-fu. La pomme que tu as prise est mauvaise.Bu ba bura lugu du dug-fu. La pomme se coloria de rouge.Lugu ba mei li pangia-tsoa-mi. La pomme vire au rouge.Lugu ba mei li pangia-tsoa-xal. La pomme vire au rouge.Lugu du mei wei-li pangia-tsoa La pomme, je l’ai mangée.Lugu ja oñan. La porte mesure deux mètres.Osu du bi undi ge zaxu-to. La poule a été mangée en bénéfice abusif du renard (à mon avis).Pugpug ba rifai ya wuze bun li oñan-laho-mi. La poule a été mangée par le renard.Pugpug ba rifai li oñan-laho-mi. La poule a été mangée à cause du/en bénéfice du renard.Pugpug ba rifai ya bun li oñan-laho-mi. La poule a été mangée. Par qui ?Pugpug ba oñan-laho-mi. (fu ya) bun li-la ? La poule devint grosse.Pugpug ba bake-tsoa-mi. La poule entre dans le poulailler.Pugpug ba pugpugxuay li anai. La poule franchit la porte du poulailler.Pugpug ba pugpugxuay ya osu ho anwari. La poule n’a pas été mangée grâce à l’homme qui l’a protégée.Zogo ba bonfai pugpug ba yus oñan-laho. La poule n’a pas été mangée grâce à l’homme qui l’a protégée.Zogo ba pugpug ho bonfai ya xima li, pugpug ba yus oñan-laho. La poule qui a été protégée par l’homme n’a pas été mangée.Zogo ba bonfai-mi pugpug du yus oñan-laho-mi. La réunion continue (de se passer) ? Non, elle est déjà finie. Elle a eu lieu le matin.Daye du xal-ran-la ? yus, laxai nao-mi. Zuyshi li ranxal-mi. La société impérialeDanxibar. La table couleur rouge.Mei pangia ya benze La table est rougeBenze ba mei-fu. La table qui est rouge est grande.Mei-fu benze ba ogon-fu. La table rouge.Mei benze La tienne est mauvaise.Bu ya du dug-fu. La vieille dame ferma la porte, sortit la chaise à l’extérieur puis s’assit pour s’amuser à regarder passer les gens.Sekelya ba osu ho mife-to-mi, poro ho sawdan-suren-mi, yogo puyai-xal shushu ho baizuay ge gao ya bao li fei-tsoa-mi. La violence, c’est mauvais.Tots ba dug-fu. Laisse passer.Puyai-chi-xa. Le Mont-d’OrTinshor Le bas de l’arbre est beau.Abol ya tan ba ruxe. Le bras me fait mal !Dobi ba aicha, wawai ! Le bébé a mis deux heures à sortir.Nene du mufo yaxari bi fak ho bai-tsoa. Le bébé a mis deux heures à sortir.Nene du mufo yaxari bi fak ge bai-tsoa. Le bébé est né vers trois heures.Nene du dan fak wei-li fuñu. Le bébé est né vers trois heures.Nene du uwei dan fak li fuñu. Le bébé a crié pendant trois heures.Nene du dan fak ranbai kial. Le bébé a crié pendant environ trois heures. (à peu près, approximativement)Nene du uwei dan fak ranbai kial. On s’est rencontré par coïncidence.Arji du tamai ge dopa. Ça m’arrive (ça me prend), de temps en temps (très peu de fois).Tamatama xol-da tamara. Il est arrivé au même endroit par coïncidence.Aitsu du tamai ge iraga toki li uchu. Le bébé a crié pendant environ trois heures. (à peu près, approximativement)Nene du chailazula dan fak ranbai kial. Le chat a trop mangé et le trou est trop étroit : alors, il ne passe pas.Mimao ba dichaime oñan, yogo awa ba cho/dichaime soxe-fu : ariago gin besta yus puyai. Le chat a trop mangé et, comme le trou est trop étroit, il ne passe pas.Mimao ba dichaime oñan, yogo awa ba dichaime soxe-fu dadage/xolge/bila, gin besta yus puyai. Le chat a tellement mangé et le trou est trop étroit qu’il ne passe pas.Mimao ba oñan choxol, yochai awa ba soxe-fu choxol, yus puyai. Le chat est sous (au dessous de) la table.Mimao du benze ya tantan li fu. Le chat s’est transformé en chien.Mimao du paochi li otsoa. Le chien a protégé la poule du renard.Paochi ba rifai li pugpug ho bonfai-mi. Le chien me fait compagnie.Da paochi ba ji ho barere. Le chien se serait mieux porté sans le médecin qui l’a traité/si le médecin ne l’avait pas traité.Paochi du beganshu ba yus zen-mi pe chai sha zao-tsoa. Le cordonnier a vu son cher ami.Beixanshunin ba nanhie ya dyig ho gao-mi. Le corps d’un arbre (tronc)Abol ya beg Le corps d’une personneShu ya beg Le corps d’une personneShu ya sarabeg Le corps humain est composé en partie d’eauShufu ya beg du siun jua ge bangoa. Le cœur est un organe.Isha du begansiu-fu. Le fait de ne plus sentir ses mains peut être dû au froid.Esku ho yu zao ya du kal ya ba bilail-yao. Le fait qu’il soit mort m’attriste.Aitsu ba zai ya du onushimi-fu. Le froid peut provoquer le fait de ne plus sentir ses mains.Esku ho yu zao ya du kal ba osuren-yao. .note Lit. main, plus, sentir, (le fait de), (thème), froid, provoquer, pouvoir. Le haut/sommet de la montagne est beau.Xuashor ya ma ba ruxe. Le livre/Les livresBaga/arbaga Le manteau est fait en laine.Mafalya ba polo ge bangoa. Le manteau est fait en laine.Mafalya ba polo-anxua. Le maître d’école lit ce que l’enfant a écrit.Igo du yun ba pin-to ya ho lanwo-xal. Le meurtrier, c’est toi !Gatsatonin du bu-fu ! Le mouton mangea, s’éloigna, puis se remis à manger.Pula ba oñan-mi-yo, taori-mi-yo, oñan-ñu-mi. Le mouton mangeait, s’éloignait, puis se remettait à manger.Pula ba oñan-mi-bai-yo, taori-mi-bai-yo, oñan-ñu-bai-mi. Le patron a exigé que je travaille.Shuma du ji li goyka-to ja tushinto. Le patron a exigé que je travaille.Shuma du ji li goyka-to ya ho tushinto. Le patron donne des ordres à ses subordonnés.Shuma du ar tannin li boxana-to. Le patron donne des ordres à tous ses subordonnés.Shuma du so tannin li boxana-to. Le patron exige à son subordonné qu’il travaille.Shuma du tannin li goyka-to ja tushinto. Le patron exige à son subordonné qu’il travaille.Shuma du tannin li goyka-to ya ho tushinto. Le renard doit s’alimenter pour vivre.Kixe yaxari, rifai du kuharua-xayi. Le renard doit tuer pour s’alimenter.Kuharua yaxari, rifai du gatsa-xayi. Le renard est là, mais la poule dort.rifai ba xuay fu ambo pugpug ba oyu. Le renard mange la poule qui mange la pomme.rifai du lugu ho oñan-xe pugpug ho oñan. Le soleil est en train de se cacher peu à peu derrière (sous) l’horizon.Shishi du xuazo ya tan li yoko-ranxal-mi. Le soleil nous réveille.Shishi du arji ho pika-suren. Le soleil nous force à nous réveiller.Shishi du arji ho pika-tomo. Le soleil qui nous réveille est beau.Arji ho pika-suren shishi du ruxe-fu. Le spectacle s’est terminé.Bargaoga ba nao. Le spectacle vient de finir.Bargaoga ba nao-mena. Le temps passe vite.Bai ba asku puyai. Le temps passe.Bai ba puyai. Le thym est une plante médicinale (de bonne santé).Zorzo ba tsu ya selba. Le travail a terminé.Goyka ba nao. Le travail a été fait.Goyka ba dwo-laho. Le travail a été fini.Goyka ba dwo-ñao-laho. Le travail est fait.Goyka ba dwo-sha. Le travail s’est terminé.Goyka ba nao-sha. Le tueur de dragons.Ozei ya gatsanin. Le verre a été rempli d’eau.Xashiwa ba jua ge fili-laho. Le verre est rempli d’eau.Xashiwa ba jua ge fili-fu. Le vieux monsieur, on l’a aidé à se mettre debout. (il a été aidé)Semon du lada-tsoa-jukapei. Les ailes permettent à l’oiseau de voler.Lanlan du lanfu ba don-yao ya ho yao-suren. Les chaussures m’ont empêché de marcher.Ji ba beiwa ya bun li zuguay-xanpei. Les faits sont cohérents avec ce qu’il dit.Yaria du aitsu ba il tsai xotie kute-fu. Les faits sont cohérents avec le fait qu’il l’ait dit.Yaria du aitsu ba il ya xotie kute-fu. Les malchanceux sont de pauvres gens qui inspirent de la compassion.Chadenden ya fufu ba xuwu(-fu). Les mensonges, ce n’est pas bien.Usoria du dug-fu. Les morts ne parlent pas.Lafusha yus ranil. Les morts ne parlent pas.Yufu yus ranil. Les morts ne parlent pas.Yuxuayfu yus ranil. Les parents sont contents de (grâce à) leur fils.Osefu du ixo shiel shinpin. Les poulesArpugpug Les élections démocratiquesNomaxara ya yaoxi Les/Quelques hommes ont plusieurs pommes, trop de carottes et beaucoup de ces abricotsAr zogo ba zuydi lugu yo dichaime gupi yo arda kisur fufuan afil ho lin. Lesquels ? (si on veut préciser)Ardai-la ? Leurs pommesAraitsu ya lugu Lui et son ami mesurent pareil.Aitsu xoga dyig xoga iraga zaxu-to. Lui, qui est occupé à lire un livre, a souri.Baga ho lanwo ya xal li baotiku aitsu du wixi-to. Ma chambre est cette pièce où se trouve le lit rouge.Ji ya oetoki du mei oe ho lin da shaki-fu. Ma cousine est encore en train de grandir.Wukda ba ogon-tsoa-ran. Ma fille a trois ans.Aode ba dan buma. Ma main droite est blessée.Domo ya esku ba wonsa. Ma main est petite. —Fais voir (permets-moi de voir)… Ah, oui, ta main est petite, en effet.(Ji ya) esku du zu-fu-lô. —Gao-biu-xa… Ho, sie, (bu ya) esku du zu-fu-losie. Tu t’es fait mal ? (Mon pauvre !) Fais voir…Aicha-fe ? Gao-biu-xa-xuwe… Ma main gauche est blessée.Yaska ya esku ba wonsa. Ma petite sœur joue comme toi.Dada du bu xotie iraga pakuba-to. Ma petite sœur joue de manière semblable à toi.Dada du bu xotie xol-una pakuba-to. Ma petite sœur joue en mode cuisinièreDada ba kuhaqxanshu ya fwo li pakuba-to. Ma petite sœur joue à être cuisinièreDada ba kuhaqxanshu ho perte-to ge pakuba-to. Ma petite sœur, on la dirait (presque) cuisinière/elle fait très cuisinière.Dada du (pexoge) kuhaqxanshu-una. Ma pommeJi ya lugu Ma poule est la plus grosse de toutes les poules du poulailler.Pugpugxuay ya so pugpug fufuan ji ya pugpug ba mechai ogon-fu. Ma sœur est contente.Dada ba shinpinsha. Ma sœur et mon frère sont dans la maison. (emphase sur l’aspect temporaire)Dada yo baji du naguan li fu-sha. Ma sœur et mon frère sont dans la maison. (emphase sur l’aspect temporaire)Dada yo baji du naguan li sha-xal. Ma sœur et mon frère sont dans la maison. (vérité absolue)Dada yo baji du naguan li fu. Ma sœur et mon frère sont dans la maison. (vérité absolue)Dada yo baji du naguan li fu-xe. Ma sœur et mon frère sont dans la maison. (vérité absolue, moins courant)Dada yo baji du naguan li fu-xal. Ma sœur marche (petit à petit) vers la maison.Dada ba naguan wei zupizupi. Ma sœur marche (petit à petit) vers la maison.Dada ba naguan wei zupizupi. Ma sœur n’est pas contente.Dada du/ba yus shinpinsha. Maintenant, ma sœur et mon frère sont dans la maison.Ao li dada yo baji du naguan li fu. Ma sœur, avec mon frère, est dans la maison.Baji tie dada ba naguan li fu(-xe). Ma sœur, avec mon frère, est dans la maison.Baji tie dada du naguan li fu/sha/fu-xe/fu-sha/sha-xal. Maintenant (après tout ce qui a été vu, dit) j’ai trop envie d’y aller.Xolaligo cho guay-son. Maintenant que j’y pense, je pense que tu te trompes.Oshima, bu ba muyu-tsoa ja lai-lô. Maintenant, tu vas faire tes devoirs, n’est-ce pas ?Dwopiga ho dwo-ñu-fe-yane ? Mais est-ce que tu étais obligé de voler ? !Jaga oyobi-xalao-fe ? Mais je suis encore en train de manger…Ambo (ji du) wosobai ñamu-xal-lô… Mais oui, mon grand.Siesha ge, ogon-ixie. Mais pourquoi il t’a frappé ?Aitsu ba bu ho pegu ya du bila-la-boe ? Mais pourquoi s’est-il frappé soi-même ?(Aitsu du) wan ho pegu ya du bila-la-boe ? Mais pourquoi s’est-il laissé frapper par ces voyous ?(Aitsu du) da argaifu li wan ho pegu-chi ya du bila-la-boe ? Mais pourquoi t’es-tu frappé toi-même ?Bubu ho pegu ya du bila-la-boe ? Mais qu’est-ce que tu fais à manger une citrouille si tard dans la nuit ?Cho obon ge wogbai li kitrulba ho oñan-xal ja bila-la-bochane ? Mais que ça pue !A ! me xuafu ! Malgré l’homme qui a voulu la protéger, la poule a été mangée.Zogo ba (pugpug ho) bonfai-bao-mi, xolxoga pugpug du oñan-laho-mi. Malgré l’homme qui a voulu protéger la poule…Zogo ba pugpug ho bonfai-bao-mi ambo xolxoga… Malgré ton mal de tête, tu as quand même travaillé.Bu ya maira ba dug-fu shinkoga, korakora goyka-to-mi. Malgré tout, j’ai continué.Shinkoga, ji du oran. Malgré ton mal de tête, tu as quand même travaillé.Bu ya maira ba dug-fu. Xolxoga, korakora goyka-to-mi. Malheureusement, il craint de se tromper.Xoshad, aitsu du muyu-tsoa ja sukar. Malheureusement, je ne vais pas pouvoir venir.Xoshad, yus kai-yao. Haha ! C’est une bonne blague !Xaxa ! Sha janta-xama ! Malheureusement, je ne vais pas pouvoir venir.Yus kai-yao-xoshad. Mange !Oñan-xa ! Mange. Oñan(-xa)." Mangez !Oñan-xa, arbu ! Mangons !Oñan-ar-xa ! Mangons !Oñan-xa, arji ! Marche-t-il lentement ? (on sait qu’il marche)Zupizupi-layusla zuguay-xal-fe. Marcher, c’est bon pour la santé.Zuguay ja tsu. Mentir n’est pas bien.Uso ja dug-fu. Mentir n’est pas bien.Uso ya du dug-fu. Merci de m’avoir sauvé la vie ! Je ne l’oublierai jamais.Ji ya kixua ho lante ya du shishiel ! daya ho dodonbai yus polide-shien. Merci de m’avoir sauvé la vie ! Je ne l’oublierai jamais.Ji ya kixua ho lante ya du shishiel ! daya ho dodonbai yus polide-shienshi. Merci de me donner la permission, Excellence !Biu ho rere ya du shishiel-yotan, dihaoxanin. Mes chaussures sont neuves.Ji ya beiwa ba zan. Mes petits-enfants (petits-fils ou petites-filles) sont venus me voir.Oseiche du ji li gao ya bao li kai. Mes pommesJi ya ar lugu Mes pommesJi ya arda lugu Mes pommesJi ya lugu Mets ça là.Da ho xuay li pun. Mets-toi au travail.Goyka-to-ñu-xa. Mets-toi debout et puis reste debout.Lada-tsoa-xa yogo lada-ran-xa. Mets-toi debout et reste comme ça.Lada-tsoa-xa go xol-da ranfu-xa. Mets-toi debout et reste comme ça.Zabeg-xa go xol-da ranfu-xa. Moi aussi !Ji xoga ! Moi aussi, je veux une pomme.Ji xoga lugu ho shin. Moi, humble cordonnier, j’aimerais faire une humble demande d’un rendez-vous administratif impérial.Beiwaxanshu-fu ji-shienshi ba danxidaye ho jiro-shin-xima-yotan. Moi, je n’aime pas les pommes. Et toi ? —Moi ? Mm, en ce qui me concerne, j’aime bien les pommes.Ji li-du, lugu ho yus zama. Bu du la ? —ji ? Ji du-pe, lugu ho zama. Moi, par contre, je dirai cela : tu ne te trompes pas.Ji du il-gura-tafu : bu ba yus muyu-tsoa. Mon chat est fainéant, aujourd’hui.Dashida, ji ya mimao ba wofapa-sha. Mon chat est un fainéant.Ji ya mimao ba wofapa-fu. Mon cousin est un renard.Wukji ba rifai-fu. Mon cousin sait parler/maîtrise la langue impériale.Wukji ba soxaril ho xanshi. Mon désir est de continuer.Shinaria du-pe oran ja. Mon désir est de ne pas manger.Shinaria du-pe yus oñan ja fu. Mon désir est de ne pas manger.Shinaria du-pe yus oñan ya ba fu. Mon fils vient de naître il y a un moment.Zubai nuai ixo ba fuñu. Mon fils vient de naître à l’instant.Mena ixo ba fuñu. Mon fils vient de naître.Ixo ba fuñu-mena. Mon frère chantait quand il est tombé.Baji ba totora-mi ya bai li shai-to-xal-mi. Mon frère me souriait tout en marchant.Baji ba zuguay-mi-shana ji li wixi-to-xal-mi. Mon frère me sourit tout en marchant.Baji ba zuguay-mi-shana ji li wixi-to-mi. Mon frère riait en même temps qu’il marchait.Baji ba zuguay-mi-shana xamasi-xal-mi. Mon frère riait tout en marchant.Baji ba zuguay-mi-shana xamasi-xal-mi. Mon frère était en train de chanter quand soudain… ! Il est tombé.Baji ba shai-to-xal-mi yogo pai li… ! totora-(gui-)mi. Mon idée a très bien marché.Ji ya luma du xol-shasha dancho. Mon patron est exigeant.Ji ya shuma ba boxana. Mon petit-fils adoré a donné un baiser sur ma joue.Seyim-ixie du ji ya pingoe li somochu-to. Mon petit-fils adoré m’a donné un baiser sur la joue.Seyim-ixie du ji li pingoe li somochu-to. Mon plan a fonctionné/marché à merveille.Ji ya jinbanbaotsen ba xol-kowoi dancho. Mon travail me prend beaucoup de temps.Ji ya goyka du (ji li) me baitomo. Même moi, je ne comprends pas.Woso ji du yus fuybura lô. Même moi, je sais écrire.Pin-to du-pe woso ji du xolbura. Même moi, je sais/peux écrire.Pin-to du-pe woso ji du yao. Ne fais pas ça !(Tsai ho) yus dwo-xa ! Ne le dis pas !Yus il ! Ne le dis pas !Yus il-xa ! Ne le dis pas !Yus il-xima ! Ne lutte pas contre le destin.Xishoden ho yus lyogo-xa. Ne me tue pas !Yus gatsa-xima ! Ne mens pas.Yus uso-xa. Ni moi ni mon cousin n’y sommes allés.Ji yus wukji yus ba guay-mi. Non mais, agis ! Fais quelque chose ! Il est en train de se noyer ! Vite !Xoy, totwo-xa ! okaldu ho (dwo-xa) ! aitsu ba yutar-xal ! asku ! Non ! Ne le fais pas (s’il te plaît) !Yus ! yus dwo-xima ! (yus xima !) Normalement, il devrait venir.Yomanuma aitsu du kai-gura. .msoh yomanuma aitsu du kai-yoma. Nos pommesArji ya lugu / arji ya arda lugu / arji ya ar lugu / arji ya are lugu Nous deux, nous sommes en couple.Bi arji du niya ho dwo. Nous ne sommes que deux pour finir le travail.Goyka ho dwo-ñao yaxari arji du ustu bi. Nous nous sommes assis/posés sur l’herbeArji ba belar li fei-tsoa. Nous sommes assis sur l’herbeArji ba belar li fei-xe. Nous sommes désolés de devoir détruire ta maison.Bu ya naguan ho xoroga-xabao ya du arji ba rihad. Nous sommes identiques.Arji du iraga-fu. Nous sommes à égalité.Arji du igal ge fu. Nous vivons là où il pleut le plus.Arji du nari ba mechai ya xuay li baibuay. Nous, on va ailleurs.Arji du tuxuay guay. Allons ailleurs.Tuanbe-ar-xa. Mangeons !Oñan-ar-xa ! Allons-y !Guay-ar-xa ! Oh que c’était bien !Shien-xama ! Oh, qu’est-ce que tu regardes ? (agressif)La li gao-la-chaba ? Oh ? Tu aimes le jardinage ?Ho ? Lioraq ho shin-fe-nanga ? Ohlà ! Je suis surprise (femme).Boe ! xoyafa-fu-lya. On dirait (que je vois) un arbre.(Ji du) abol ho gao-aun. On dirait de la pluie.Nari una. On dirait presque qu’il nous a menti.Pexoge aitsu du arji li uso(-aun). Enfin, qu’importe. Le fait est que tu as menti.Ga-fu. Bu du uso-losie. Enfin, qu’importe. Le fait est que tu as menti (c’est une certitude, emphase).Ga-fu. Bu du uso ja siefuria-fu. On dirait qu’il ment comme nous.Aitsu xoga arji xoga uso-aun. On dirait qu’il ment pareil que nous.Aitsu du arji xotie iraga uso-lô. On dirait qu’il nous a menti.Aitsu du arji li uso-aun. On dirait qu’il a plu.Nari-aun. On dirait qu’il pleut activement. (ou, à l’oral, qu’il va pleuvoir)Nari-to-aun. On dirait qu’il est en train de pleuvoir.Nari-to-xal-aun. On dirait qu’il va pleuvoir (à l’instant).Zubai go nari-to-aun. On dirait qu’il va pleuvoir (à l’instant).Zugozugo nari-to-son. On dirait qu’il va pleuvoir cette après-midi.Shiginyago li nari-to-gura-aun. On dirait qu’il va pleuvoir. (il y a une envie de, personnalisation de la pluie)Nari-to-son. On dirait qu’il va pleuvoir.Nari-to-aun. On dirait qu’il voleAitsu du don-aun. On dirait qu’il y a un arbre.Abol ba fu-aun. On dirait que c’est un arbre.(Daya ba) abol fu-aun. On dirait que ce qu’il mange c’est une pomme.Aitsu du oñan-xal ya ba lugu-aun. On dirait que l’arbre chante.Abol ba pexoge shai-to-xal(-aun). On dirait que ma petite sœur est en train de jouer.Dada ba pakuba-to-xal-aun. On dirait une pomme verte qui tombe.Totora-xal belka lugu una. On dirait qu’une pomme verte est tombée.Belka lugu ba totora-xal-aun. On dirait qu’une pomme est tombée. Une pomme verte, je crois.Fa lugu du totora-xal-aun-yo belka-fu ja lai-lô. On est d’accord ? Peut-être.Arji, kyoke-fe ? felafe. On est d’accord ? Peut-être.Arji, kyoke-sha-fe ? felafe. On la dirait presque pareille.Aitsu ba pexoge iraga-fu. On m’a obligé à venir.Kai-xalao-mi. On m’a parlé de lui.Dama kata du uzil-laho. On peut faire de l’alcool à partir de la fermentation de fruits ou de céréales.Shikua-fe siskua-fe ya kuñutaria ge shihito ho dosho-yao. On se rencontre tout à l’heure. À bientôt !Mena go dopa. Mogaogo ! On se rencontre tout à l’heure. À bientôt !Zubai go dopa-gura. Mogaogo ! On s’est rencontré tout à l’heure.Baina dopa, arji du. On y va ? D’accord.Guay-fe ? sha/shasha. On y va ? D’accord.Guay-fe ? shasha/umu. Ouille. Tu t’es fait un bobo ? On va réparer ça tout de suite, mon ange (enfant) !Awawa… wonwon ba dwo-ñao-fe-xuwe ? mehen zata-ixie, zuzayin. Où ? Quel endroit ?Xuay-la ? Par temps chaud, le chien s’allonge a l’ombre.Tote geyi li paochi ba joe li zoyu. Parfois, il oublie ses clés.Aitsu du sihun ho polide-bai. Parmi les pommes, j’ai trouvé un autre fruit.Lugu fufuan fa tue-fwo shikua ho kaitia. Parmi toutes ces poules, celle-ci est la plus grosse.So da pugpug fufuan daya ba mechai ogon-fu. Passe librement.Chisha ge puyai-xa. Pendant ce temps, je souriais.Da bai ranbai wixi-to-xal-mi. Pendant combien de temps a-t-il marché ? (peu courant)Aitsu ba zuguay baisiu-la ? Pendant combien de temps a-t-il marché ?Aitsu ba zuguay ranbai-la ? Depuis combien de temps a-t-il marché ?Aitsu ba zuguay ranbaige-la ? Pendant tout ce temps, je souriais.So da bai li wixi-to-xal-mi. Pendant le repas, on mange. (il convient de manger)Xamin ya bai li oñan-xushi. Depuis (où, quand) a-t-il marché ?Aitsu ba zuguay li-ge-la ? Quel est la durée ?Nura-la ? Cela ne te convient pas. (ce n’est pas une bonne idée pour toi)Bu li yus xushi. Ce pantalon ne te va pas.Da zuton du bu li yus munere-fu Personne n’a de pomme.Uzashu ba lugu ho lin. Petit est l’opposé de grand.Zu ya ba ogon ya xotie ugayen-fu. Petit est opposé à grand.Zu ya ba ogon ya xotie ugaye-fu. Petite sœur, qu’est-ce que tu fais ?Daodao, dwo-la-nanga ? Petite sœur, qu’est-ce que tu fais ?Daodao, la ho dwo-la-nanga ? Pleurer les morts.Yuxuayfu ho aganari-to. Plus près, il te mord.Chai koye pe bu ho tobiña. Plusieurs de mes pommesJi ya lugu fufuan are ya Plusieurs pommes, qui sont à moi, sont tombéesJi ya are lugu ba totora. Plutôt que de bouder, tu ferais mieux de t’excuser.Bu du, dabuda mushiro, barkatil ja xushi. Plutôt, c’est moi qui te remercie. (formel)Mushiro, ji du bu li shielsha ho rere-lô. Plutôt, c’est moi qui te remercie. (informel)Mushiro, bu ho shishiel-to-lô. Pourquoi (tu as) fait (ça) ? Parce que :(Bu ba) (daya ho) dwo(-mi) bila-la ? bila-sie. Pourquoi es-tu tombé ?Bu ba totora bila-la ? Pourquoi ne lui demanderais-je pas de m’aider ?Aitsu ba ji ho jukama ja jiro pe xol-sha-la ? Pourquoi ne lui demanderais-je pas de m’aider ?Aitsu ba ji ho jukama ja ji du aitsu li jiro pe xol-sha-la ? Pourrais-tu m’apporter le sac ?garua ho gare-xafe Pourrais-tu répéter la question, s’il te plaît ?Laila ho mo il-fe-xima ? Pourrais-tu répéter la question ?Laila ho mo il-xafe ? Pouvoir vivre libre est un droit essentiel.Chi ya kixua ho lin-yao ya ba xarbiu. Premièrement.Fa ge Prends tout ton temps.Bai ho bura-xa-zanazan. Puis une idée m’est venue à l’esprit.Da xal li, luma ba ji ya bao li puyai-lô. Puisque le chat a trop mangé et que le trou est trop étroit, il ne passe pas.Mimao ba dichaime oñan yogo awa ba dichaime soxe dadage, gin besta yus puyai. Qu’est-ce que c’est que ça ?Tsai ba fu-la ? Qu’est-ce que c’est que ça ?Tsai-la ? Qu’est-ce que c’est que celui-ci ?Daya ba fu-la ? Qu’est-ce que signifie le mot « arbre » ?« Arbre » ya lia du fuisha-la ? Qu’est-ce que signifie « arbre » ?« Arbre » ja fuisha-la ? Qu’est-ce que tu as envie de faire ?Aisa-to-la ? Qu’est-ce que tu essaies d’arrêter de faire ?Bu du dwo-ortoy-gaora-la ? Qu’est-ce que tu essaies d’arrêter de manger ?Bu ba oñan-ortoy-gaora-la ? Qu’est-ce que tu essaies d’arrêter ?Bu ba ortoy-gaora-la ? Qu’est-ce que tu essaies d’arrêter ? (emphase : c’est quoi, ce que tu essaies d’arrêter ?)Bu ba ortoy-gaora okaldu-la ? Qu’est-ce que tu essaies d’arrêter ? (emphase : c’est quoi, ce que tu essaies d’arrêter ? (je le vois et je sais déjà, la question est plus « pourquoi ? »)Bu ba ortoy-gaora tsai-la ? Qui est-ce que tu essaies d’arrêter ?Bu ba ortoy-gaora shu-la ? Qu’est-ce que tu fais/(es en train de faire) ?Dwo-xal-la ? Qu’est-ce que tu veux dire ? / Qu’est-ce que ça signifie ?Fuisha-la ? Est-ce que c’est ça que tu veux dire ?(Bu du) tsai ho fuyil-fe ? Est-ce que c’est ça que tu veux dire ?Tsai ho fuy-fe ? Tu veux dire… Il est parti ?Bu ba fuy okaldu ja… aitsu du tuanbe-fe ? Tu veux dire… Il est parti ?Bu ba fuy ja… aitsu ba tuanbe-fe ? Qu’est-ce que tu veux dire ?Bu du il-shin-la ? Qu’est-ce tu essaies de dire ?Bu du il-gaora-la ? Qu’est-ce tu t’efforces à dire ?Bu du il ja iyigi-la ? Qu’est-ce que tu veux manger ?Oñan-la ? Qu’est-ce que tu vois ?Gao-la ? Qu’est-ce qui (quel événement) était en train de se dérouler ?Ranxal-mi-la ? Qu’est-ce qui est vrai dans cette histoire ?Xalmila du iwo-fu-la ? L’histoire est vraie (à mon avis, et je pense avoir raison).Xalmila du iwo-fu-lô. L’histoire est vraie, je te dis !Xalmila ba iwo-losie ! Qu’est-ce qui est, qu’est-ce qui n’est pas ?Fu-la yus fu-la ? Qu’est-ce qui se passe (en train de) ?Ishawoda-xal-la ? (locution)/ xal-la ? ? Qu’est-ce qui se passe (en train de) ?Xal-la ? Qu’est-ce qui s’est passé ?Xal-mi-la ? Qu’est-ce qui se passe (en train de, longue durée, événement) ? C’est une fête.Ranxal-la ? dayexama lô. Qu’il soit sourd ou qu’il ne le soit pas, ça revient au même (c’est la même chose) : il ne m’entends pas.Luyor-fe, yus luyor-fe, igal aria-fu : aitsu du ji ho yus luwo. Qu’ils n’y aillent pas !Araitsu ba yus guay-ar-xa ja (il-xabao) ! .note ils, non, aller, (impératif), (discours indirect), (il faut leur dire) Qu’ils y aillent !Guay-ar-xa ja ! Qu’on est bien !Shasha ba ! .note Lit. Le bien fait. Quand est-il arrivé ?(Aitsu ba) uchu bai-la ? Quand il est tombé, mon frère était en train de chanter.Baji ba totora-mi ya bai li shai-to-xal-mi. Quand il fait chaud, le chien s’allonge a l’ombre.Tote-to geyi ya bai li paochi ba joe li zoyu. Quand il fait trop froid, on reste à la maison.Dichaime kal-fu geyi ya bai li naguan li ranfu. Il fait tellement froid que nous restons à la maison.(Geyi du) kal-fu choxol, arji du naguan li ranfu. Il fait tellement froid que nous nous sommes décidés à rester à la maison.(Geyi du) kal-fu choxol, arji du naguan li ranfu-gui. Quand il s’est mit à pleuvoir, j’ai commencé à courir.Nari-to-ñu ya bai li, ji ba donguay-ñu. Quant à l’arbre, son tronc est gros.Abol du beg ba ogon. Quel temps pourri dernièrement !Xoy ! mechame geyi-ranxal ! Quel type d’idiot a fait ça ?Tsai ho dwo tubao du chashu-la ? Quel type d’idiot peut bien faire ça ?Tsai ho dwo-yao tubao du chashu-la Quel événement est en train d’avoir lieu (longue durée) ?Ishawoda ranxal-la ? Quelle direction ?/vers où ?Bashu-la ? (= wei-la ?) Quelle est la cause ?Bun-la ? Quelle pomme tu veux ?Dai-la lugu ho shin-la ? Quelle pomme tu veux ?Lugu du-pe dai-la ho shin-la ? Quelqu’un a fait quelque chose à quelque chose, et quoi, je n’en sais rien.Ladulahola-lô. Quelqu’un a fait quelque chose, et quoi, je n’en sais rien.Ladula-lô. Qui a la balle ?Onpo ho banja-xe shu-la ? Qui a la balle ? (qui donc est la personne qui a la balle ?, emphase)Onpo ho banja-xe okal kata-la ? Est-ce que c’est cette personne (dont on parle) qui a la balle ?Onpo ho banja-xe da kata-fe ? Qui essaie de s’arrêter (de freiner, de faire halte) ?Atoy-gaora shu-la ? Qui est le responsable de l’action ?Tsai ho dwo tonin-la ? Qui tient le poste de directeur ?Xartofu ya porta ho banja shu-la ? Quoi ? Tu es encore en train de manger ?La ? wosobai oñan-xal ? Regarde-le bien. Fais-le de cette manière-là.Aitsu ho shagao. Xol-dama dwo-xa. Revenez bientôt !Zubai go mo kai ! Rien n’est jamais sûr dans la vie.Kixua du-pe xol-soge siesha ba yus fu. Rien que penser qu’il peut être mort m’attriste.Ji du aitsu ba zai-sha-felafe ja ustu milma ya du onushimi-fu. Rien que penser qu’il pourrait être mort (ou qu’il lui soit arrivé quelqu’autre tragédie) m’attriste.Ji du aitsu ba zai-sha-layusla ja ustu milma ya du onushimi-fu. Rien que penser qu’il pourrait être tombé (ou qu’il lui soit arrivé quelqu’autre tragédie) m’attriste.Ji du aitsu ba totora-layusla ja ustu milma ya du onushimi-fu. Rien que penser « qui sait s’il est mort ou pas » m’attriste. (angoisse devant cette hésitation, face au fait de ne pas savoir)Ji du, aitsu ba zai-sha-feyusfe ja ustu milma ya du onushimi-fu. Répète la question.Laila ho mo il-xa. Sa maison est près d’ici.Aitsu ya naguan du xuay xotie koye. Sa maison est près de cet endroit.Aitsu ya naguan du da toki xotie koye. Sa maison est près de cet endroit.Aitsu ya naguan du da xuay xotie koye. Sa maison ressemble à la mienne.Aitsu ya naguan du ji ya xotie aun. Sa pommeAitsu ya lugu Sans avoir chanté, il est parti.Shai-to-diu ge tuanbe. En même temps que, moi, je n’avais pas de pommes, lui en recevais tout un sac.Ji ba lugu-diu-shana, aitsu du file garua ho pei-mi. Sans que je ne lui demande rien, il parla.Ji ba ufun irmen-yushana shinkoga, aitsu du ranil-ñu-mi. Sans chanter, il est parti.Shai-to-xal-yushana ge tuanbe. Sans me donner(m’avoir donné) la pomme, il est parti.Ji li lugu ho rei-yushana ge, aitsu du tuanbe. Sans travail, tu n’auras pas d’argent.Porta-diu pe bu du tingi ho yus lin-gura. Sans travail, tu n’auras pas d’argent.Porta-diu-sha pe bu du tingi ho yus lin-gura. Sans travail, tu ne gagneras pas d’argent.Porta-diu-sha pe bu du yus tingi-to-gura. Se marier l’a fait changer complètement de comportement.Niya-tsoa ya ba aitsu ya otaxi ho me otsoa. Se pourrait-il que cette pomme soit mauvaise ?Moxange da lugu ba chañali-fu-fe ? Selon mon professeur, les nuages sont faits d’eau.Ji ya igo omen, suan du jua-anxua. Selon toi, c’est comme si tous les chats sont gris.Bu omen pexoge so mimao ba ziyapa-fu. Sens-toi libre de continuer.Oran-zaochi. Ses bêtises m’ont vaincu/dépassé.Aitsu ya barate du ji ho yao-laho. Ses dents sont peu nombreuses.Aitsu ya iña du piska-fu. Si (seulement) j’avais su !Owanshia ji du fugao pe ! Si j’avais une pomme, alors je serais plus content.Lugu ho lin pe, ariago ji du chai shinpin-sha-lô. Si j’avais une pomme, je serais plus content.Ji du, lugu ho lin pe, chai shinpin-sha-lô-jaga. Si j’avais une pomme…Lugu ho lin pe… Si j’avais été mais juste deux mètres plus loin, je serais mort.Ustu bi undi ya tao ge fu pe ji du zai-mi-lô. Si j’étais toi, je partirais.Ji ba bu du-pe, uchu-lô. Si j’étais un oiseau, je pourrais voler.Ji du lanfu-fu pe don-yao-lô. Si jamais il est en colère, je lui offrirai une fleur.Omoxi tomen-to pe aitsu li yalya ho rere. Si jamais je réussis, je t’avertis, d’accord ?Omoxi baripi-mi pe, bu li xoyil, sha-fe ? Si je l’ai fait, c’est pour toi. (en ton bénéfice)Ji ba dwo bila-la bu ya bun lô. Si je l’ai fait, c’est à cause de toi. (c’est toi, la raison ; on ne rejette pas trop la faute)Ji ba dwo bila-la bu bila fu. / bu bila, ji ba dwo / ji du bu bila tsai ho dwo. Si je l’ai fait, c’est à cause de toi. (c’est toi, la raison ; on ne rejette pas trop la faute)Ji ba dwo du-pe bu bila fu. Si je l’ai fait, c’est à cause de toi. (c’est ta faute ; on rejette la faute)Ji ba dwo du-pe bu ya chaon li fu. Si je l’apprends (peux savoir), je te le dis. (je te parlerai).Ji du fugao-yao pe, bu li ranil-gura. Si je l’apprends (peux savoir), je te le ferai savoir.Ji du fugao-yao pe, bu li fugao-suren-gura. Si j’en apprends davantage, je te tiens au courant. (locution)Chai fugao pe, fugao-suren. Si je le savais, je te l’aurais dit.(Tsai du-pe) omoxi ji du fugao pe, bu li il-mi-lô. Si je le savais, je te le dirais. (dans le cas où je le sais, je te le dis, mais (je ne le sais pas))(Tsai du-pe) omoxi ji du fugao pe, bu li il-jaga. Si je n’y joue pas, c’est par manque de temps (libre).Ji du tsai ho yus pakuba-to du-pe chibai ba bezuntatsi bila fu. Si je savais !Ji du fugao pe ! Si seulement je savais !Owanshia ji du fugao pe ! Si seulement j’avais une pomme !Owanshia, lugu ho lin pe ! Si tu as l’intention de le dire, ma foi…Il-bao pe alôlô… Si tu as soif quand il fait chaud, c’est naturel.Tote geyi li xashe-fu pe xisho-fu. Si tu continues à manger comme ça, tu vas grossir.Xol-da oñan-ran pe, bu du bake-tsoa-xoy. Si tu manges ça, tu vas bousiller (cramer) ton estomac.Daya ho oñan pe berogi ho xarchu-gura. Si tu n’as pas de travail, tu n’auras pas d’argent.Porta ho yus lin pe bu du tingi ho yus lin-gura. Si tu ne peux pas voler, c’est normal, mon enfant.Don ya du yus yao pe xisho-fu, yun-ixie. / Yus don-yao pe xisho-fu, yun-ixie / Yus don-yao-nante xisho-fu, yun-ixie. Si tu ne sens plus tes mains, c’est peut-être à cause du froid.Bu ba esku ho yu zao ya du kal bila fu-felafe. Si tu vas à l’épicerie, achète des pommes de terre, tu veux bien ?Omoxi dikua ya basa li guay pe, tabata ho linjao-xafe. Si tu veux parler de la maison, je l’ai vendue.Naguan du-pe, xaozan-lô. Si tu veux parler de la maison, je l’ai vendue.Naguan ja, xaozan-lô. Sincèrement…Xol-binte / binte ge Soit dit en passant, je pense que tu te trompes.Furul, bu ba muyu-tsoa ja lai-lô. Son Excellence m’a permis d’entrer.Dihaoxanin du ji li anai ya ho biu-to. Son Excellence m’a permis d’entrer.Dihaoxanin du ji li anai-biu-to. Sors d’ici.Xuay ge mufo. Soudain, il eut un fou rire.Pai li, aitsu ba ogon xamasi ya pai ho tamara. .note Lit. soudain, il, grand, rire, de, coup/crise, (objet), trébucher/être pris de. Soudain, il fut pris d’une crise de fureur.Pai li, aitsu ba tomen ya pai ho dwo. .note Lit. soudain, il, colère, de, coup/crise, (objet), faire. Soudain, il fut pris d’éternuements.Pai li, aitsu ba achafa ya pai ho tamara. .note Lit. soudain, il, éternuement bruyant, de, coup/crise, (objet), trébucher/être pris de. Soudain, il piqua une colère.Pai li, aitsu ba tomen ya pai ho dwo. .note Lit. soudain, il, colère, de, coup/crise, (objet), faire. Soudain, il rit.Pai (li)/paipai, (aitsu ba) xamasi-mi. Suivant !Yogo ya ! Ta bêtise m’épate.Bu ya baratsen ba ji ho kowa-to. Ta maison est belle.Bu ya naguan ba ruxe(sha). .note Je la trouve belle à cet instant, réaction spontanée. Ta maison, on dirait un palais.Bu ya naguan ba palatyoa-una. Ta pommeBu ya lugu Tais-toi, je travaille.Shuhu-xa, goyka-to-xal. Tais-toi, mon cher idiotShuxu-xa, tubao-ixie. Tant qu’il fabriquera la maison, il sera occupé.Naguan ho dosho iwoshanpe baotiku. Tant qu’il ne s’arrête pas, il continuera à marcher.Aitsu du yus atoy iwoshanpe, zuguay-ran-gura. Tant qu’il peut marcher, il est content.Zuguay ya yao iwoshanpe aitsu ba shinpin. Tant que c’est vrai, il ne ment pas.Iwo iwoshanpe aitsu du yus uso. Tant que tu travailleras, je te paierai.Bu ba goyka-to iwoshanpe, ji ba bu li tinpe-gura. Tantôt il se mettait à rire, tantôt il se mettait à pleurer.Aitsu du xamasi-ñu-bai-mi aganari-ñu-bai-mi Tiens, ça fait longtemps que je ne mange pas de citrouille. (ça continue à faire longtemps)Oshima, kitrulba ho oñan ja dopabaido-ran-xe-lô. Toi qui chantais tout à l’heure, danse à présent.(Mena) shai-to-xal-mi bu (du/,) ao ge yoibi-xa. Toi, place-toi à l’avant.Bu, goan li pun-xa. .note À comparer avec goan wei (buay)-xa)" : bouge-toi en avant/avance." Ton arbre ressemble au mien.Bu ya abol du ji ya xotie una. Ton arbre y ressemble.Bu ya abol du tsai xotie una. Ton père te l’avais pourtant dit.Ambo bu ya aipa du bu li (tsai ho) il-mi-lô. Ton rire l’énerve.Bu ya xamasi aitsu li (du) bora-tsoa-suren. Tourne sur toi-même.Gerige-xa. Tourne-toi vers la lumière.Shi wei guru-xa. Tourne-toi vers le soleil.Shishi wei guru-xa. Tous ont une pomme.So ba lugu ho lin. Tout en chantant, mon frère marche.Baji ba shai-to-shana zuguay-xal. Tout le monde est là ?Soshu ba fu-la ? Tout va bienSwo ba shasha ? Tranquille, t’inquiète.Ganma, ganma. Tu aimes les pommes ? Beaucoup.Lugu ho zama-fe ? janjan. Tu aimes les pommes ? Non.Lugu ho zama-fe ? yus. Tu aimes les pommes ? Oui.Lugu ho zama-fe ? sie. Tu aimes les pommes ? Pas spécialement.Lugu ho zama-fe ? usgabi. Tu arrives en retard !Bu, obonchae ge uchu ! Tu as absolument raison.Bu ba xolsoge nishiwo. Tu as acheté les pommes ? Non.Lugu ho linjao-fe ? yus. Tu as acheté les pommes ? Oui.Lugu ho linjao-fe ? sie/umu. Tu as beaucoup marché.Bu ba jan zuguay. Tu as besoin d’aide ?Jukama du xayi-fe ? Tu as bien laissé la porte fermée, hein ?Osu ho mife-sha ge chito-mi-yane ? Également : osu ho mifeto-chi-mi-yane ? Tu as bu ? Je sens l’alcool. (sur toi)(Bu du) xashi-fe ? shihito ho ñebu. Tu as bu ? Tu sens l’alcool.(Bu du) xashi-fe ? shihito ge fer-to. Tu as bu ? Tu sens l’alcool.(Bu du) xashi-fe ? shihito ho fer-to. Tu as combien de pommes ? Quelques-unes/Beaucoup.Lugu du zal-la ? zuydi/afil. Tu as complètement raison.Bu du me nishiwo. Tu as complètement raison.Bu du me nishiwo. Tu as juste envie de m’envier.Bu du ji ho chaisa-to ya du ustu aisa-to. Tu as juste envie de m’énerver.Bu du ji ho bora-suren ya du ustu aisa-to. Tu as mis cinq heures à arriver.Bu du uchu yaxari ol fak ho bai-tsoa. Tu as mis cinq heures à arriver.Bu du uchu yaxari ol fak ge bai-tsoa. Tu as tout à fait raison.Bu du xol-soge nishiwo. Tu es derrière moi.Bu du ji guyan fu. Tu es en retard !Bu du oboncha ! Tu es sérieux ?Saxue(-fu)-fe ? Tu es sérieux ?/Sérieusement… ?Fuyoi… ? Tu es trop gentil ! Merci !Janme tsue ! shishiel ! Tu es un montagnard. (a l’esprit de)Bu ba xuashor ya bao-fu. Tu es un montagnard. (intrinsèque)Bu ba xuashor ya fu. Tu es un montagnard. (tu vis dans la montagne)Bu ba xuashor ya shu-fu. Tu essaies d’arrêter le chat ?Mimao ho ortoy-gaora-fe ? Tu joues ? (est-ce que tu es en train de jouer ?)Yuña-xal-fe ? Tu joues ? (tu viens jouer ?)Yuña ? Est-ce que ça te dit, de jouer ?Yuña-son-fe ? Tu joues ? (tu es en disposition de jouer ? Ça te dit, de jouer ?)Yuña-son ? Tu l’as poussé à faire une bêtise.Bu du aitsu li baratsaria ho dwo-tomo. Tu l’as trouvé comment, le cordonnier (après l’avoir vu récemment) ? Très gentil.Beiwaxanshu du-pe xolaligo lai-la ? lamar baotsue. Tu lui as fais faire mastiquer plus lentement.Aitsu li chai pitaipi muma-to-suren. Tu lui as fait faire une bêtise.Bu du aitsu li baratsaria ho dwo-suren. Tu m’as fait mal au bras.Bu ba ji ya dobi li aicha-suren. Tu marches sur mon ombre.Ji ya joe ya ma li zuguay. Tu me manques beaucoup.Bu ho me betsi. Tu me manques énormément.Bu ho janjan betsi. Tu me suis (tu es près de moi/tu me poursuis) ?Ji ho ipi-fe ? Tu me suis ? (tu es toujours avec moi (dans mon explication, près de moi même si je ne te vois pas) ?)Ji tie ipi-fe ? Tu n’as pas raison. — Si, j’ai raison !Yus nishiwo lô. — nishiwo-losie ! Tu n’es qu’un serviteur. Tu n’es rien.Bu ba kaxun-chaga. Bu ba ufun. Tu n’es qu’un serviteur. Tu n’es rien.Bu ba kaxun-chaga-fu. Bu ba ufun-fu-lô. Tu ne peux pas démontrer que quelque chose n’existe pasFu ba usfu ya ho iwotatsu yus yao. .note Lit. existence/chose, de, existence, démontrer, non, peux Tu ne serais pas perdu, par hasard ?Moxange… nuguaysha-fe ? Tu ne vas pas me frapper, si ?Ji li yus pegu-yane ? Tu ne vas pas me lâcher, hein ? Si tu lâches, je tombe.Yus neke-fe-yone ? neke pe ji du totora-lô. Tu sais comment faire ?Xolbura-fe ? Tu sais voler ? C’est faux, tu mens.Don-yao ja, boe ? nongo-fu. Bu ba uso lô. Tu vas arrêter de faire des bêtises, oui ?Bu ya barate ho atoy-fe-chane ? Tu vas monter si haut ? Tu rigoles ?Cho mae toki tahin marai-bao-fe-bochane ? Tu veux dire quelque chose ?Okaldu ho il-shin-fe ? Tu veux dire quoi ?La ho il-shin-la ? Tu veux jouer (un jeu) ?Pakuba-shin-fe ? Tu veux jouer/t’amuser ? Va dehors.Yuña-shin-fe ? sauda li guay. Tu veux manger ? Oui.Oñan-shin-fe ? sie. Tu veux manger ?Oñan-shin-fe ? Tu veux t’y mettre/te remuer, oui ?Buay-ñu-xa-chane ? Tu viens, oui ?Kai-la-chane ? Tu vis ici ? Non, je vis là-bas.Baibuay ja xuay li (fu-)la ? Un arbre en forme de jarre.Rusin-joe abol. Un argument faillible est mauvais.Abor-yao serbilairia ba dug-fu. Un cultivateur poursuit toujours la Vérité.Kiaqnin ba dodonbai iwohi ho ipi. Un départ justifié est requis.Serbilai-tsoa tuanberia ba xayi. Un groupe d’animauxMao ya fufu Un groupe de personnesShu ya fufu Un jour, il décida de ne pas partir.Cho-dama shi, aitsu du yus tuanbe-gui-mi. Un jour, il décida de partir.Cho-dama shi, aitsu du tuanbe ja pyabura-mi. Un jour, il décida de partir.Cho-dama shi, aitsu du tuanbe ya ho pyabura-mi. Un jour, il décida de partir.Cho-dama shi, aitsu du tuanbe-gui-mi. Un jour, il décida de partir.Cho-dama shi, aitsu du tuanberia ho pyabura-mi. C’est un renard qui m’a blessé.rifai ba ji ho wonsa-to. Une bonne raison vaut mieux que deux mauvaisesFa shasha bila du bi dug bila xotie chai fai/hawa. Une fois, j’ai nagé dans un lac.Fa yori li ji du ganju ni begaju. Va ailleurs.Tuxuay li guay-xa. Vas-t’en.Tuanbe-xa. Vas-y !Guay-xa ! Veux-tu bien donner ça au cordonnier (que je connais) ?Tsai ho beiwaxanshu-san li rere-xafe ? Veux-tu bien ne pas le dire…Yus il-xafe… Viens ici immédiatement.Mehen xuay li guay-xa. Viens immédiatement.Mehen kai-xa. Voilà ce que j’ai demandé : qui es-tu ?Irmen-tafu : bu ba fu-la ? Voilà ce que j’ai ramassé : tiens.Noabura-tafu : linsha. Voilà la question.Laila-tafu. Voler est impossible !Don ya du usiyae-fu-lô ! Voler est impossible !Don ya du usiyae-fu-lô ! Voler, ce n’est pas possible !Don ya du yus iyae-fu-lô ! Vos pommesArbu ya lugu Votre GrâceDinin Votre humble serviteur apporte le repas.Bu-shama ya kaxun ba xamin ho rere-xe. Votre humble serviteur apporte le repas.Bu-shama ya kaxun-fu ji du xamin ho rere-xe. En tant que votre humble serviteur, j’apporte le repas.Bu-shama ya kaxun toshte ji du xamin ho rere-xe. Vous avez déjà mangé ? Oui, nous avons mangé toutes nos pommes.Laxai oñan-ar-fe ? umu, lugu ho so oñan. Vous êtes tous des idiots !Arbu ba tubao-ar-ar-fu-lô ! Vous êtes tous des idiots !Arbu ba tubao-ar-fu-lô ! Vous êtes tous des triples idiots !Arbu ba mechame tubao-ar-fu-lô ! Vraiment ?Gabi ? / gabi-fe ? / boe ? Y a-t-il quelqu’un ?Shu du fu-fe ? Est-ce une personne ?Shu-fu-fe ? (locution) Es-tu une personne ? (peut être dans le sens : tu ne te conduits pas comme une personne, comme un être humain)Shu-fu-fe-boe ? Y a-t-il/quelqu’un est-il capable de faire ça ?Tsai ho dwo-yao shu du fu-fe ? Youhou ! Je suis là !Yaxu ! da xuay li fu ! Youhou ! Je suis là !Yaxu ! xuay-da fu ! Oh ! Le chiot est tout petit !Oh ! paochu ba zuzu-fu-lô ! Oh ! Le chiot est tout petit !Oh ! paochu ba me zu-fu-lô ! Oh ! Le chiot est tout petit !Oh ! paochu ba lamar zu-fu-lô ! Zangsa ! Tu t’es fait mal ?Zangsa-xoy ! aicha-fe-nanga ? ailleursTuxuay li après-midiShiginyago asseoir/faire asseoir (avec contrainte)Fei-tomo asseoir/faire asseoirFei-suren asseoir/faire asseoirFei-tsoa-suren avant midi (le matin)Shiginyana avoir bon goûtShañam-fu avoir mauvais goûtChañali-fu ces pommes(Ar)da lugu cette personne même (that very same person) (informel)Cho da kata. cette personne même (that very same person)Me da kata. cette pomme-ciDa lugu cette pomme-làDama lugu chemin vertueuxDemin ya pya cordonnerieBeiwa ya basa/beiwasa cordonnier/chaussurierBeiwaxanshu .note maître/maîtriseur/professionnel de chaussures depuis la gaucheYaska ge depuis la gaucheYaska li-ge depuis la gaucheYaska xuaylige deux et deux font quatre. Donc, tu as quatre chats.Bi yo bi ba le-fu, ariago bu ya mimao du le-fu. deux et deux font quatre. Donc, tes chats se comptent au nombre de quatre.Bi yo bi ba le-fu, ariago bu ya mimao du le zal-tsoa. doux bruitLei tulon / lei lon démonologieZuganfushagao en deux dimensionsBiriwasha en trois dimensionsDanriwasha entrepôt d’outilsShua ya kako entrepôt de nourrituresKuha ya kako faire avoir à moi (s’approprier)Jiyatomo humblementXol-shube / shube ge ishawoda xal-la ?Qu’est-ce qui se passe ?/Quelle est la situation en cours ? je verrai, j’chais pôGu-pe la cuisine, art culinaireKuhaq laisser faireChitsen le fait de compter par heuresFak-tai ge zal ya le trou est profondAwa ba riwa. midiShiyagina ossature/squeletteInao outils d’écriturePinaq ya shua outils de cordonnier/chaussureBeishua outils de fermesXuashua Il y a quoi à l’intérieur ?Xuayan fu-la ? Y a-t-il quelque chose à l’intérieur ? (n’importe quelle chose)Xuayan okaldu du fu-fe ? Est-ce que c’est à l’intérieur ? (l’objet dont on parle)Tsai du xuayan fu-fe ? Qu’est-ce qu’il y a dedans ?Xuay li fu-la ? / Xuayan fu-la Où ? À l’intérieur de quel endroit ?Xuayan-la ? / li la (peu commun) À l’intérieur ?Xuayan (fu-)fe ? À/Dans cet endroit ?Li fe ? (peu commun) / Da xuay li fe ? panier à dos (panier de corps)beg ya nokawa par exemple, mettons queyogana ge / *-odo pas immédiatementyus mehen sens de l’odeur, odorat (énergie du nez)Muñe ya ki sens de l’ouïe (énergie de l’oreille)Lusa ya ki sens de la vue (énergie de l’œil)Mun ya ki sens du toucher (énergie de la peau)Sheg ya ki Pense positivement.Sha-fwo ge milma-xa Forme d’une personneshu ya joe Ombre d’une personneshu ya shijoe Silhouette d’une personneshu ya solaiju SubordonnéTannin Toi tout seulBubu ustu ge ToitureIngaboti Tonneau de transportGarkako Très coûteux/cherLamar guan Un léger murmureSauze sausaria Un verreXashiwa Une table rougeMei benze Vers la gaucheYaska wei À gaucheYaska li À gauche (mouvement), vers la gaucheYaskan À gauche.Yaska wei. À droite. Vers la droite.Domo wei. À droite. (mouvement)Domoan. Je suis parti vers la droite.Ji du domo wei tuanbe. Il est à ma droite.Aitsu du ji ya domo fu. Je suis à droite.Ji du domoan fu. Depuis ma droite, sa main gauche me prit l’oreille.Domo li-ge, ai yaskan esku du ji ya lusa ho bura-mi. En provenance de ma droite, sa main gauche me prit l’oreille.Domo-dire ai yaskan esku du ji ya lusa ho bura-mi. (Domoan/Domo ya) La main qui était à ma droite me prit l’oreille.Domoan esku du ji ya lusa ho bura-mi. (Domoan/Domo ya) Ma main droite est fatiguée.(Ji ya) domo ya esku du bexeche-fu-lô. (Yaskan/Yaska ya) La main qui était à ma gauche me prit l’oreille.Yaskan esku du ji ya lusa ho bura-mi. (Yaskan/Yaska ya) Ma main gauche est fatiguée.(Ji ya) yaska ya esku du bexeche-fu-lô. La blessure est dans la partie droite de ma main.Wonsaria du-pe ji ya esku ya domo ya lea fu. Je suis parti dans la partie droite.Ji du domoan lea tuanbe. J’ai chancelé vers la droite.Ji du domoan saiwa-to. Vers quel endroit ?Xuayri-la À bientôt/À tout de suite !Mena go ! À bientôt/À tout à l’heure !Mogaogo ! À cause de qui ? (en raison de qui) Shu bila-la ? À cause de qui ? (dans la faute de qui)Shu ya chaon li la ? À cause de qui ? (pour le bénéfice de qui)Shu ya bun li la ? À cause de qui ?Shu-la bila-la ? À cause de quoi ?Fu bila-la ? À cause de quoi ?Fu-la bila-la ? À ce moment-là, je souriais.Dama bai li wixi-to-xal-mi. À cet instant, j’ai souris.Da zubai li wixi-to-mi. À défaut de/Par manque de pommes, j’ai mangé un abricot.Lugu besta, kisur ho oñan. À force d’hésiter, tu n’auras rien.Bu du eto-to niren, ufun ho urabari-gura. À force de chanter, j’ai mal à la gorge.Shai-to niren, gulu ba aicha. À force de frapper, naturellement, ça se casse.Pegu niren, xisho ge apur-tsoa. À force de frapper, naturellement, ça se casse.Pegu niren, xisho ge bojo-tsoa. À force de manger, on grossit.Oñan niren, bake-tsoa. À force de marcher, on fatigue.Zuguay niren, bexeche-fu. À force de ne plus bouger, il est tomber malade.Yus buay-ñu niren, aitsu du dugzaotsa. À l’instant, j’ai vu une pomme qui tombait de l’arbre.Abol ge totora-mena lugu ho gao. À l’instant, j’ai vu une pomme qui tombait de l’arbre.Abol ge totora-mi lugu ho gao-mena. À l’instant, j’ai vu une pomme qui tombait de l’arbre.Mena abol ge totora-mi lugu ho gao. À l’instant, le spectacle s’est terminé.Mena bargaoga ba nao. À moi seul, (avec moi seul) ça a réussi à être porté.Tsai ba shao ji ge gare-laho-yao-gui. À moi seul, j’ai mangé trois pommes.Ustu ji ge dan lugu ho oñan-ñao. À moi seul, j’ai réussi à porter ça.Ji du tsai ho shao ge gare-yao-gui. À moi seul, j’ai réussi à porter ça.Ji du tsai ho xol-shao gare-yao-gui. À moi seul, j’ai réussi à porter ça.Shao ji du tsai ho gare-yao-gui. À mon avis, il a parlé plutôt bien. (Il a eu tendance à bien parler)Ji li-du aitsu du shasha ranil-kaolin. À mon avis, il a parlé plutôt bien.Ji li-du aitsu du ushayi shasha behil. À peine était-il entré avec son sac si lourd, qu’il tomba.Aitsu du mena cho poxas garua ho gare-xal-shana anai-mena-mi totora-mi. À peine était-il entré dans la maison avec son sac si lourd, qu’il tomba.Aitsu du mena cho poxas garua ho gare-xal-shana naguan li anai-mena-mi totora-mi. À peine était-il entré, qu’il tomba. (dès qu’il entra, il tomba)Aitsu du anai-mena-mi (pai) totora-mi. À propos de ces trucs, je les ai déjà donnés.Artsai du-pe ji du bu ho laxai rei. À propos de la composition du corps humain, il y a partiellement de l’eauShufu ya beg ya anxua du-pe jua du siun fu. À présent, l’enfant peut marcher.Aoge yun ba zuguay-yao. À quoi tu penses ? Je pense au fait qu’il n’est pas venu.Lai-la ? aitsu ba yus kai-mi ya li lai. À toi seul, tu as réussi à porter ça.Bu du tsai ho shao ge gare-yao-gui. À toi seul, tu as réussi à porter ça.Shao bu du tsai ho gare-yao-gui. À toi seul, tu as réussi à porter ça.Tsai ho shao bu ge gare-yao-gui. Celui-ci ressemble à un arbre.Daya ba abol-una. Ça (cela) ressemble à un arbre.Tsai ba abol-una. Ça dépend de si tu viens ou pas. (C’est une affaire de si tu viens ou pas)Bu ba kai-feyusfe ya ishawoda-fu. Ça faisait PAM !PAM ! ja rin-xal-mi. Ça faisait longtemps que je ne mangeais pas de citrouille.Kitrulba ho oñan ya du dopabaido. Ça fait deux heures que tu chantes. (depuis deux heures déjà tu continues à chanter)Bu du bi fak ge laxai shai-to-ran. Ça fait deux heures que tu chantes. (depuis deux heures déjà tu continues à chanter)Bu du bi fak ranbaige laxai shai-to-ran. Ça fait deux jours que je suis à la maison.Ji du naguan li bi shi ge (laxai) ranfu-ran. Ça fait deux jours que je suis à la maison.Ji du naguan li bi shi ranbaige (laxai) ranfu-ran. Ça fait deux jours que je tombe dans le même trou.Ji du da komie bi shi li wosobai iraga awa li totora-ran-fuyoi. Ça fait deux jours que le bébé est naît.Nene du bi shi ge fuñu. On dirait un aristocrate !Deminin-fu-aun ! Ça fait très aristocrate !Deminin-una ! Ça fait très aristocrate ! (emphase sur l’état passager)Deminin-una-sha-lô ! Ça m’est égal/Je m’en fiche/Je n’ai pas de préférencesJi li ga / ji li iraga / ji li ga-fu. Ça pue.Xuafu. Ça ressemble à un arbre.Tsai ba abol xotie una. Ça sent l’alcool ici.Xuay, shihito ba fer-to. Ça sent le métal.Deche ho fer-to. Ça suffit !Ushayi ! Il suffit de parler. (que tu parles) ; si tu parles, cela suffira.Bu du behil-gura pe ushayi. Ça va ? Oui.Shasha-fe ? sie. Ça va ? Oui.Shasha-la ? umu. Ça va ?/Comment vas-tu ?Shasha-fe/xol-la guay-la/xol guay-la ? Ça y est, il l’a dit ! (Il a fini par le dire)Guisha il-gui ! Ça, je l’ai dit au cordonnier.Tsai ho beiwaxanshu li il-mi. J’ai dit cela au cordonnier.Daya ho beiwaxanshu li il-mi. J’ai dit ceci au cordonnier : …Beiwaxanshu li il-mi-tafu, … Ça, je l’ai déjà fait.Tsai ho laxai dwo. Écoute-moi !Lutik-xa ! Être ou ne pas être ?Fu-fe yus fu-fe ? Ô comme je t’aime !Xoya ! Bu ho janjan zaya ! Ô comme je t’aime !Xoya ! Bu ho me zaya ! Ô comme je t’aime !Bu ho me zaya-lô ! étude de la religionOdenxi Vers quel côté ?Den-wei-la ? Vers où ?(Xuay) wei-la ? Il a un côté méchant.Aitsu du maje den ho lin Il tend à être méchant, parfois.Aitsu du maje-fu-kaolin-bai Il a un côté de méchanceté.Aitsu du majen ya den ho lin Tu m’énerves. (Tu me gaves, tu me casses les pieds, tu me tapes sur les nerfs)(Bu du ji li) xashafasur-lô. La boîte a trop été écrasée pour qu’on puisse l’utiliser à présent. (La boîte a été tellement trop écrasée qu’à présent, elle ne peut plus être utilisée)Xakai du (dichaime) soxaka-laho choxol, ao ge yu shua-tsoa-yao. La boîte a trop été écrasée pour qu’on puisse l’utiliser à présent.Xakai du soxaka-laho choxol, ao ge yu shua-tsoa-yao. La boîte a trop été écrasée pour qu’on puisse l’utiliser à présent.Xakai du soxaka-laho choxol, yuyuren shua-tsoa-yao. Il faut chercher ailleurs.Tuxuay kaitia-xayi. Il est là-bas.Aitsu du xuay-dama fu. Tu es là.Bu du xuay-da fu. Je suis ici.Ji du xuay fu. Ça n’a rien à voir. (ce n’est pas lié)Yus ayo-lô. Ça n’a rien à voir. (ce n’est pas lié)Oskatu-to. Ça n’a absolument rien à voir. (ce n’est pas lié)Me yus ayo-lô. Ça n’a absolument mais rien, rien à voir.Mechame ayo-zei-lô. Avant de partir à l’aventure, je fis mes adieux à toute ma chère famille.Ji du zeituria-to baina, amaiti-ixie li orasaldi-to-mi. Il est susceptible de manger. (il pourrait très bien manger)Oñan ya du iroye-fu. Il risque de manger. (il pourrait très bien manger)Oñan ya du iroi. Il s’est lancé dans une aventure non sans risque.Aitsu du zeituria-diu-zei-lô ho byum-tsoa. Le feu a brûlé (il s’est éteint)Bui du buxie-tsoa. Le feu m’a brûléBui du ji ho buxie-to. C’est risqué.Uranze-fu. Tu ne risques pas de construire une maison. (car tu es si maladroit ; tu n’es pas près de, tu es loin de pouvoir, tu n’es pas près de)Bu du naguan ho dosho ja yus iroi-lô. Tu ne risques pas de construire une maison en deux jours.Bu du bi shi ge naguan ho dosho ja yus iroi-lô. Je ne suis pas près de partir d’ici.Xuay ge yus iroi-lô. On n’est pas encore sortis de l’auberge. (nous ne sommes pas sortis du poulailler)Pugpugxuay ho mufo-iroi ja manara-lô. S’il vient, il risque de découvrir la vérité.Aitsu du kai pe iworia ho yokaxoro-iroi-lô. (du, du-pe, ja, nante) L’idée de sauter me fait peur.Babu da luma ja ji ho ahia-to-suren. (du, ya du, du-pe, ja, nante) L’idée de sauter me fait peur.Babu ya du ji ho ahia-to-suren. (du, ya du, du-pe, ja, nante) À l’idée de sauter, j’ai peur.Babu ja ji du ahia-to. (du, ya du, du-pe, ja, nante) L’idée de sauter me fait peur. (Si on parle du fait de sauter, oui, ça me fait peur)Babu du-pe ji du ahia-to. (du, ya du, du-pe, ja, nante) L’idée de sauter me fait peur.Babu-nante ji ho ahia-to-suren. Il dit qu’il va accepter sa défaite : je doute qu’il le fasse. (je me demande beaucoup)Ushwuharia ho mitome-to-nante ji du cho lasul. Il dit qu’il va accepter sa défaite : je doute qu’il le fasse. (je suis incrédule, je n’y crois pas)Ushwuharia ho mitome-to-nante ji du nunla-fu. Tu n’y crois pas ? (tu es incrédule)(Bu du) nunla-fe ? / yus lai-fe ? Qu’est-ce que tu ne crois pas ? Tu doutes de quoi ?Nunla-la ? Je vais à l’école.Ji du gulditoki li guay. Il ne dit que des certitudes. (des choses qui sont vraies)Aitsu du siefuria ho ustu il. Il ne parle que de ses certitudes. (les siennes, ses convictions)Aitsu du sieshairia ho ustu behil. Je pense que je peux le faire.Tsai ho dwo-yao-bao. Je pense que je peux le faire. (mais je ne dis pas si je vais pas m’y coller)Tsai ho dwo du-pe ji du yao ja lai-lô. Alors comme ça, tu ne viens pas ?Osha, bu du yus kai-fe ? Du coup, tu ne viens pas ?Ja, bu du yus kai-fe ? Du coup, vu ce qui s’est passé, tu ne viens pas ?Xolaligo, bu du yus kai-fe ? Puisque tu danses, je vais chanter.Bu du yoibi-xal dadage, ji du shai-to-ñu. Puisque tu danses, je vais chanter.Bu du yoibi-xal dage, ji du shai-to-ñu. Étant donné l’état de ta charrette, c’est un miracle qu’elle soit arrivée.Bu ya asareo ya orsha dadage, uchu-nante miyaria-fu. Puisque c’est comme ça, je pars.Dage, ji xoga tuanbe. Il voudrait aussi une pomme, et des cerises, et aussi deux abricots, s’il vous plaît.Yochai, aitsu du lugu ho shin-xima-yo are nefa, soreni bi kisur-xima. La boîte cassée qui a un trou.Awa-line apur xakai. C’est lui qui a commencé.Iñu shu du aitsu-fu-lô. C’est l’homme qui a commencé à crier le plus suspect.Kial-ñu da zogo du chai damaria-foi-lô. C’est l’homme qui a commencé à crier le plus suspect.Kial-ñu zogo du chai ogare-fu-lô. L’homme dont le nez est cassé.Apur muñe-line zogo. J’ai vu cette pomme dont la couleur est verte.Ji du belka pangia-line da lugu ho gao. La femme dont la jupe a des points rouges.Mei ar din-line faxa ya leide. La femme qui a la/une jupe rouge.Mei faxa-line da leide. La femme qui a la/une jupe rouge.Mei faxa-line leide. La femme dont la jupe est bleue et pleines de taches.Mancha-file feye faxa ya leide. La femme dont la jupe est bleue et pleines de taches.Mancha-file yo feye faxa ya leide. La femme dont la jupe est rouge et pleines de taches.Mei yo mancha-file faxa ya leide. La femme dont la jupe est rouge et pleines de taches.Mei-fu-iq mancha-file faxa ya leide. La belle demoiselle dont la jupe est rouge.Mei-fu faxa ya ruxe kelya. La belle demoiselle dont la jupe est rouge.Mei faxa ya ruxe kelya. Je parle du grand et beau canard dont les plumes sont tachées par la boue, que je vois et qui est à ta droite.Ji du fuy-yi, achif li mancha-to-laho lanlan-line-iq ji ba gao-iq bu guyan fu ya da ogon yo ruxe ahakaq-lô. Il a baissé les yeux vers lui-même.Aitsu du mun ho wanri tanwei-to. Il a baissé les yeux vers lui-même.Aitsu du wanri gawiro. L’homme qui a la maison qui a brûlé est triste.Buxie-tsoa naguan ho lin (da) zogo du bawaga-fu. L’homme qui a la maison brûlée est triste.Buxie naguan-line zogo du bawaga-fu. L’homme qui a la maison brûlée est triste.Buxie naguan ho lin zogo du bawaga-fu. L’homme dont la maison a brûlé est triste.Naguan ba buxie-tsoa ya da zogo du bawaga-fu. L’homme de la maison qui a brûlé est triste. (dont la maison a brûlé)Buxie-tsoa naguan ya zogo du bawaga-fu. L’homme de la maison qui a brûlé est triste. (dont la maison a brûlé)Buxie-tsoa naguan-line zogo du bawaga-fu. Je te préviens, si tu ne le fais pas, je vais me fâcher.Xoy, bu du yus dwo pe, ji du tomen-to. Je te préviens, si tu ne le fais pas, je vais me fâcher.Xoy, bu du yus dwo pe, ji du tomen-to-xoy. Je te préviens, si tu ne le fais pas, je vais me fâcher.Xoy, bu du yus dwo pe, ji du tomen-to-gura-lô. Que lui, il y arrive, c’est normal, mais que même toi tu y arrives…Aitsu du baripi ja niwa-fu-lô, ambo xoga bu du baripi-nante…. Il a laissé le foulard suspendu au mur.Aitsu du giyunala ho mersiki-sha-chi. Je vois l’homme qui est perdu.Ji du ushwu-tsoa-sha zogo ho gao. Je vois l’homme qui s’est perdu.Ji du ushwu-tsoa zogo ho gao. Quand je pense qu’il est parti en laissant les clés sur la porte…Aitsu du sixun ho osu li chitsen-nante-boe… Qu’est-ce que c’est ? (Quel objet ou être ? / C’est quoi ce truc que je montre / n’importe quoi, qu’est-ce qu’il se passe, qu’y a-t-il ?)Fu-la ? / Tsai-la / okaldu-la ? Aujourd’hui nous sommes le premier jour du printemps et c’est l’anniversaire de Borbo.Dashida, selbai li fa ya shi ba fu, yogo Borbo ya bumatoria-fu. Joyeux anniversaire, Borbo !Bumatoria ho zoai-xima, Borbo-san ! Borbo a douze ans, maintenant.Ao ge, Borbo du tolbi buma. Je serai bientôt de retour.Ji du zubai go mo kai-sha. Je serai tout de suite de retour.Ji du aona/mena go/mehen mo kai-sha. Je serai tout de suite de retour. (emphase)Ji du mena go mo kai-sha. Je serai tout de suite de retour.Ji du mehen mo kai-sha. Je ne sais pas. (je ne comprends pas, je ne saisis pas le sens)Ji du yus fuybura. Je ne sais pas. (je ne suis pas au courant)Ji du yus fugao. J’en perds mes mots.Ji du orinshila-lô. Ça ne va jamais finir. (exaspération)Dodonbai yus nao-chane. Je ne sais simplement pas quoi dire…Aya, ji du ustu orinshila-sha. C’était un méchant lapin.Maje unchia-fu. J’étais dans les montagnes.Ji du xuashor li fu-mi. Est-ce que c’est un dessin récent ?Ratsin margolaria-fu-fe ? Je ne sais pas si j’ai le temps.Ji du bai ho lin-feyusfe. Pour une certaine raison la machine ne marchait pas tout à l’heure.Chodama bila ge, me baina, machin du yus dancho. Je n’avais pas d’autre choix, si ?Pyafunfu-mi-fe-lô. Et j’ai pensé : pas le choix, je vais l’aider.Yo, ji du milma-tafu : pyafunfu, aitsu ho jukama-ñu. Je vais t’aider. (je t’aide tout de suite)(Ji du bu ho) mena jukama. Je vais t’aider. (je t’aiderai)Ji du bu ho jukama-gura. Je vais t’aider. (je t’aide immédiatement)Ji du bu ho mehen jukama. Je vais t’aider. (je t’aide maintenant)Ji du bu ho ao li jukama. Je suis en train de t’aider.Ji du bu ho ao li jukama-xal. Tu pensais que j’avais le choix ?Yaopya ho lin-mi-fe-lô ? Tu pensais que j’avais le choix ?Bu du ji ba yaopya ho lin-mi ja lai-mi-fe-lô ? Tout le monde doit apprendre par soi-même en fin de compte.Izayi, soshu du shao ge boan-xalao-lô. Tout le monde finit par apprendre par soi-même en fin de compte.Izayi, soshu du shao ge boan-gui-lô. L’éducation dans ce monde me déçoit. (l’éducation du monde, à mon avis, pour moi, est une déception)Soxua ya gulden du ji li-du nerincha-fu. L’apprentissage ne devrait pas être forcé. L’apprentissage devrait être encouragé.Xol-orgi, xanse ya yumi yus otomo-laho-xalao-yo, mushiro, oiritak-laho-xalao-lô. C’est une tâche difficile, choisir ce qui est « bon » ou « mauvais », mais il faut le faire.Okaldu ba sha-fe cha-fe ja pyabura ya du inabari ya shoybi-fu, ambo xayi-fu. Ça ne changera rien.Tsai du ufun otsoa. Donne-moi n’importe quoi.Okaldu ho rei-xa. Donne-moi n’importe quel objet.Okal mono ho rei-xa. Donne-moi n’importe un objet différent.Wochao okal mono ho rei-xa. Donne-moi un autre objet (en plus).Chai okal mono ho rei-xa. Donne-moi un autre objet (en plus).Mono du chai fa ho rei-xa. Ça coûtera dix pièces de bronze.Tol suyarin xauna. Ça coûtera dix pièces de bronze.Tol suyarin fu-xima. J’ai eu le caprice de monter la montagne sans consulter personne.Ji du xuashor ho marai-to ja sichi-to. Je gagne une pièce d’argent par jour. (je suis payé)Shi-tai ge, ji du fa bilarin ho tinpe-laho. Il se peut que j’abandonne bientôt et fasse peut-être une sieste à la place.Zugozugo ortoy-felafe-yo, otso, amayu-to-felafe. C’est parce que tu ne veux pas être seul.Bu ba yus shao-sha-shin bila fu. Je ne veux pas être seul : ne t’en va pas !Ji du yus shao-sha-shin : yus tuanbe-xima ! Ça n’arrivera pas.Tsai du yus xal-gura. Allons, ça n’arrivera pas.Tsai du yus xal-gura-zanazan. Parfois, il peut être un gars bizarre.Aitsu du saranga chashu-fu-bai. Parfois, il peut être un gars bizarre.Baitaibai, aitsu du saranga chashu-fu-lô. Je ferai de mon mieux pour ne pas perturber tes révisions.Ji du bu ya xansefeiria ho yus churda-to-gaora-gura. Je ferai de mon mieux pour ne pas essayer de perturber tes révisions, tu verras ! (usage de -gaora comme -suren)Ji du bu ya xansefeiria ho churda-to ja yus gaora-gura-chaga. Je ne peux que me demander si c’est la même chose pour tous les autres.Ji du wan li yus yao ge lasul-tafu : ar tushu du-pe iraga ranxal-fe ja. Je ne peux que me demander (cela me pousse à me demander) si c’est la même chose pour tous les autres.Tsai du ji ho lasul-suren-tafu : ar tushu du-pe iraga ranxal-fe ja. Je ne peux que me demander (cela me pousse à me demander) si c’est la même chose pour tous les autres.Ar tushu du-pe iraga ranxal-fe ja tsai du ji ho lasul-suren. Je ne peux que me demander (je ne peux pas m’empêcher de me demander) si c’est la même chose pour tous les autres.Ji du ar tushu du-pe iraga ranxal-fe ja lasul ya du yus xan-yao-tsoa. Est-ce que ça existe vraiment ? (is that a thing ?)Iwo ge fu-fe ? Je suppose que c’est différent quand tu y penses à long terme.Fepusie, ranurage fugao pe tsai ba wochao-fu-yane. Ne t’inquiète pas.Yus bonusa-to-xa. Ne t’inquiète pas. / Je ne m’inquiète pas / Il ne s’inquiète pasBonusa-to-zei. Tu me manques.(Ji du) bu ho betsi. Je les appellerai demain quand je reviendrai.Araitsu du-pe ji du goshi li kai ya bai li soma-to-gura. Je les appellerai demain quand je reviendrai. (quant à les appeler, moi, demain, au temps où (je) reviens, le ferai).Araitsu ho soma-to ya du ji du goshi li mo kai-sha ya bai li dwo-gura. Je les appellerai demain quand je reviendrai. (quant à les appeler, moi, demain, après être revenu, le ferai).Araitsu ho soma-to ya du ji du goshi li mo kai-sha go dwo-gura. Je suis sur le chemin de retour.Mo kai-sha-xal. C’est lequel, le chemin de retour ?Mo kai-sha-xal yari pya du dai-la ? Le retour a été très long.Mo kai-sha-xal ya baisiu du lamar rane-fu. Le retour a été très long.Mo kai-xal ja ranrane-fu-lô. Le retour (le moment juste où je suis entré à la maison) a été très émouvant.Mo kai-sha ya baisiu du lamar liyolifile-fu. J’ai toujours plus apprécié les personnages mystérieux.Ji du sobai li-ge misanfile-fu yulshu ho chai zama-lô. Tu devrais dormir. (ce serait une bonne idée que tu dormes)Bu ba oyu ja xushi. Tu devrais dormir.Bu du oyu-xabao. Je leur ai dit de m’envoyer un autre ticket.Wochao tindi ho chierere-xima ja ji du araitsu ho il-lô. Tu es tellement impatiente avec moi. (gentille protestation)Bu du ji tie cho sinwukae-fu-xuwe. Je ne peux pas vivre comme ça.Ji du xol-da yus kixe-ran-lô. Tu sais, il fut un temps où je voulais être cultivateur de ki.Oshima, nuai, ji du rangayi ranbai kiaqnin li otsoa-shin-mi. Honnêtement, je n’ai jamais aimé la démonologie.Gandiade, ji du zugaichaxini ho uzabai zama. D’accord, allons voir la pièce de théâtre. Par contre, tu as des restes de légume sur ta barbe.Oke, agwobarga ho gao-xao-ar-xa. Aya, bu ya sayer ya ma li imi ya ranfuria-fu. La dernière personne à qui j’ai raconté mon idée a pensé que j’étais cinglé.Ji ba luma ho xalmila-to da komie shu du ji ba shokibozi-fu ja lai-lô. La première personne à qui j’ai donné mon cœur était la bonne.Ji ba isha ho rere da fa ya shu du nishiworia-fu. Si le monde n’était pas dans l’état où il est maintenant, je pourrais très probablement faire confiance à n’importe qui.Dom ya orsha ba yus xol-da fu-cha pe, osorage, ji du olkashu ho dor-to-yao. J’aimerais faire confiance à n’importe qui, mais, clairement, vu l’état du monde…Ji du okalshu ho dor-to-shin-lô, ambo xolaligo dom ya orsha dage… C’est très probablement ce qui s’est passé. (à propos de cela même qui s’est passé, c’est une hypothèse très probablement vraie.)Xal-mi tsai du osora-fu. Ton explication a du sens.Bu ya bilailria du wafuy-lô. Est-ce que ça a du sens ?Wafuy-fe ? Est-ce que c’est logique ?Wafuy-fe ? J’ai tout de suite capté/compris.Ji du aona fuyka-to. Je compris aussitôt.Ji du aona fuyka-to-mi. J’avais compris aussitôt.Ji du aona fuyka-to-mi. Est-ce que c’est logique/naturel/correct ?Niwa-fu-fe ? Est-ce que c’est naturel (correct selon les lois de la Nature) ?Xisho-fu-fe ? Mince, oui, ton explication est très probable (a une application très probable dans la réalité + admiration).Boe, bu ya bilailria du osora-fu-wahan. C’est malheureusement vrai. (emphase sur le fait que c’est vrai)Iwo-fu-xoshad-lô. C’est vrai, j’ai bien peur.Iwo-fu-xoshad. Ils sont trop occupés à se battre sans arrêt entre eux pour s’occuper d’idéaux communs.Araitsu du aira-diu ge totsobiri ya du baotiku-fu choxol, birie kutetoria ho yus baokatsi-yao. La plupart des gens pensent que je suis fou.Irini shu du ji ba shoke-fu ja lai. Non, je ne le suis pas : c’est toi qui l’es !Yus, ji du yus tsai-fu : bu du tsai-fu-losie ! C’est ma réplique !Tafu, ji ya totwilria ! C’est ma réplique !Fu-tafu, ji ya totwilria du ! J’ai vu une maison vieille et grande.Ji du seyi yo ogon naguan ho gao. sauter de pierre en pierre (courant)Turka ge turka li babu sauter de pierre en pierreTurka dienrinlige babu Il a traversé la rivière en sautant de pierre en pierre.Aitsu du jupya ho turka dienrinlige babu ge guay. J’ai descendu la rivière sur mon bateau.Ji du ji ya upako ge (jupya ho) tan wei juay. J’ai remonté la rivière sur mon bateau.Ji du ji ya upako ge (jupya ho) ma wei juay. J’ai descendu la rivière en la longeant.Ji du ranen-to ge tan wei guay. J’ai descendu la rivière à pied.Ji du jupya du-pe (bei ge) tan wei guay. Il a traversé la rivière.Jupya ya igata li guay. / jupya ho guay. / jupya ho puyai / jupya ho ogatso (si c’était tout un périple) / jupya ya xiai li guay (il est allé au-delà de la rivière) Il est allé à la rivière. (on ne sait pas si sur la rive ou à l’intérieur)Jupya li guay. Il est allé sur la rive de la rivière.Jupya ya taden li guay. Il est allé sur l’autre côté de la rivière.Aitsu du jupya ya ugaye den li guay. Il va allé sur l’autre côté de la rivière pour t’aider !Aitsu du bu ho jukama yari jupya ya ugaye den li guay-xao ! Il est tombé de l’autre côté de la rivière.Aitsu du jupya ya ugaye den li totora. Il me donne des coups de pied ! (en train de)Aitsu du ji ho bei ya pai ho pegu-xal ! Est-ce que tu es sûr ?Bu du sie-sha-fe ? Alors, il y a un problème.Ja, oxanchia du fu. Alors, il y a un problème.Ja, oxanchia-lô. Alors, il y a un problème.Ja, churda du fu. Oh ! Il y a un papillon !O ! langia du fu ! Dépêche-toi !Kisa-tsoa-xa ! Ça ne me surprend pas.Tsai du ji ho yus xoyafa-suren. Ça ne me surprend pas.Ji du yus xoyafa-fu-lô. Si je pouvais être comme ça…Owanshia, ji du xol-da fu-yao pe… Pour une certaine raison je me sens plus vivant la nuit.Okalbila, ji du wogbai chai kixe-zao-lô. Je compris d’un coup d’œil que quelque chose n’allait pas.Mun ya itso ge chodama okaldu du xol-cha xal ja ji du fuybura-mi-lô. Ça dépend du contexte. (locution)Ishawoda ya ishawoda-fu. Est-ce que tu te moques de moi ? !Bu du ji li gotasi-fe ? Est-ce que tu te fous de moi ? ! (agressif)Bu-chaga, ji li gotasi-fe-chaba ? C’est la chose la plus stupide que j’ai jamais dite.Ji ba dodonbai il ya xotie tsai du chai baratse-fu. Je ne veux pas être lamentable, je veux être cool ! !Ji du yus gawga-fu-shin, ashik-fu-shin ! Je ne veux pas être lamentable, je veux être cool ! !Ji du gawga-fu-nante yus shin, ashik-fu-shin ! Je ne veux pas être lamentable, je veux être cool ! !Ji du gawga-fwo-cha li yus shin, ashik-fu-shin ! Non, je ne veux pas !Yus, shin-zei ! Je ne veux pas inspiré de la pitié ! (courant, je n’ai pas l’intention de)Ji du gawgali-nante yus yama-suren-bao-lô ! Je ne veux pas inspiré de la pitié !Ji du gawgali ho yama-suren-nante yus shin ! Je ne veux pas inspiré de la pitié !Ji du gawgali ho yama-suren-nante shin-zei ! Je ne veux pas donné l’apparence de quelqu’un de lamentable.Ji du gawga shu-fu-zawun-suren-nante shin-zei ! Quand je serai grand, je veux être roi.Ober-tsoa ya bai li, ji du dowu-tsoa-shin. La Cité Impériale est un endroit charmant pour vivre, si c’est pour gagner de l’argent.Shindanxi du ting-to-shin du-pe baibuay ja jahifile toki-fu-lô. Je suis si gros.(Jaga) ji du cho bake-fu. et alors ?Ja ? et alors (qu’est-ce qui se passe) ?Ja xal-la ? et alors ? (quel rapport ?)Ayoria-la ? Je vais le descendre. (le buter, le tuer, pas vraiment une intention, plus une menace, parfois comique)Aitsu ho gatsa-xao-fuyoi. Je vais le descendre. (le buter, le tuer, intention claire)Aitsu ho gatsa-xao-lô. Si, je vais le descendre. (le buter, le tuer, intention claire)Aitsu ho gatsa-xao-losie. Je vais le descendre. (descendre un objet d’un endroit)Ji du tsai ho mehen oriro-suren. Meurs ! (familier)Kishmudi-xa ! Meurs !Zai-xa ! Je ne suis pas un vrai poisson, je ne suis qu’une simple peluche.Ji du gandi xinpo ja yus fu, gandiade ustu fulukuba-fu. C’est un fait.Yaria-fu. Il a mal agi, c’est un fait.Aitsu (du), chaon-to-lô, yaria-fu. Il a agi, c’est un fait. (il a fait quelque chose, on ne peut pas lui reprocher de n’avoir rien fait)Aitsu otor-to. Yaria-fu. Il a agi, il faut le reconnaître. (il a fait quelque chose, on ne peut pas lui reprocher de n’avoir rien fait)Aitsu totwo. Mitome-lô. Je reconnais qu’il est gentil, mais…Aitsu baotsue-fu, mitome-lô-jaga… Je le reconnais : il est gentil. Mais, il n’empêche, il est lourd, parfois, je dois le dire malheureusement.Ji du mitome-to-tafu : aitsu baotsue-fu-lô, jaga izayi poxas-fu-bai-xoshad. C’est un fait. (une action, agissement)Otor-fu. En fait, je ne suis pas un poisson mais une simple peluche.Gandiade, ji du yus xinpo-fu, gabi fulukuba-fu-lô. En fait, je ne suis pas un poisson mais une simple peluche.Gandiade, ji du xinpo-fu-zei, fulukuba-fu-lô. Je ne fais que parler ! (je parle sans arrêt)Ji du aira-diu ge ranil ! Je ne fais que parler ! (se défendant)Ji du ustu ranil-lô ! C’était probablement ce qui a influencé leur décision.Soterjipe, tsai du araitsu ya bilaguiria li lisiga-to-mi. Je me suis toujours demandé ce que ça ferait d’avoir des frères et sœurs.Ji du arbada ho lin ya du zao xol-la ja sobai li-ge lasul-lô. Je me suis toujours demandé ce que ça ferait d’avoir des frères et sœurs.Ji du sobai li-ge lasul-tafu : arbada ho lin ya du zao xol-la ja. C’est ce que j’aurais dit.Yorayange, ji du tsai ho il-mi-lô. Ça me prendrait l’éternité pour tout expliquer.So ho bilail-gaora pe ji du urangohen ho bai-tsoa. C’est parce que tu es une fille.Tsai du xal bila-la, bu du leide-fu bila. Si ça arrive, c’est parce que tu es une fille.Tsai du xal-lô pe, bu du leide-fu bila. Si tu es fatigué, c’est parce que tu n’as pas mangé.Bu du bexeche-fu-lô pe, yus oñan bila. Parfois je ne peux pas m’empêcher de manifester des émotions.Baitaibai, ji ya liyoli ho yama-to ja yus-xan-yao-tsoa. Parfois je ne peux pas m’empêcher de montrer des émotions.Baitaibai, ji ya liyoli ho tatsu ja yus-xan-yao-tsoa. C’est un mot pour lequel j’aimerais trouver un substitut.Da ilia du-pe ji du wochao fu ho kaitia-shin. C’est un mot pour lequel j’aimerais trouver un substitut.Da ilia du-pe ji du otsolaofu ho kaitia-shin. Ce serait quelque chose qu’il faudrait que je programme.Tsai du-pe ji du porogam-to ja xushi-lô. Il n’est pas dans mon intention d’être égoïste.Ji du yus sosowane-fu-bao-lô. Il n’est pas dans mon intention d’être égoïste, je t’assure.Sosowane-nante ji du yus yama-bao-losie. Réfléchissons au pire qui pourrait arriver.Layusla chai dug ishawoda-fu-gura-la ja kolai-to-ar-xa. Réfléchissons au pire qui pourrait arriver.Arji du moxanria-fu chai dug ishawoda ho kolai-to-ar-xa. Je propose que nous réfléchissions à la pire situation hypothétique.Arji du moxanria-fu chai dug ishawoda ho kolai-to-ar-xa ja ji du toshil. Combien d’amis proches est-ce que tu as ?Bu du nishiwo dyig ho lin zal-la-nanga ? Il se peut que je sois antisocial, mais ça ne veut pas dire pas que je ne parle pas aux gens.Ji du kuheliekae-fu-layusla, xolxoga shushu ho dilma du-pe dwo-losie. C’est toujours tel que ça a été.(Ishawoda du) sobai xotie iraga-fu. Je pense que c’est mieux de ne pas être impoli.Yus ilcha-to ya du xushi ja ji du lai. Je pense que c’est mieux de ne pas être impoli.Ilcha-to-zei ya du xushi ja ji du lai. Je pense que c’est mieux de ne pas être impoli.Ji du lai-tafu : yus ilcha-to ja xushi. On peut toujours trouver du temps.Bai du-pe sobai kaitia-yao. On peut toujours trouver du temps. (si c’est nécessaire, il y a toujours du temps)Xayi-fu pe, sobai bai du fu. On peut toujours trouver du temps. (si c’est nécessaire, il y a toujours du temps)Omoxi xayi, sobai bai du fu. J’arrive ! (Je viens tout de suite !)Mehen kai-yoa ! J’arrive ! (Je te préviens !)Mehen kai-xoy ! Oui, oui, j’arrive ! (Je viens tout de suite !)Siesie, mehen kai-yoa ! J’arrive !Mehen kai-xe ! Je viens tout de suite.Mehen kai-lô ! Je suis venu immédiatement.Ji du mehen kai. La maison était belle et grande et mystérieuse.Naguan du ruxe yo ogon yo misanfile-fu-mi. La maison était belle et grande et mystérieuse. (lourd emphase)Naguan du ruxe-fu-mi-yo ogon-fu-mi-yo misanfile-fu-mi. Il a beau être vieux, il n’est pas très malin.Aitsu du seyi-fu, xolxoga usgabi usipe-fu-lô. Je serais malheureux, mais je ne me suiciderais pas.Yorayange, ji du xoshori-lô, xolxoga wanzairei-nante me yus dwo. Je serais malheureux, mais je ne me suiciderais pas.Yorayange, ji du xoshori-lô, xolxoga me yus wanzairei. À l’époque du lycée je me levais à 6h tous les matins.Ji du, gima-fu ya bai li, so zuyshi li tsa fak li lada-tsoa-mi. Quand je me suis réveillé, je me sentais triste.Ji du, pika ya bai li, xol-bawaga zao-tsoa-mi. Quand je me suis réveillé (à mon réveil), je me sentais triste.Ji ya pikajixa ya bai li, xol-bawaga zao-tsoa-mi. Quand je me suis réveillé, j’étais triste.Ji du, pika-tsoa ya bai li, bawaga-fu-mi. Quand je me suis réveillé, j’étais triste.Ji du, pika-to ya bai li, bawaga-fu-mi. C’est ce qui est expliqué à la fin.(Tsai du) izar li bilail-tsoa. Je pensais que tu aimais apprendre de nouvelles choses…Bu ba zanmilma-shin-yoma ja lai-jaga… Quoi ? Mais je pensais que tu aimais apprendre de nouvelles choses !La ? bu ba zanmilma-shin-yoma ja lai-jaga ? Quoi ? Mais je pensais que tu aimais apprendre de nouvelles choses !La ? ji du bu ba zanmilma-shin ja lai-jaga ! La plupart des gens écrivent à propos de leur vie quotidienne.Irini shushu du so shi ya kixe ho pin-to-kaolin-yoma. Si je pouvais t’envoyer la lune, Yelyeh, je le ferais.Ji du omoxi baobin ho toshimafu toshte chierere-yao pe, Yelyeh, (yorayange) ji du tsai ho dwo-losie. Pour faire cela, il te faut prendre des risques.Tsai ho dwo yari, bu du uran-to-xayi-lô. Mince… J’ai gaffé.Xapacha… chapi-to. Chaque personne qui est seule est seule parce qu’elle a peur des autres.Shao-fu sotai shu du bonshu ho sukar bila shao-fu-lô. Chaque personne exagérément sociale l’est parce qu’elle a peur d’être seule.Wuz ge liekae-fu sotai shu du shao-fu ya ho sukar bila xol-da fu-lô. Pourquoi demandes-tu ?(Bu du) irmen bila-la ? Je ne suis pas un artiste. Je n’ai jamais eu l’esprit pour ça. (ne pas être de cette nature)Aya, aqnin-nante yus fu-lô. mushiro, uzabai tsai-fwo. Je ne peux pas lui dire maintenant. Ce n’est pas si simple.Aitsu li ao li nante yus il-yao-lô. Yus cho sir-fu. Ce n’est pas si simple.Yus cho sir-fu. Ce n’est pas simple.Yus sir-fu. Ce n’est pas facile.Yus zumizu-fu. C’est facile.Zumizu-fu-lô / sir-fu-lô C’est du gâteau.Wixijan / wixijan-fu Je suis une personne qui a des défauts, mais ces défauts peuvent être facilement corrigés.Ji du are ruhai ho lin shu-fu, ambo arda ruhai du zumizu ge wae-to-suren-laho-yao. Chaque fois que je trouve quelque chose que j’aime, c’est trop cher.Sotai yori ge, ji du zama chodama okaldu ho kaitia-gui ya bai li tsai du dichaime guan-fu-xuwe. Chaque fois que je trouve quelque chose que j’aime, c’est trop cher.Sotai bai ge, ji du zama chodama okaldu ho kaitia-gui ya bai li tsai du dichaime guan-fu ja aria-to-xuwe. Merci, mais… Il se trouve que j’ai déjà un manteau…Shishiel, ambo… ji du mafalya du-pe laxai lin-lô-jaga. Il se trouve qu’il était content.Ariatoge, aitsu du shinpin-sha-mi. Combien de temps es-tu restée ?Bu du (xuay-dama) ranfu ranbai-la ? Peut-être que ce sera la même chose pour lui.Aitsu du-pe iraga xal-gura-felafe. Peut-être que ce sera la même chose pour lui (à son avis).Aitsu li-du iraga xal-gura-felafe. Peut-être que ce sera la même chose pour lui. (chose, objet)Aitsu du-pe iraga okaldu-fu-gura-felafe. L’innocence est une belle chose.Osalen du ruxe mono-fu. Les humains n’ont jamais été faits pour vivre éternellement.Shufu du xisho ge urango yus kixe-ran. Je ne veux pas renoncer à mes idées, même si certaines d’entre elles sont un peu extrêmes.Ji ya kutetoria ho yus lin-ortoy-shin, xolxoga artsai fufuan are ya du piska gurgata-fu. C’est trop mignon !Me kawai-fu ! Je pense que j’ai une théorie à ce sujet.Laila du-pe kolaioxa ho lin ja lai-lô. C’est intrigant. (c’est plein de mystères, mystérieux)Misanfile-fu. C’est intrigant. (je suis curieux, cela m’intrigue)Nanga-to. Tu es en train de dire que tu caches intentionnellement ta beauté ? (tu forces ta beauté à être cachée, lourd)Bu du wan ya ruxen ho shao ge yoko-tomo-xal ja fuyil-xal-fuyoi ? Tu es en train de dire que tu caches intentionnellement ta beauté ?Bu du wan ya ruxen ho bao omen yoko-xal ja fuyil-xal-fuyoi ? Tu es en train de dire que tu caches intentionnellement ta beauté ?Bu du wan ya ruxen ho bao omen yoko-xal ja fuy-fuyoi ? Tu veux dire qu’il est déjà parti ? !Aitsu du laxai tuanbe ja fuy-fuyoi ? ! Tu veux dire qu’il est déjà parti ?Aitsu du laxai tuanbe ja fuy-fe ? Si quelqu’un me demandait quel est le but de l’histoire, je ne saurais vraiment pas quoi dire.Omoxi okal kata ba da xalmila ya yaxaria-la ja irmen pe, ji du (yorayange) gandiade orinshila. Je ne savais pas d’où ça venait.Tsai ba dire-fu-la ja ji du yus fugao-mi. Je n’ai pas de compte sur ces forums.Arda forum li akun ho yus lin. Je pense que le fait que j’ai vécu avec toi a influencé la façon dont tu vis.Ji du lai-lô-tafu, ji ba bu tie baibuay ya du bu ya kixe ya fwo ho lisiga-to-lô. Ce n’est pas important.Tsai du yus xarei. / Tsai du yus xare-fu. / Tsai du yus xarsha-fu. Je n’ai pas aimé. (je n’ai pas pris joie à cela ; cela ne m’a pas transmis de bien-être.)Tsai ho yus zoai. Elle demande comment c’est possible.Iyae-fu-fuyoi xol-la ja irmen. Elle dit que ce n’est pas possible. (c’est impossible)Yao-zei ja il. Elle dit qu’elle ne peut pas.Yus yao ja il. Tu ne fais que fuir les problèmes de la vie.Bu du kixe ya oxanchia ho ustu tuwei-to-xal-lô. Si tu regardes les paroles, elles ne signifient pas vraiment grand-chose (en fin de compte).Xolaligo, ilia du-pe usgabi wafuy-lô. Il y a un problème que tu ne vois pas. (littéral, un certain problème dont tu ne te rends pas compte existe)Bu ba yus baopun chodama oxanchia du fu. Il y a un problème que tu ne vois pas. (tu ne vois pas un certain problème)Bu du chodama oxanchia ho yus gao-baripi. Il y a un problème que tu ne vois pas. (tu ne remarques pas un certain problème)Bu du chodama oxanchia ho yus baopun-baripi. Il y a un problème que tu ne vois pas. (tu ne vois pas un certain problème)Bu du chodama oxanchia ho baopun ja yus baripi. Il y a un problème que tu ne vois pas. (dont tu n’es pas au courant)Bu du chodama oxanchia ho yus fugao. Il y a un problème que tu ne vois pas. (tu échoues à voir un certain problème)Bu du chodama oxanchia ho baopun ja abor. Je n’ai pas manqué de remarquer qu’il boitait.Ji du aitsu ba pichuay-mi ja yus urtiku-mi. Vive la vie !Kixua aopa ! Vive l’Empire !Danxi aopa ! Vive la liberté !Chienxi aopa ! Donnez-nous la liberté ! —Prenez-la vous-mêmes, idiots.(Arji li) chienxi ho rei-xa ! —arbubu du tsai ho bura-xa, nishom. Donnez-nous la liberté ! —Prenez-la vous-mêmes, idiots.(Arji li) chienxi ho rei-xa ! —arbubu ge tsai ho bura-xa, nishom. Tu peux le faire !Ganba ! Je préférais l’époque du vieil Empire. (le temps du vieil empire me plaisait plus)Daoxua (ya bai) du ji li chai runja-mi-lô. Tu n’aimes pas la démocratie ? —Si elle existait vraiment, peut-être, mais…Nomaxara ho yus zama-fe ? —gandiade tsai-fu pe felafe-jaga… Mon prof de physique s’en fiche si je sèche les cours.Ji du dorkin ho babu xolxoga, xuabuyxini ya igo du chan-tsoa. Taisez-vous ! On est en cours !Zooy-to-xa ! Dorkin li sha ! J’aimerais bien pouvoir aller à la Cité des Cendres.Shinziyah li guay-son-jaga… Je déteste ça quand il y a trop de gens.Dichaime shushu ba fu ya bai ja ji du chajini-lô. Je déteste ça quand il y a trop de gens. (quand c’est bondé)Ginze-sha pe ji du chajini-kaolin. Il m’a jeté un coup d’œil.Aitsu du ji li mun ya itso ho goyon-to. Il m’a jeté un coup d’œil (m’a regardé un court instant).Aitsu du ji li zugao-to. Je dois aller au lit.Ji du oyu-to-xabao. Je dois aller au lit. (littéral, non courant)Ji du oe li guay-xabao. Après ça, je pars, mais je me rends compte que j’ai oublié mon sac chez eux.Tsai go, ji du tuanbe-mi, ambo da xal li garua ho polide-mi ja baopun-mi. Je ne t’en demanderai pas plus pour aujourd’hui. (littéral)Dashida du-pe (ji du) bu li-ge jiro ja ushayi. Je ne t’en demanderai pas plus pour aujourd’hui. (littéral)Dashida du-pe (ji du) bu li-ge jiro ja ushayi. C’est suffisant pour aujourd’hui.Dashida du ushayi. Euh… Il est un poil trop grand.Eto… dindin ogon-fu, aitsu. Ce chanteur n’est pas exactement populaire, en effet, mais disons… il est un brin connu ? (il se fait remarquer un petit peu)Da shaitonin du kutikuti yus me shuzlao-fu, mitome-lô, ambo, ya… dindin baopun-suren-tsoa-felafe ? Mon chien est un tout petit peu fou.Ji ya paochi du dindin shoke-fu-lô. Ça sera suffisant pour aujourd’hui. (emphase)Dashida du ushayi-fu-lô. Il ne faut pas chercher… Attends, quel est le mot ? Ah oui : la perfection.Yus kaitia-xayi-tafu… eto, (nishiwo) ilia-la-aifa ? Aya : sabelen-lô. Disons… Quel est le mot ? Voilà : la perfection.Ya… ilia-la-aifa ? Aya : sabelen-lô. Au fait, c’était quoi, la question ?Oshima, laila-la-aifa ? Au fait, je suis désolé, mais… c’était quoi, la question ?Oshima, barkatu, ambo… laila-aifa ? Ah, c’était qui, déjà ?Ah, shu-la-aifa ? Qui sera le prochain ?Yogoy-la-gura ? C’était qui, le prochain, déjà ?Yogoy-la-aifa ? C’était qui, le prochain, déjà ?Yogoy-aifa ? Justement… c’était qui, le prochain, déjà ?Oshima-jaga… yogoy-la-aifa ? Espèce d’espion !Chaba zuruxu ! Maudit espion !Chaba zuruxu ! Ce que je fais ? Boh, parfois je vend des colliers dans la rue, parfois des rubans et… je sais pas, des trucs.Ji ba dwo-la ? bô, gonbaur ho dwo-yo giyulda-bai zakuro-bai ho xaozan-yo… gu-pe, kare mono-lô. Boh, je reste à la maison.Bô, ji du naguan-to-bao. Boh, je reste à la maison, je suis fainéant.Bô, ji du naguan-to-bao-wô. Boh, je suis resté à la maison, j’étais fainéant.Bô, ji du naguan-to-wô. Boh, je reste à la maison, je suis fainéant.Bô, ji du naguan li ranfu-bao-wô. J’avoue, parfois, j’ai fait des trucs pas bien.Mitome-lô, are yori li, ji du cha okaldu ho dwo. J’avoue, parfois, j’ai fait des trucs pas bien. (j’ai péché et fait des trucs mauvais)Mitome-lô, are yori li, ji du cha okaldu ho tawen-to-lô. Il y a trois chiens autour de la maison.Naguan ya ux li dan paochi du fu. C’est une catégorie différente.Wochao keiq-fu. C’est un chien d’une catégorie différente.Wochao keiq ya paochi-fu. C’est un peu bête.Kainda baratse-fu. / piska baratse-fu C’est un poil un peu bête.Kainda dindin baratse-fu. C’est un poil un peu bête comme phrase.Kainda dindin baratse-fu, da zuri du lô. Moi, qui suis informé (/au courant), je peux dire que tu mens. (je peux affirmer)Mura-to ji du bu ba uso-xal ja siexil-yao-lô. Il a été ici. (à une occasion)Aitsu du fa yori li xuay fu-mi. Quand tu n’étais pas là, il m’a demandé jusqu’à quand et depuis quand je marchais et je lui ai répondu que depuis deux heures et que j’avais l’intention de continuer pendant trois heures de plus.Bu ba yus xuay fu ya bai li, aitsu du ji li irmen-tafu : ji ba zuguay-xal bairin-la yo bailige-la. Yogo, ji du bi fak ranbaige dwo ja totwil, soreni ji du dan fak ranbai dwo-ran-bao-mi ja lô. Je le verrai avant deux jours. (dans moins de deux jours, avant après deux jours)Ji du aitsu ho bi shi gona gao-gura-lô. Je l’ai vu avant deux jours. (il y a moins de deux jours, avant avant deux jours)Ji du aitsu ho bi shi nuaina gao-mi-lô. Il y a moins de trois jours, seulement, que je suis ici. (je suis ici seulement plus tôt qu’avant trois jours.)Ji du ustu dan shi nuaina xuay ranfu. Il a été ici pendant longtemps.Aitsu du ran ge xuay fu. Il est ici en ce moment.Da bai li, aitsu du xuay fu/ranfu. Il est ici en ce moment (en train de faire des choses, en train d’agir, en train de travailler).Da bai li, aitsu du xuay fu-to. Il reste ici. (il a l’intention de rester ici)Da bai li, aitsu du xuay ranfu-bao. Combien dure le spectacle ?Bargaoga ba nura-to-la ? Combien de temps pour que le spectacle termine ?Bargaoga ba nao tahin ranbai-la ? Combien de temps il faut pour arriver chez toi ?Bu ya gi li uchu ranbai-la ? Ça a duré deux heures.Bi fak ge nura-to-lô. Ça a duré deux heures.Bi fak ranbai nura-to-lô. Ça a duré deux heures… (c’était long)Bi fak ranbai nura-to-wô. Il y a une étoile au-delà des nuages.Ar suan ya xiai li fa woshi du fu. Il marche dans la nuit, au milieu des étoiles.Aitsu du wog li zuguay-xal, woshi ya gina li shana ge. Il marche dans la nuit, au milieu des étoiles.Aitsu du wog li, woshi ya gina li, zuguay-xal. Quand on arrivera, on allumera le feu.Arji du, uchu ya bai li, bui-to-gura. Les montagnes au loin peuvent à peine s’apercevoir.Ardama tao xuashor du yuxo zugao-yao-laho. Bon, j’ai mal, mais à peine.Iya, aicha, ambo yuxo-lô. Avant, j’ai fait le lit.Baina, oe ho oxai-to. Il parlait d’un certain homme.Chodama zogo ya ho uzil-mi. Il parlait à propos d’un certain homme.Chodama zogo ya oshima li uzil-mi. Il parlait à propos d’un certain homme.Chodama zogo ya oshima li il-mi. J’avais (déjà) pris. / Je prisJi du bura-mi. J’avais (déjà) pris.Ji du laxai bura-mi. Je pris.Ji du bura-xe-mi. Plutôt que de manger une pomme, je préfèrerais manger une poire. (j’ai plus envie de, j’aimerais mieux)Lugu ho oñan mushiro, fa madakua ho oñan ja chai aisa-to-lô. Plutôt que de manger une pomme, je préfèrerais manger une poire. (j’ai plus envie de, j’aimerais mieux)Lugu ho oñan mushiro, fa madakua ho oñan-son. Au contraire, tu t’es couvert de honte.Ugai, bu du oxad ge mafai-tsoa. Au contraire, tu t’es couvert de honte. (tu t’es démarqué)Ugai, bu du oxad ge baopun-suren-tsoa. Quel effronté !Cho gor-fu ! Quel manque de respect !Cho gor-to-fu ! Quel manque de respect !Cho gortoria ! Je le trouve très grossier, dernièrement.(Ji li-du,) damishige, aitsu du lamar gor-sha-lô. La pièce est dans la maison.Shaki du naguan li fu. La fleur est blanche.Yalya du saal-fu. La fleur était blanche, mais le soleil l’a illuminée et, à présent, elle est rouge.Yalya du saal-fu-mi, ambo tsai ho shishi du bin-to, yo aoge, tsai du mei-sha. La fleur était blanche, mais maintenant que le soleil l’a illuminée, elle est devenue rouge.Yalya du saal-fu-mi, ambo tsai ho shishi du bin-to ya ao li tsai du mei-tsoa. Elle s’est transformée en dragon. (Il/Elle a évolué en dragon)Aitsu du ozei li ontsei. Elle s’est transformée en dragon.Aitsu du ozei li otsoa. Elle s’est transformée en dragon.Aitsu du ozei-tsoa. Tu es moi.Bu du ji-fu. Tu es pareil que moi.Bu du ji xotie iraga-fu. Je te transformerai en grenouille !Igel li otsoa-suren-xoy ! J’ai changé de charrette. (j’ai substitué, remplacé la charrette)Asareo du-pe ji du otso. Le vent a changé de direction. (la direction du vent a changé)Aise ya bashu du ontsei. Le vent a changé. (la direction du vent a changé)Aise du ontsei. Le vent a changé et s’est transformé en vent du nord.Aise ya bashu du ontsei-yo nae li-ge aise li otsoa. Il y a vent du nord (ça souffle depuis le nord).Nae li-ge aise-to. Je suis petit.Ji ba zu-fu. Le temps change constamment.Geyi du aira-diu ge ontsei. Si j’ai une pomme, je suis toujours plus content. (À chaque fois que j’ai une pomme, je suis toujours plus content.)Ji du, lugu ho lin ya yori li, sotai bai ge chai shinpin-sha. Dès que j’ai une pomme, je suis content.Ji du fa lugu ho lin ya sotai bai li shinpin-sha-lô. Dès qu’il a fini de manger la pomme, il est parti.Aitsu du lugu ho oñan-ñao-mena, tuanbe. Il le dit comme si c’était vrai. (je n’y crois pas)Aitsu du iwo-fu-nante tsai ja il. Comme si tu étais roi !Pexoge bu ba dowu-nante ! Comme si ça m’amusais de faire l’imbécile ! Mais pas du tout !Ji ba nishom-to-shana biai-nante ! Me yus lô ! Comme si tu pouvais chanter…Bu ba shai-to-nante(-xeixei)… Comme si j’avais envie de faire ça…Ji ba tsai ho dwo-son-nante (yus). J’ai fait ça parce que j’en avais envie.Ji du tsai ho dwo bila-la, dwo-shin bila. J’ai fait ça parce que j’en avais envie.Ji du dwo-shin bila tsai ho dwo. J’ai fait ça parce que j’en avais envie.Ji du dwo-shin bila yi-lô. Je l’ai fait.Yi-lô. Si, je l’ai fait.Yi-losie. Je l’ai fait.Dwo-lô. Si, je l’ai fait.Dwo-losie. Quel est ton intention en partant ? Pourquoi tu as l’intention de partir ?Tuanbe-bao-la ? Quel est ton intention en partant ?Tuanbe-nante bao-la ? Quel est ton intention en partant de cette façon ?Xol-da tuanbe-nante bao-la ? Y’a pas idée de partir de cette façon !Xol-da tuanbe-nante bao-la-boe ! Comme si j’en avais envie… beh non. (envie ? je n’ai pas envie, non)Ji ba aisa-to-nante yus. Il est « patient », tu dis ? haha !Aitsu ba shuebozi-nante, xaxa ! Il a peut-être bien fait quelque chose à quelqu’un, qui sait, mais même ainsi, ce n’est pas juste.Aitsu du lalila-lô-felafe, xolxoga (tsai du) zuruy-fu. Il dépend de son travail pour manger.Aitsu li-du oñan yari goyka du xayi-fu. Les enfants dépendent de leurs parents.Chuge du osefu li zen-laho-xushi. Les parents prennent soins de leurs enfants.Osefu du chuge ho zen-xushi. ça ne se fait pas. / Ce n’est pas bien. / C’est mal/médiocre. / C’est méchant.Yus dwo-xushi. / Dwo-zei-xushi. / Yus shasha-fu. / dug-fu. / Maje-fu. Et la nuit passant, passant… il réussit à s’endormirWogbai-to, wogbai-to, yogo aitsu du oyu-to-yao-ñao-mi. Mon cher, est-ce que tu aimes toujours les salades de fruits ?Tsu bu du, shikua ya zertu ho wosobai zama-fe ? Tu n’es pas encore arrivé.Bu ba uchu ja manara. Tu n’es toujours pas encore arrivé. (impatience)Bu ba uchu ja manara-cha. Tu ne continues pas à manger ?Bu du yus oñan-ran-fe ? Tu n’as toujours pas mangé ?Bu ba oñan ja manara-fe ? Tu as mangé ? Pas encore.Bu du oñan-fe ? Manara. Tu veux lequel ? Aucun.Bu ba shin dai-la ? Uza. Je n’en ai aucun.Ji du uza lin. J’en ai zéro.Ji du uza ho lin. Je n’ai aucune pomme.ji du uza lugu ho lin." Je n’ai aucune pomme.ji du lugu du-pe uza lin." Alors, au dernier moment, elle fut prise d’un grand fou rire.Da xal li, aitsu du, guino bai li, xamasi ya ori li tamara-mi. Je reçois des abricots deux fois par semaine.Ji du bi bai ge beldetin-tai ge kisur ho pei. C’est un ignorant.Layuslashu-fu. Je l’ignore. (je ne sais pas.)Ji du lala. Je l’ignore. (je ne sais pas.)Ji du yus fugao-lô. Je l’ignore. (je fais comme s’il n’existait pas.)Ji du da kata ho yose-to-lô. Ah… Je ne connais pas ma force, je suis désolé.A… wan ya edel ya ho yus fugao-aiga. Quelle force !Cho edelen ! Qu’il est fort ! Incroyable !Cho edel-fu ! Sugoy ! Mon instructeur d’épée à une longue barbe pas très pratique pour manier son arme.Ji ya zamigo du ran sayer ho lin, yogo tsai du tuayaq-to yari usgabi kartubil-fu-lô. Tout est à cause de moi ! (tristesse)So du ji ya chaon li fu-xuwe ! Sa maison est à la lisière d’une forêt.Aitsu ya naguan du miza ya zahiro li fu. Depuis le seuil de la maison, je vois la lisière de la forêt.Naguan ya zahiro li-ge ji du miza ya zahiro gao-yao. Depuis l’entrée de la maison, je vois la lisière de la forêt.Naguan ya ana li-ge ji du miza ya zahiro gao-yao. Je lançai le ballon, qui traversa tout le jardin et resta coincé sur une branche.Ji du onpo ho goyon-to-mi, yo tsai du so lior ho ogatso-mi-yo barxa li chatiku-to-mi. En lançant le ballon, celui-ci traversa tout le jardin et resta coincé sur une branche.Ji ba onpo ho goyon-to-mi ge tsai du so lior ho ogatso-mi-yo barxa li chatiku-to-mi. Le ballon que je lançai traversa tout le jardin et resta coincé sur une branche.Ji ba goyon-to-mi onpo du so lior ho ogatso-mi-yo barxa li chatiku-to-mi. À cette époque-là, on mangeait des choux.Da bokebai li, shushu du mozimi ho oñan-sowa-mi. Il était une fois un loup qui mangeait de l’herbe et une brebis qui mangeait des loups… Ah, non, attends, je recommence (politesse).Nuhebai-nuhebai, belar ho oñan-mi chodama xawo du fu, yochai xawo ho oñan-mi chodama pula… aya, shue-xa, mo iñu-xima. Euh… Tu n’as pas un peu honte ? (doux : embarras à cause d’une action tienne)Yus xazwai-to-fe-fuyoi ? Euh… Tu n’as pas un peu honte ? (doux : embarras à cause d’une action tienne)Yus xazwai-sha-fe-fuyoi ? Tu n’as pas honte ? !Yus oxad ho lin-boe ? Tu n’as pas honte ? ! (peu courant)Yus oxad-to(-fe)-boe ? Ah, par tous les dieux ! J’ai honte, hohoho !Ah, oden shiwo ! Xazwai-sha, xoxoxo ! Ah, par tous les dieux ! J’ai honte, hohoho ! (plus détaché de soi-même)Ah, oden shiwo ! Xazwai-fu, xoxoxo ! Par Mougoum !Mugum shiwo ! Par les chaussettes de Mougoum !Mugum ya bearditi shiwo ! Les chaussettes sont des habits.Bearditi du uti-fu. Les chaussettes sont des vêtements.Bearditi du nala-fu. Les pantalons sont des vêtements.Zuton du nala-fu. Je te souhaite le plus beau des bonheurs.Chai ruxe ranxama-ozir. Que la lune bénisse ton chemin.Owanshia baobin du bu ya pya ho bin-to-ozir. Que ta souffrance soit longue, malfrat.Oriaria ba ranran-fu-ozir, garbaladocha Que la souffrance soit brève.Oriaria ba itse-fu-ozir. J’espère que nous n’aurons pas à monter toute la montagne…Swo xuashor ho yus marai-to-xayi-yone… Je te souhaite bonne chance !Amabi-ozir ! Que votre mariage soit joyeux/plein de bien-être/plein de positivité.Arbu ya niya ba fai-fu-ozir. Que votre mariage soit joyeux/plein de bien-être/plein de positivité.Arbu ya niya ba fai-ozir. Que votre mariage soit heureux/plein de joie.Arbu ya niya ba xamafile-ozir. Sois heureux. (je te souhaite que tu sois heureux)Fai-fu-ozir. Sois heureux. (je te souhaite que tu sois heureux, locution)Fai-ozir. Sois heureux. (impératif)Fai-fu-xa. J’ai mille pièces d’or.Ji du gontsi tinarin ho lin. Si on parle de pièces d’or, moi (arrogant, blagueur), j’en ai mille.Tinarin du-pe ji-shama du gontsi lin-lô. C’est cher, tu dis ? J’ai mille pièces d’or, alors… (je peux payer sans problème)Guan-nante ? Ji du gontsi tinarin ho lin-jaga. Ça sert à quoi ? (tu l’utilises pour quoi faire)Shua-to yaxari-la ? Ça sert à quoi ? (ça s’utilise pour quoi faire/(qu’est-ce que/pour quoi faire) ça s’utilise ?)Shua-tsoa yaxari-la ? Shua-tsoa-la ? Tu vas l’utiliser pour quoi faire ?Bu ba tsai ho shua-to yaxari-la ? Tu vas l’utiliser pour quoi faire ? (contraction)Bu ba tsai ho shua-to-bao-la ? Je suis censé faire quoi avec ça ?Ji ba tsai ge dwo yaxari-la-yoma ? Ça ne sert à rien.Tsai du shua-tsoa ja muda-fu. Ça ne sert à rien. / C’est inutile / L’effort est vainMuda-fu. Ça ne sert à rien d’utiliser ça.Tsai ho shua-to ja muda-fu. Est-ce que c’est utile ?Shua-tsoa-fe ? Est-ce que ça s’utilise (habituellement) ?Shua-tsoa-sowa-fe ? Même si tu incluais cette pomme, ça n’en ferait que cinq. (quand bien même tu ajouterais cette pomme, même ainsi)Omoxi da lugu ho barbura pe, xolxoga ustu ol-fu-gura. Même si tu inclus cette pomme, ça n’en fait que cinq au total. (tu peux inclure cette pomme, mais, même ainsi)Da lugu ho barbura-yao-jaga, xolxoga swo ge ustu ol-fu. J’y suis presque. (j’ai presque réussis)Ji du pexoge yao-ñao. J’y suis presque. Rien que deux pas de plus et… ! (je suis presque arrivé, c’est presque comme si j’étais arrivé)Ji du pexoge uchu. Yogo ustu bi pi-yo… ! La pièce est juxtaposée à la cuisine.Shaki du xamiña koyan fu. La pièce est juxtaposée à la cuisine.Shaki du xamiña li koyan-to. Je t’ai vu dancer.Ji du bu ba yoibi-xal ho gao. Je t’en suis reconnaissant.Ji du bu li shiye-fu. Je t’en suis reconnaissant.Ji du bu li shiye-fu-shien. Je t’en suis reconnaissant.Ji du bu li fu-shien. Je lui en suis reconnaissant.Ji du aitsu li shiyoli ho zao. Je perçois de la reconnaissance provenant de lui.Ji du aitsu li-ge shiyoli ho zao. Sa femme est enceinte.Aitsu ya imen du aodasmin. Sa femme est tombée enceinte.Aitsu ya imen du aodasmin-to. Je suis venu à aimer sa cuisine. / j’aime particulièrement sa cuisineJi du aitsu ya kuhaq ho zama-to. Je suis venu à aimer sa cuisine. (j’ai finis par)Ji du aitsu ya kuhaq ho zama-to-gui. Au final, on est cinq et pas seulement quatre.Xolaligo, arji du ol-fu, yus ustu le. J’ai finis par comprendre qu’il était sincère.Aitsu ba binte-fu ja ji du fuybura-gui. Il a trop dit « je t’aime ».Aitsu du bu ho zaya ja dichaime il. Il a dit « je t’aime » trop de fois.Aitsu du bu ho zaya ja dichaime bai ge il. Il a dit « je t’aime » abusivement (trop).Aitsu du bu ho zaya ja wuz ge il. Il a dit « je t’aime » trop de fois.Aitsu du bu ho zaya-nante wuzgebaige il. Il a dit « je t’aime » trop de fois. (il t’a dit qu’il t’aimait, mais, franchement, trop de fois.)Aitsu du bu ho zaya ja il-jaga wuz ge bai ge boe. Il a dit trop de fois que cette personne t’aimait.Aitsu du da kata ba bu ho zaya ja dichaime bai ge il. Il a dit que cette personne t’aimait trop.Da kata ba bu ho dichaime zaya ja il. Tu m’a réjouie. (ponctuel)Bu du ji ho xama-to-suren. Tu me rends heureuse. (toujours) (tu me donnes toujours du bonheur)Sobai, bu du ji li ranxama ho rei. (/ ji ho ranxama-to-suren) Tu rends heureuse cette jeune fille (toujours).Sobai, bu du da yukelya ho xama-to-suren. structure d’une maisonNaguan ya inen (Négation) Personne ne sait que j’ai peur. (moins courant)Uzashu du ji ba ahasi-fu ya ho fugao. (Négation) Personne ne sait que j’ai peur.Ji ba ahasi-fu ja uzashu du fugao-lô. (Négation) Personne (pas même une, emphase) ne sait que j’ai peur.Ji ba ahasi-fu ja xoga uzashu du fugao-lô. (Négation) Personne (pas même une, emphase) ne sait que j’ai peur.Ji ba ahasi-fu ja xoga ustu fa shu du yus fugao-lô. (ya du/ya ho = ja) Il est devenu habile à faire en sorte que l’âne ne s’effraye pas. (à propos que)Aitsu du zumbo ba yus ahia-tsoa ja xanshi-gui. (Négation) Je veux ne pas manger.Yus oñan ja shin. (Négation) Je ne veux pas manger.Oñan ja yus shin. / yus oñan-shin (Négation) Je l’ai incité à manger. (Je lui ai demandé de manger, je l’ai fait manger, je l’ai conduit à manger, j’ai fait en sorte qu’il mange)Aitsu ho oñan-suren. (Négation) Je ne l’ai pas incité à manger.Aitsu ho oñan ja yus osuren. (Négation) Je ne l’ai pas incité à manger. (personne ne lui a demandé de manger, et surtout pas moi)Aitsu ho oñan-suren ja ji du yus dwo-lô. (Négation) Je l’ai incité à ne pas manger.Aitsu ho yus oñan-suren. (Négation) Tu l’as rend heureuse. (toujours)Sobai, bu du aitsu ho xama-to-suren. (Négation) Tu ne l’as rend pas heureuse. (globalement)Swo du-pe, bu du aitsu ho xama-to-suren ja yus dwo. / swo du-pe, bu du aitsu ho xama ho yus rei. (tu ne lui donnes pas de joie) (Négation) Il a fait en sorte que je ne m’effraie pas.Aitsu du ji ho yus ahia-tsoa-suren. (Négation) Il n’a pas fait en sorte que je m’effraie.Aitsu du ji ho ahia-tsoa ja yus osuren. (Négation) Ce n’est pas lui qui a fait en sorte que je ne m’effraie pas.Ji ho yus ahia-tsoa-suren da kata du yus aitsu-fu. (Négation) Je l’ai incité à s’asseoir.Ji du aitsu ho fei-tsoa-suren. (Négation) Je l’ai incité à ne pas s’asseoir. (j’ai fait en sorte qu’il ne s’asseye pas)Ji du aitsu ho yus fei-tsoa-suren. (Négation) Je ne l’ai pas incité à s’asseoir.Ji du aitsu ho fei-tsoa ja yus osuren. (Négation) Je ne l’ai pas incité à s’asseoir. (sur la défensive)Aitsu ho fei-tsoa-suren ja ji du yus dwo-lô. (Négation) Je ne veux pas te forcer à manger.Ji du bu ho oñan-tomo ja yus shin. (Négation) Je veux te forcer à ne pas manger.Ji du bu ba yus oñan ja otomo-shin. (Négation) Je veux te forcer à ne pas manger.Ji du bu ba yus oñan yari bu ho otomo-shin. (Négation) Je veux te forcer à ne pas manger.Ji du bu ba yus oñan yaxari bu ho otomo-shin. (Négation) Je veux te forcer à ne pas manger.Ji du bu ho yus oñan-tomo-shin. (Négation) Je veux que tu n’essaies pas de manger.Ji du bu ba yus oñan-gaora ja shin. (Négation) Je ne veux pas que tu n’essaies pas de manger.Ji du bu ba yus oñan-gaora ja yus shin. Dans quel but ? Dans ce but : manger.Yari-la ? yari-tafu : oñan ja. Celui qui essaie de courirDonguay-gaora da kata Ouaouh ! Tu es bon en tout !Wahan, me xanshi-lô, bu du ! Ouaouh ! Tu gères ! (tu assures !, tu sais ce que tu fais, dis donc !)Wahan, bu du botabota ! C’est bon, ça marche.Botabota, dancho-xal. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’aiment. (que je connais)Ji ho zaya arda kata ho shielsha-fu-shien. Je suis reconnaissant envers ceux qui m’aiment. (que je connais ou ne connais pas)Ji ho zaya shushu ho shiye-sha. Je connais la fin de cette histoire.Da xalmila ya izar du-pe ji du fugao-lô. Je connais la fin de cette histoire. (elle m’est familière)Da xalmila ya izar du ji li-du misai-lô. Ce mot me dit quelque chose… Mais, râ, je n’arrive pas à me rappeler.Da ilia du ji li-du misai-lô-jaga… yus minmi-yao-ñao-chane. Je fus soudain frappé d’un déjà-vu.Pai ji du misaihame-to. Pour tout te dire, depuis un moment, j’ai une grande envie de manger cet abricot, là-bas.Ji du, gandiade, dama kisur ho me jan oñan-shin-ranxal. Est-ce que tu connais quelqu’un qui croie que les démons existent ?Bu du ogaicha ba fuhitashi ya ho kanlai-losie okalshu ho fugao-fe-nanga ? Apparemment (d’après ce qu’on m’a rapporté), il n’aime pas celui qui a acheté la charrette.Omen, aitsu du asareo ho linjao da kata ho iyayo-lô. Apparemment (d’après ses gestes), il n’aime pas celui qui a acheté la charrette.Aitsu du asareo ho linjao da kata ho iyayo-aun. Est-ce que tu as réussi à arriver à la maison hantée ?Lianbufa-laho naguan li uchu-yao-ñao-fe ? Ce livre est très bien.Da baga du lamar shasha-fu. Ce livre est très bon.Da baga du lamar sha-sha. Ce livre est très bon.Da baga du lamar sha-fu. Cette belle chose qui ressemble à une fleur.Yalya-aun da ruxe mono. La trace est celle d’un éléphant.Da ueza du-pe elu ya du fu. La trace est celle d’un éléphant. (celui qui a fait cette trace est un éléphant)Da ueza ho dwo tsai du elu-fu. C’est un éléphant qui a fait cette trace.Da ueza ho dwo tsai ba elu-fu. C’est un éléphant qui a fait cette trace.Da ueza ho dwo ho, elu ba. C’est un éléphant qui a fait cette trace. (l’auteur de la trace est l’éléphant)Da ueza ya tonin du elu-fu. C’est un éléphant qui a fait cette trace.Elu ba da ueza ho dwo. J’ai perdu ma maison !Naguan ho ushwu-xuwe ! J’ai perdu ma maison (le droit de possession sur ma maison). C’était une belle propriété. Mais elle n’est plus (en) ma possession.Naguan du-pe yu biulin. Ruxe kobada-fu-mi. Ambo, yu ji ya biulina-fu. C’est à toi ?Bu ya ? / bu ya fe ? / bu ya mono-fe ? / bu ya biulina-fu-fe ? / bu ya kobada-fu-fe ? Il y a là un chien exactement comme je le veux. (il y a là le chien, le bon, que je cible)Ji ba poxiq-to me nishiworia-fu paochi du xuay-da fu. Il y a là un chien exactement comme je le veux, comme je l’aime.Ji ba shin-yo zama me nishiworia-fu paochi du xuay-da fu. Cette personne est le meurtrier.Da kata du gatsatonin-fu. Cette personne est un meurtrier.Da shu du gatsatonin-fu. Ces personnes dont on a déjà parlé sont moi et ma sœur.Arda kata du-pe ji yo dada-fu-lô. Cette personne est des nôtres.Da shu du arji ya bar li fu. Chacun d’entre nous à commis une erreur par le passé.So arji fufuan sotai shu du okal yori li chaon-to-lô. Chacun d’entre nous à commis une erreur par le passé. (nous avons individuellement commis, chacun de notre côté)Katage arji du okal yori li chaon-to-lô. Chaque chien veut que je l’alimente.Sotai paochi du ji ba tsai ho oñan-suren ya ho shin-sha. Chaque chien veut que je lui donne de la nourriture. (courant)Sotai paochi du ji ba kuha ho rei ya ho shin-sha. Chaque chien veut que je lui donne de la nourriture.Sotai paochi du shin-sha-tafu, ji ba tsai ho kuha ho rei (ja). Les enfants se courent après. (ils jouent entre eux et courent)Ar zuhin du bir donguay. Les enfants se courent après. (ils jouent entre eux et se suivent)Ar zuhin du bir ipi-to. Les vaches sont trois au total.Swo ge txalne ba dan-fu. Je ne sais rien.Ji du ufun fugao-lô. Dans quel pièce sont les clés ?Zixun ya shaki-la ? Dans quel pièce sont les clés ? (laquelle parmi toutes les pièces)(So shaki fufuan) zixun ho lin shaki dai-la ? Où as-tu dormi ?Bu ba oyu xuay-la ? Au fait, il y a un maître vaudou, à la guilde, qui est très sympa.Oshima, xanshibar li lamar shipa-fu chodama atsir ba fu-lô. Je te forcerai à ne pas vouloir manger.Ji du bu ba yus oñan-shin ja otomo-gura. Je ne sais pas pourquoi, mais il me hait.Bila-la yus fugao, ambo aitsu du ji ho luabi-lô. Je ne sais pas pourquoi, il me hait.Bila-la-lô-tafu, aitsu du ji ho luabi-lô. Il me hais.Aitsu du ji ho luabi. Il me dérange avec ses actions de haine envers moi ! Il est en train de me haïr (de manifester sa haine par des actions, des gestes).Aitsu du ji ho luabi-to-xal-lô. Et zut, et mince, malédiction, et merde, et j’en passe !Cha, xapacha, chabakatoria, mokordo-yo iyoyo-lô ! Il a menti par omission.Aitsu du yokoxoro ge uso-to. C’est un gamin bruyant.(Aitsu du) tulon-to mushak-fu / tulon-to-sha mushak-fu. / tulone mushak-fu Ici, l’herbe était verte, mais à présent ça a changé (ce n’est plus vrai, c’est devenu faux.)Xuay, belar du belka-fu-mi, ambo nongo-tsoa. Je croyais que l’herbe était verte, ici, mais apparemment ce n’est pas le cas. (mais il semble s’avérer que la vérité est différente)Ji du da toki ya belar du belka-fu-mi ja lai-lô-jaga iwoxi du wochao-fu ja aria-to-aun. Je croyais que l’herbe était verte, ici, mais apparemment ce n’est pas le cas. (mais apparemment, c’est différent (sous-entendue la vérité))Ji du da toki ya belar du belka-fu-mi ja lai-lô-jaga wochao-fu-aun. Je croyais que l’herbe était verte, ici, mais il s’avère qu’elle est jaune.Ji du da toki ya belar du belka-fu-mi ja lai-lô-jaga ariatoge shipa-fu. Nos manières de mentir se ressemblent.Arji ba uso ya xolria du una-lô. Le poil laineux du grand matou se percevait agréablement sous mes doigts.Zorki mimao ya polo-una arfisa du ji ya eusa ya shegi li xol-ibarihe zao-suren-mi. Ça produit des sensations, c’est sûr, mais… c’est un tantinet dangereux, non ?Zao-suren-lô-jaga miketa nanfafile-fu-fe-lô. Il reste introuvable. (continue à être dans l’état de « ne se trouve pas »)Aitsu du galdun-sha-ran. Il reste introuvable. (continue à ne pas apparaître, à ne pas faire son apparition) (malheureusement)Aitsu ba xefeze-to ja, xoshad, manara… / aitsu ba xefeze-to ja manara-xoshad. Pas encore ! Attends !Manara-lô ! Shue-xa ! Pas encore ! Je te le dis franchement, tu me gonfles.Yus wosobai ! Bu-bochane, ji ho chanda-lô ! Ce petit jeu des intrigues m’exaspère (m’agace, me gonfle).Da sonpalta ya ña pakuba du ji ho chanda-lô. Tu sais ? Tu m’agaces. Alors, du vent.Fugao-fe ? Chanda. Ja, aise-xa. Ça avait vraiment l’air, mais en fait non.Xoxosite-lô. J’ai vraiment cru qu’il était sourd.Ji du xoxosite aitsu ba luyor-fu-nante. J’aurai juré avoir vu une lumière (un éclat), à l’instant.Mena, xoxosite zaf ho gao-boe. Il était pourtant si convaincu d’avoir vu un fantôme !Aitsu du xoxosite yokofu ho gao-lô-jaga ! Aux premiers abords, il a cru dur comme fer à cette religion, puis il a compris que tout n’était que du vent.Iñuhen li, aitsu du dama odenayar ho janme kanlai-jaga, gose bai li-ge ustu muyuharia-fu ja fuybura-gui. Ce n’est pas le moment (ce n’est pas la chose adéquate (à faire)).Yus sohoso-fu-lô. Quand il pleut averse, c’est impressionnant à voir.Juga-to-xal ya bai li, gao ja sugoy-fu-lô. Quand il pleut averse, c’est impressionnant à voir.Juga-to-xal ya bai du sugoy jixa-fu-lô. Ben, tu avais bien raison.Ma, bu du nishiwo-mi-losie. Rien que penser aux abricots, ça m’a ouvert l’appétit.Ji du, ustu lai-tafu kisur ge, cho apeti-to. Rien que de penser qu’il allait arriver en retard, je fis une moue.Aitsu ba oboncha-fu-gura ja ji du ustu lai dage, mugi-to-mi. Je levai les yeux au ciel.Ji du munmatso-mi. / ji du mun ho mayigi-mi. Lève la tête.Bu ya maira ho mayigi-xa. Ce maladroit exaspérant dénommé Zangsa a encore cassé la porte.Zangsa nano da obarbaxushu du osu ho moyori apur-to. Tu pensais que j’allais te le dire, hein ?Ji ba bu ho il-xao ja lai-di ? Nous sommes venus ici pour vous faire revenir au royaume.Arji du xuay kai-yi bu ho dowuxi li mo kai-suren yaxari. (yi, -yi) J’ai essayé de construire une maison et j’ai fini par construire un palais. (yi-gui peut être omis)Naguan ho buntso-gaora-jaga xolaligo palatyoa yi-gui. (yi, -yi) Je ne voulais pas le dire, mais j’ai fini par le faire. (yi-ñao peut être omis)Ji du yus il-shin-bao-jaga yi-ñao… (yi, -yi) Je l’ai pris, ce crayon que je voulais tant acheter.Ji du bura-yi, ji ba cho linjao-shin da lapitsa ho. Je ne voulais pas le dire, mais, voilà, tu te trompes, là.Ji du yus il-shin-bao-jaga-tafu bu du muyu-tsoa-lô, ao li. Je ne voulais pas le dire, mais tu te trompes, là.Ji du yus il-shin-bao-jaga… bu du muyu-tsoa-lô, ao li. Ce spectacle a été émouvant.Da bargaoga du liyoli-file-fu. Il a beaucoup d’armes, donc il est pleins d’armes.Aitsu du dobya ho afil lin bila, dobya-file-fu. Il a une arme, donc il est armé.Aitsu du dobya ho lin bila, dobya-line-fu. Il n’y a personne qui ferait ça.Tsai ho dwo-nante uzashu-lô. Il n’y a personne qui ferait ça.Tsai ho dwo-nante uzashu-fu-lô. Et si on lançait, par exemple, des pierres dans le lac ou je ne sais pas ?Turka ho goyon-ñu-odo-layusla ja lai-la ? Qu’est-ce que tu veux faire ? —Je ne sais pas, jouer par exemple ?Dwo-shin-la ? —saha, yuña-odo-fe ? Ah, c’était bien, oui.Sie, xal-mi-shien-xie. Héhé, je savais que ça allait te plaire.Xie, bu li runja ja danlai-xie. J’ai été réduit en esclavage ! (j’ai été fait esclave)Ji du chidiunin-laho ! La surface a été lissée.Man du sir-to-suren-laho. Il a peu mangé. Et c’est qu’il s’était servi un gros déjeuner.Aitsu du ustu piska oñan, Eseki ogon pikamin ho wan li pei-mi. Tu voles. Or tu n’as pas d’ailes. Comment est-ce possible ?Bu du don-xal, yagambo lanlan-diu. Usiyae-fu-fe-boe ? Je vous prie de bien m’écouter.Baokatsi-xima-banta. Si tu veux parler de moi, j’ai mangé.Ji du-pe oñan. J’ai mangé.Ji du oñan. Je m’étais mis à balayer la cour grâce à un certain vieux tournesol.Ji du chodama seyi shilya ya xima li nugal ho furasami-ñu-mi. La poule a été mangée. Par qui ? (en bénéfice de qui)Pugpug ba oñan-laho. Shu ya bun li la ? La poule a été mangée. Par qui ? (qui l’a fait)Pugpug ba oñan-laho. Dwo shu-la ? La poule a été mangée. Par qui ? (qui est l’auteur de l’action)Pugpug ba oñan-laho. Tonin-la ? La poule a été mangée. Par qui ? (qui a fait ça)Pugpug ba oñan-laho. Tsai ho dwo shu-la ? Qui l’a fait ?Dwo shu-la ? Je veux savoir combien de temps jusqu’à ce que tu répares ma table rouge.Bu ba ji ya mei benze ho zata tahin bai-tsoa-la ja ji du fugao-shin-lô Je veux savoir combien de temps jusqu’à ce que tu répares ma table rouge.Ji du fugao-shin-tafu, bu ba ji ya mei benze ho zata tahin bai-tsoa-la ? Et il a plongé et fait plaf ! (il a mal plongé, bruyamment)Aitsu du junjo-palaf ! Et il a plongé et fait plaf ! (il a mal plongé, bruyamment)Aitsu du junjo-yo palaf-to ! Il n’y a pas d’autre choix que de partir.umuraku tuanbe. Personne d’autre que toi peut le faire.tsai ho dwo shu du umuraku bu-fu. Je ne voulais dire que ça.Ji ba il-shin ja utsani tsai-fu. Oui… Seulement… j’ai un doute.Sie… Utsani… ji du feyusfe-lô. La lune est belle et grande et blanche et ronde et magnifique.Baobin ba ruxe yo ogon, saal, nuge, kowoi-sha. La lune qui est belle et grande et blanche et ronde et magnifique illumine mon chemin.Ruxe yo ogon, saal, nuge, kowoi-sha baobin ba ji ya pya ho bin-to. Ceci n’est qu’un pseudo-peigne : vu comment il est fait, il ne sert à rien.Mashioa-seu-lô : ai ojoe dage, muda no mono-fu. Ah, c’est moi qui ai fait ça ? (je ne m’en rappelle pas)Ah, ji ba dwo-aifa ? Puisque je n’avais pas de pommes, j’ai mangé un abricot.Lugu-diu-mi dage, kisur ho oñan. Il est dehors de la maison. (à l’extérieur de)Aitsu du naguan sawdan fu. De temps en temps, je lève les yeux au ciel.Ji du baiyobai munmatso-bai. Je jetais de réguliers coups d’œil à travers (vers au-delà de) la fenêtre.Ji du gefon ya xiai wei-li baiyobai zugaoga-to-mi. Je jetais de réguliers coups d’œil à travers (au-delà de) la fenêtre.Ji du gefon ya xiai li baiyobai zugaoga-to-mi. Moi ? Je suis celui que tu as vu hier.Ji ? Bu ba nashi li gao da kata-fu. Je suis.Ji du fu. Je suis ici.Ji du xuay fu. Tu as les clefs ? —Non… Je blague, je les ai sur moi, t’inquiète.Sixun ho banja-fe ? —Yus… Janta, banja-yi-lô, usa-zei-xa. J’aime les plaines. —Moi, les montagnes.Ji du waraba ho zama-lô. —Ji li-du xuashor-yi-lô. J’aime les plaines. —Moi, je les déteste.Ji du waraba ho zama-lô. —Ji li-du chajina-yi-lô. Tu as fais tes devoirs ? —Je les ai faits. —Hum… —Si, je t’assure, je les ai faits.Dwopiga ho dwo-fe ? —Dwo-lô. —Hu… —Eilôy, dwo-yi-lô. Je viens d’Osha et j’aime le lac, et toi ? —Tiens, moi aussi, le deuxième élément (j’aime le lac).Osha-dirnin-fu-yo ganju ho zama-lô, bu du la ? —Cho tamai, ji xoga bi ya kon-yi-lô. Dans la méthode scientifique, nous faisons d’abord une observation, puis formulons une hypothèse, que nous allons vérifier en faisant un test, puis nous verrons si ce test peut être répliqué et, enfin, nous ferons une conclusion sur l’hypothèse.Iwoshaxini ya pixoze du-pe, fa ge, isaisa du xayi-fu, ja-yo arji du moxanria ho simasi-yo pikipe ge iwofei-yi-lô, soreni da pikipe ba ogihate-fu-suren-yao-feyusfe ja sabi-gaora-yo, izar ge, moxanria ya oshima li lomairia ho bokarxil-lô. Il l’a ramassé du sol.Aitsu du noal ge noabura-yi-lô. Il l’a ramassé du sol.Aitsu du noabura-yi-lô. Il a ramassé ça du sol.Aitsu du tsai ho noabura. Ça, du sol. (ramassé, trouvé, phrase en suspens)Tsai ho noal ge. Donne-moi cette boîte.Da xakai ho rei-xa. Prête-moi cette boîte, s’il te plaît.Da xakai ho katsi-xima. Je t’avais demandé de le lui dire…Ji du bu ba aitsu li bonil ja jiro-mi-lô-jaga… Je te comprends.Ji du bu ho fuybura-lô. Et, mon ami, je me demandais, cet homme appelé Zangsa, tu lui as parlé ?Ne, dyig-ixie, ji du lasul-lô-tafu, Zangsa nano da zogo li dilma-fe ? J’ai assez de pommes (comme ça).Lugu ho ushayi lin-lô, ji (du). Tu as assez de pommes (comme ça).Lugu ho ushayi lin-lô, bu (du). Et, mon ami, je me demandais, cet homme appelé Zangsa, tu lui as parlé de mon problème ?Ne, dyig-ixie, ji du lasul-lô-tafu, Zangsa nano da zogo li ji ya oxanchia ya oshima li il-fe ? Il était avec l’Empereur et tout ce qu’il a trouvé à faire c’est de l’insulter… (De toutes les choses qu’il pouvait faire, il a insulté l’empereur)Sototaxo, soar ho chaxil-lô, aitsu… Tu es la plus belle de toutes les fleurs.Bu du sototaxo chai ruxe yalya-fu-lô. Je sais que la maison est entre une auberge et une librairie, mais je ne sais pas lesquelles.Ji du naguan ba oyubasa yo bagabasa erean fu ja fugao-lô-jaga, ardai-la-feyusfe. À part moi, il n’y a personne.Ji xoro, uzashu ba fu-lô. Je suis le seul/il n’y a que moi qui (peut faire telle chose, peut changer la situation…).Umuraku ji-fu. Je suis le seul/Ce n’est que moiUstu ji-fu. C’est tout ce que je voulais dire.Ji ba il-shin ja utsani tsai. Tout ce que je veux dire, c’est que ce n’est pas bien.Ji ba il-shin ja utsani tafu : dug-fu-lasul-lô. Seulement, moi, je pense que…Utsani, ji du lasul-tafu… Moi aussi, je le connais.Ji xoga aitsu ho fugao-lô. Moi aussi, il m’en a donné.Aitsu du ji li xoga rei-yi-lô. Moi aussi, il me regarde.Aitsu du ji xoga gao-lô. Même moi, il me regarde.Aitsu du woso ji ho gao-lô. Avant tout, mangeons.Okaldu nuai, oñan-ar-xa. J’ai l’intention de partir avant quelque chose (sous-entendu, quelque chose de défini que l’on connaît, un événement que l’on a prévu et que l’on veut éviter, etc.).Chodama fu nuai tuanbe-bao-lô. Vive la vérité, à bas le mensonge.Iwo aopa, uso xoro. Vive la liberté, à bas l’esclavage.Chixi aopa, chiorxi xoro. Ah, je m’inquiète…Usa-to-lô… Ah, je m’inquiète pour (quelqu’un)…Bonusa-to-lô… / Usa-to-bon, ji du… Je l’ai fait pour (quelqu’un d’autre, pour toi, pour lui, par pour mon bénéfice propre…).Ji du dwo-bon. Il a dessiné une autruche sur le tableau (pour moi, pour mon plaisir/ pour le plaisir des élèves (deviné dans le contexte))Aitsu du abel li gayaranga ho wapapin-to-bon. L’enfant pleurait. Alors, il lui a chanté une berceuse.Zuhin du zuwe-xal-mi, ja-yo aitsu du oirla ho shai-to-bon. J’ai l’impression de toujours recevoir plus d’amour que je n’en donne.Ji ba pei zahili du rei tsai xotie sobai chai fu-zawun-lô. Tu fais tout pour recevoir, rien pour donner. (Tu fais tout pour le mieux pour recevoir, tout pour le pire pour donner)Bu du pei ja ganba, yagambo rei ja dunba. C’est normal que tu aies échoué : tu as fait mais vraiment tout pour le pire.Bu ba abor-xisho-lô : gabi dunba-fuyoi. Vas-y, fais de ton mieux !Guay, ganba-xa ! Vas-y, fais de ton pire ! (expression : en fait, de ton mieux ; dun.bá)Guay, dunba-xa ! Bonne chance.Amabi. / Amabi-ozir. Je te pardonne.Kahul. / Bu ho kahul. Pardonne-moi !Kahul-xima ! Oups, désolé !Uy, barkatu ! Oups, je suis vraiment désolé ! (désolé, s’il te plaît (pardonne-moi))Uy, barkatu-xima ! Oups, je suis vraiment désolé !Uy, gabi barkatu ! Oups, je suis terriblement désolé !Uy, janme barkatu ! Oups, je suis mais vraiment désolé !Uy, me barkatu ! C’est probable.Selie / Selie-fu. C’est plus que probable.Me selie / Me selie-fu-lô. Ça se pourrait.Layusla. Peut-être.Felafe. Je ne sais pas (entre deux choix).Feyusfe. J’ai perdu une vis.(Ji du) otikusa ho ushwu. Ils sont où, les écrous ?Ar korka du ? / Ar korka du xuay-la ? Tu as mis les écrous ?Ar korka ho ? / Ar korka ho pun-fe ? J’ai monté les étagères.Ji du apalansho ho dancho-suren. Il fait combien de degrés ?Muhul-la ? / Muhul zal-la ? Il fait trente degrés dans la cuisine.Xamiña li dantol muhul-fu-lô. Il n’arrête pas de donner des ordres, dis donc.Aitsu (du) (fezal) xatoxato-lô. Bien sûr que je connaissais la réponse, hé.Nishiworia ho fugao-xisho-xeixei. Ça, c’est ma petite sœur ! Je savais qu’elle allait y arriver, hé !Sasuga daodao ! Baripi ja ji du laxai fugao-xeixei. Sur ce, libre au lecteur de découvrir cette langue construite, avec remerciement et respect (sous-entendu, remerciement venant du locuteur)Ja-yo, lanwonin du da buntsailiaq ho yokaxoro-zaochi-shien-xima ! Sur ce, libre au lecteur de découvrir cette langue construite, avec respect et curiosité (sous entendu le lecteur).Ja-yo, lanwonin du da buntsailiaq ho yokaxoro-xima-nanga ja zaochi. Je désires que tu te sentes libre de prendre des pommes.Bu ba lugu ho bura-zaochi ja rao-lô. Tu désires te sentir libre de prendre des pommes.Bu du lugu ho bura-zaochi ja rao-lô. Il s’est senti libre de partir.Aitsu du tuanbe-zaochi-lô. Qu’il se sente libre de partir.Aitsu ba tuanbe-zaochi pe shasha-lô. C’est un vieil ennemi.Seyi bokin-fu. C’est un vieillard ennemi.Tontse boke-fu. L’ennemi !Bokin-xoy ! On m’a dit que tu étais tombé, c’est vrai ?Bu ba totora-mi ja luwo-jaga iwo-fe ? Il est nulle part (je ne le trouve pas).Aitsu du galdun-lô. Il est parti nulle part (il est toujours ici). (il n’est pas parti ailleurs)Aitsu du tuxuay yus guay-lô. Les démons ne sont nulle part : ils n’existent pas.Ogaicha du okal toki li xoga yus fu, bila-la, yus fuhitashi bila. Personne ne trouva de pommes qui ne fussent pas mauvaises.Dug lugu ho kaitia ja uzashu-fu-mi. Personne ne trouva de pommes qui ne fussent pas mauvaises.Dug lugu ho kaitia ya du uzashu-fu-mi. Personne ne trouva de pommes qui ne fussent pas mauvaises.Dug lugu ho kaitia shu du uzashu-fu-mi. Je ne trouvai aucune pomme qui ne fût mauvaise.Ji ba swo ge kaitia lugu du dug-fu-mi-lô. Ce n’est pas vrai que personne n’ait trouvé de bonnes pommes.Uzashu ba sha lugu ho kaitia-nante yus iwo-fu-lô. Je pensais que personne n’avait trouvé de bonnes pommes, mais je me trompais.Xoxosite uzashu ba sha lugu ho kaitia-jaga. Qui est-ce qu’il a frappé ?Aitsu ba peg shu-la ? Qui est-ce qui l’a frappé ?Aitsu ho peg shu-la ? Qu’est-ce que tu as mis dans la boîte ?Bu ba xakai li pun-la ? Qu’est-ce que tu as mis dans la boîte ?Bu ba xakai li pun okaldu-la ? Lequel veut manger ?Oñan-shin shu dai-la ? Quel chat veut manger ?Oñan-shin mimao dai-la ? Quels chats veulent manger ?Oñan-shin mimao ardai-la ? Pourquoi tu as demandé un gâteau aux cerises ?Bu ba gerekua ya pachel ho jiro-nante bila-la ? Pourquoi tu as demandé un gâteau aux cerises ?Bu ba gerekua ya pachel ho jiro bila-la ? Qui est allé où ?Xuay-la guay shu-la ? Quelqu’un — je me demande bien qui — est allé quelque part — qui sait où — pour faire qui sait quoiOkalshu-layusla du la yaxari xuay-layusla li guay-lô. Qui est allé où pour faire quoi et pourquoi ?Bila-la yo yaxari-la xuay-la guay shu-la ? Qui est-ce qui va où pour faire quoi et pourquoi, hein ?Shu-la-tafu xuay-la yo bila-la yo yaxari-la-di ? Qui est allé ici ?Xuay guay shu-la ? Qu’est-ce que tu as dit ?Il-la ? / Il-la-xima / Barkatu, il-la ? / Bu ba il-la ? / Bu ba il-la-aifa ? Je veux savoir si c’est bon, mauvais ou moyen.Shañam-fe, dug-fe, sufi-fe ja ji du yokaxoro-shin. Je ne sais pas si c’est bon, mauvais ou moyen.Tsai ba shañam-fe, dug-fe, sufi-fe ja ji du feyusfe. Il a couru, tout apeuré. (emphase, xol + ge)Aitsu du xol-ahasi ge donguay. C’est demain/ C’est pour demain.goshi li xal / goshi li xal-gura. L’excursion, c’est la semaine prochaine. (se passe la semaine prochaine, sur une longue durée)Sawzeit du yogoy beldetin li ranxal. Il était en train d’être empoisonné par l’eau ! (c’est terrible)Aitsu du jua bila danga-laho-xal-mi-ansa ! Il est hors de question que je te suive.Bu ho ipi-nante iyayo-ansa. Tu l’as insulté ? (c’est innaceptable si c’est le cas).Aitsu ho chaxil-fe-ansa ? Hors de question.Ansa-lô ! Tu vas continuer à m’insulter ? Bon. C’est inacceptable, je pars.Ji ho chaxil-bao-fe-chane ? Ja, ansa-lô, tuanbe. J’ai démêlé ce qui était emmêlé.Ji du chochomin-fu ya ho dwoxoro. Monter une machine et la faire fonctionner.Aparei ho dancho-suren. Monter une machine et la faire fonctionner.Aparei ho losu-yo dancho-suren. J’ai monté un commerce de légumes. (une seule boutique)Ji du imi ya basa ho losu-lô. J’ai monté un commerce de légumes. (un réseau commercial)Ji du imi ya kibasa ho losu-lô. J’avais faim, alors j’ai mangé une assiette bien remplie, puis j’ai repris la route et, à peine deux heures après, retour à la case départ, j’avais à nouveau faim.Keta-to-mi, yogo sha fili tamawa ho oñan, yogo mo zeituria-to-yo, mena bi fak go, guayxoro-suren-laho-yo moyori ketai-sha-lô. Je cachai mon papier dans une boîte, puis la boîte sous mon lit, puis je fermai la porte à clef et… Je me ravisai et défit tout. (toutes mes actions)Xakai li ji ya sortaf ho yoko-to-mi-yo oe ya tan li xakai ho yi, yogo sixun ge osu ho mife-to-mi… yogo baogombo-mi yo swo ho dwo-xoro-mi. J’ai accidentellement partiellement cassé la partie la plus utile de la clef.Baokuhe ji du sixun ya chai ubil siu ho siun bojo-to. C’est super pratique !Me kartubil-lô ! / Me ubil-lô ! La hache. C’est ce qui s’utilise pour faire ça.Aiskora. Tsai ho dwo yari ubil mono-fu-lô. C’est un homme pragmatique.Aitsu du ubilbozi zogo-fu. L’endroit où j’ai été la semaine dernière était joli.Komie beldetin li ji ba fu da toki du belili-fu-mi. Le temps que je réagisse, l’oiseau était déjà entré.Ji ba totwo da bai li, lanfu du laxai anai-mi. Et voilà comment il se débrouilla : …Aitsu du xanxoro-tsoa xol-la-tafu : La paie annuelle est de quinze pièces d’or.Yixuyi ya tinpe ja tolol tinarin-fu. J’arrive dans une seconde ! (avant d’une seconde, je fais tout pour arriver le plus tôt possible)Ji du fa zifi gona uchu-yoa ! J’arrive dans une seconde ! (laisse-moi un peu de temps, j’arrive)Ji du fa zifi go uchu-yoa ! Décidément, tu n’as pas de chance.Asarahi, bu ba chadenden-lô. Ô mon ami, que je te comprends !Xoya dyig-ixie, janme fuybura-lô ! Ô que je te comprends !Xoya, bu, fuybura-lô. Ah zut, ça aurait été bien !Xaosh, shasha-wanshia-ma ! Ah zut, ça aurait été bien !Xaosh, shasha-wanshia ! Ça serait bien s’il faisait beau.Sha geyi ja shasha-jaga-wanshia. Ah zut, qu’est-ce que ça aurait été bien !Xaosh, me shasha-wanshia ! Ah zut, qu’est-ce que ça aurait été bien…Xaosh, janme shasha-wanshia-ma… Je suis tombée… (sentez de la compassion pour moi, mais c’est pas trop grave, ça va)Ji du totora-xuwe-ma… Si c’est vrai, alors c’est bon.Iwo pe, shasha-lô-jaga. Si c’est vrai, alors c’est bon.Tsaipe, shasha-lô-jaga. J’aurais bien aimé pouvoir te dire adieux, mais je n’ai pas pu, je suis triste, mais bon, ça va.Ji du bu li orasaldi-to-yao-wanshia-jaga-xuwe-ma. Oh que c’est beau !Ruxe-fu-wahan ! Et qu’est-ce que je fais avec ces chaussettes trouées ? Je les jette ?Awa-line da bearditi ge dwo-la-muka ? Yuto-fe ? Euh… Je fais quoi, là ? (avec ça, dans cette affaire, dans cette situation)Eto… dwo-la-muka ? Euh… Honnêtement, je suis perdu, là. (je ne sais plus quoi faire)Eto… gabi muka. J’ai tout perdu ! Je ne sais pas quoi faire.Ji du swo ho ushwu-xuwe ! Omuka-lô. Cela pourrait me sauver.Tsai du-pe ji ho lante-felafe. Cela pourrait bien me sauver.Tsai du-pe ji ho me lante-felafe. Cela m’a peut-être sauvé.Tsai du-pe ji ho felafe lante-lô. Je ne sais pas si cela peut me sauver.Tsai du-pe ji ho lante-yao-feyusfe. Je ne sais pas si cela me sauvera ou me mettra des entraves.Tsai du-pe ji ho lante-gura-fe xan ho pei fe feyusfe. Qui sait si cela pourrait me sauver. (ou autre chose, je doute que cela puisse me sauver, on verra bien)Tsai du-pe ji ho lante-yao-layusla. Qui sait si cela me sauvera ou me mettra des entraves. (ou encore autre chose)Tsai du-pe ji ho lante-gura-layusla xan ho pei-gura-layusla. Irami croyait qu’il rencontrerait Zangsa dans cette rue. (mais il se trompait)Irami du da baur li Zangsa ho dopa-yao-mi-jaga. Irami croyait qu’il avait de bonnes chances de rencontrer Zangsa dans cette rue. (mais il se trompait)Irami du da baur li Zangsa ho solan dopa-yao-mi-jaga. Irami a probablement cru qu’il avait de bonnes chances de rencontrer Zangsa dans cette rue.Osorage, Irami du da baur li Zangsa ho solan dopa-yao-mi. J’ai probablement raison.Ji du selan nishiwo. Il y a deux carottes dans le panier.Nokawa li gupi du bi fu. Il se pourrait que les carottes soient dans le panier.Gupi du-pe, nokawa li fu-felafe. Ha ! Tu cours plus vite que moi, tu dis ? On parie ?Xa ! Bu du ji xotie chai asku-nante ? Soter-fe-chaga ? (/soter ja lai-la-chaga ?) Je parie que tu arriveras en retard. (je ne trouve ça pas bien, démontre-moi que je me trompe)Soterjipe, bu ba oboncha-gura-chaga. Tu dois finir ça pour demain.Bu du goshi li tsai ho dwo-ñao-xalao. Ce travail doit être fini pour demain.Da shoybi du goshi li dwo-ñao-laho-xalao. Ce travail devrait être fini pour demain.Da shoybi du goshi li dwo-ñao-laho-yoma. La vieille dame qui habitait cette maison est partie.Da naguan-gire sekelya du tuanbe. C’est le chat de la maison.Da mimao du-pe gire-fu. L’ours qui habite dans cette montagne est dangereux. (est un danger)da xuashor-gire kartse du nanfa-fu. Les employés de cet atelier travaillent trop.Da taiki-gire ardanfu du dichaime goyka-sowa. Moi pareil/Pareillement.Ji xoga. Le sentiment est mutuel.Biri-lô. Je suis enchanté de te rencontrer. —Le sentiment est mutuel.(Bu li) dopa-xama. —Biri-lô. Enchanté. —Pareillement.Dopa-xama. —Biri-lô. Je compte sur toi. —Moi aussi.Zenzayi-lô. —Biri-lô. Idiot. —C’est mutuel/Je te rends ça.Tubao-lô. —Biri-lô. Idiot. —On est deux.Tubao-lô. —Ja bi-lô. Je suis idiot. —Bienvenue au club.Ji du tubao-fu-boe ! —Bar li faikai-lô. Je compte sur toi : fais ton travail. —D’accord.Zenzayi-xa : xol-arach goyka-to-xa. —Oke. Le verre dont le verre est cassé.Apur-sha duru-anxua xashiwa. Le verre qui est fait en verre et qui est cassé.Apur-sha-iq duru-anxua xashiwa. C’est peut-être quelque chose que je devrais faire.(Ji du) yi-xabao-felafe. C’est peut-être quelque chose que je devrais faire. (plus d’incertitude)Ji du yi-xabao-layusla. Ça fait mal, ça (mais tu as raison, j’ai honte)Gariori-aiga. Ça fait mal, ça (ça vexe)Gariori-aicha. J’ai revu ce chat qui marchait sur la gouttière.Upyutosho li zuguay-xal-mi da mimao ho mo gao-lô. Cette grande boîte que j’avais ramassée et qui était cabossée était fermée à clef.Ji ba noabura-iq bojo-tsoa da ogon xakai du sixun ge mife-sha-mi. Cette grande boîte qui avait été cabossée était fermée à clef.Bojo-tsoa-mi da ogon xakai du sixun ge mife-sha-mi. Je connais quelqu’un qui marche sur les mains.Ji du esku ge zuguay-yao shu ho fugao-lô. Il y a quelqu’un derrière la porte. (je sais probablement qui)Osu guyan chodama shu du fu-lô. Il y a quelqu’un derrière la porte. (je ne sais pas qui)Osu guyan okalshu du fu-lô. Il a fait n’importe quelle chose pour gagner.Aitsu du shampi yari okaldu ho dwo. À l’aide, s’il te plaît ! N’importe qui !Lante-xima ! Okalshu-xoy-xuwe ! Je vois un chat, pas deux.Ji du fa mimao ho gao, yus bi. Il ne se doute de rien.Aitsu du da bai du-pe ufun danlai-lô. Je ne pensais pas qu’il était de cette nature.Aitsu ya xol-da fwo ja yus danlai-lô. Maintenant, cours.Ao li, donguay-xa. Maintenant, il dort.Da bai li, oyu-xal-lô. À ce moment précis, il tomba.Me da bai li, aitsu du totora-mi. À partir de ce moment, je ne te cause plus.Da bai li-ge, bu ho yu dilma-lô ! À partir de ce moment, je ne te cause plus.Da bai li-ge, bu ho yu dilma-chaga ! Je ne savais pas qu’il aimait les pommes à tel point.Ji du aitsu ba lugu ho cho zama ja yus danlai-lô. En fait non, il ne les aime pas tant que ça.Aya, cho zama ja yus lô-jaga. On s’est entre-moqués. (On s’est moqués ensemble, mutuellement)Arji du bir gotasi-lô. Nous nous aimons, c’est mutuel. (emphase)Arji du bir zaya-lô. Nous nous sommes frappés l’un l’autre.Arji du bir pegu-lô. Ils s’aiment, mais, même ainsi, ils se crient dessus (mutuellement)Araitsu du bir zaya xolxoga bir bial. Mes clefs se sont perdues. (on enlève la responsabilité à celui qui les a perdues)Ji ya sixun du ushwu-tsoa. Deux multiplié par trois égal six.Bi bai dan ga tsa. Deux multiplié par trois égal six.Bi bai ge dan non ho kidi ya ba tsa-fu. Tu gères, là !Bu ba botabota-lô ! Il a fini la maison (il l’a vraiment réussie)Aitsu du naguan ho dosho-ñao-botabota. Toutes les fois que je cours, je vois le monde différemment.Ji du donguay ya so yori li, dom ho xol-non gao-lô. Chaque fois que je cours, je vois le monde différemment.Ji du donguay ya sotai bai li, dom ho xol-non gao-lô. Chaque fois que je cours, je vois le monde différemment.Ji du donguay ya sotai yori li, dom ho xol-non gao-lô. Tu as vu ces deux chats noirs qui sont en train de miauler comme des fous ?Bu ba arda bi shoke ya fwo li mawao-to-xal beltsa mimao ho gao-fe ? C’est un beau chat blanc et grand au pelage doux comme la laine.Polo-una arfisa-line ruxe, ogon, saal mimao-fu. Ce chat est couleur soleil.Da mimao du shishi-pa-lô. Lequel tu veux ?Bu ba shin dai-la ? À cet instant précis, il tomba.Me da bai li, aitsu du totora-mi Je finirai par être digne de ta confiance.Bu li doren-foi-gui-lône. Une colline, c’est un peu une montagne.Alkor ja piska xuashor-fu-lô. Euh… tu ne vas pas m’embrasser ici ? (c’est trop embarrassant)Eto… bu du ji ho xuay yus dobanbura-bao-gujo ? Ah ! C’est trop embarrassant.Ah ! Jan gujo. Cette porte est là pour faire jolie. (on ne l’utilise jamais comme porte)Da osu du mik ustu belili-fu-suren yari fu. Il a utilisé (le battant de) la fenêtre pour frapper le voleur. (de manière non conventionnelle, donc)Aitsu du oyobinin ho peg yaxari gefon ho mik shua-to. Où est la maison ?Naguan xuay-la / Naguan du xuay-la ? / Naguan ba fu xuay-la ? Où était la maison ?Naguan ba fu-mi xuay-la ? / Naguan xuay-mi-la ? Où es-tu ?Bu xuay-la ? Où étais-tu ?Bu xuay-mi-la ? / Bu ba fu-mi xuay-la ? Mais où donc étais-tu passé ?Bu ba fu-mi xuay-la-boe ? / Bu xuay-mi-la-boe ? Où étions-nous, hier ?Nashi, arji xuay-mi-la ? / Nashi, arji ba fu-mi xuay-la ? Par où il faut passer ? Par le col entre ces montagnes. (Lit. Quel chemin pour passer ? Celui du col entre ces montagnes.)Puyai yari pya-la ? Arda xuashor erean odaka ya. Qu’est-ce qu’il a dit ? Il a dit ça : bonjour à vous tous.Aitsu du il-la ? Yi-tafu : arbushi. Ton enfant qui a besoin de toi.Bu ho xayi-iq bu ya chuge. La vertu ? C’est quoi ? —Ce que tu n’as pas !Demin ? Okaldu-la ? —Bu ba yus lin ja ! Je ne suis pas intéressé.Yus erese. Je ne suis pas intéressé.Yus erese-fu. Je ne suis pas intéressé.Yus erese-lô. Je ne suis pas intéressé.Yus erese-fu-lô. Ils le font au nom de la sécurité. (en bénéfice de, à cause de)Araitsu du punfi ya bun li otor-to. Ils le font au nom de la sécurité. (prétexte)Araitsu du punfi ya nerbil li otor-to. J’ai perdu.Ushwu / Ushwu-lô / Ushwu-xuwe C’est trop cher. Est-ce que tu peux baisser le prix (le faire moins cher) ?Dichaime guan-fu-lô. (Tsai ho) tantin-suren-yao-xima ? Le toucher est le seul sens qui soit commun à tous les animaux.Shegi ya ki du so bukuxue li umuraku bonwish-laho ki-fu-lô. Par la Vertu Céleste !Fai demin shiwo ! Heureusement, je n’ai pas perdu les clés.Sixun ho yus ushwo-zaye. Heureusement, il n’y a pas trop de monde.Yus ginze-sha-zaye. Eh, Zangsa, tu m’écoutes ?Ne, Zangsa, baokatsi-fe ? Zangsa, je ne te crois pasZangsa-yô, bu ho yus lai-lô Je pense aller manger.Ji du oñan-to-bao. J’ai pensé aller manger.Ji du oñan-to-bao. Je pensais aller manger.Ji du oñan-to-mi-bao. Je pensais que j’avais mangé.Ji du laxai oñan ja lai-mi-lô. Au lieu de penser à son petit frère, il pense à son argent. (Il a tendance à penser)Aitsu du seysey mushiro wan ya tingi li lai-kaolin-lô. Mais Zangsa n’aurait pas été Zangsa, s’il n’avait pas fait quelque chose de plus surprenant encore.Ambo, aitsu du tue chai mahishihe okaldu ya ho yus dwo pe Zangsa-fwo-zei Zangsa-fu-mi-lô. Il trouve toujours à redire. (il critique toujours)Aitsu du sobai farietobozi-fu-lô. Il a trouvé une façon de nous rendre visite.Aitsu du arji ho sirigaosi-to yari yao-to-lô. Oh, regarde les chats. Le noir court plus vite que le gris.Oh, mimao ho gao-xa. Beltsa ya du ziyapa ya xotie chai asku donguay-xal-lô. La fleur est là-bas.Yalya du-pe xuay-dama li fu-lô. La fleur est dedans.Yalya du-pe xuayan fu. La fleur est là dedans.Yalya du-pe xuay-dama li xuayan fu. Ceci est de la nourriture.Tsai du kuha-fu. Celui-ci est un gâteau.Daya du pachel-fu. C’est quoi, ce truc ? C’est une montre.Tsai-la ? Fakorka-fu-lô Ce truc, là, et ce truc, là-bas, c’est beau.Daya du yo damaya du ruxe-fu-lô. Les pêcheurs étaient sur la plage. Soudain, quelqu’un me dit : « viens sur le bateau, on va pêcher ! »Ar xinposhonin du xikiye li fu. Pai, okal kata du ji li il-tafu : Upako ho kanpo-xa, xinpo-to-xao-lô ! Parfois, la vie est pleine de joies ; d’autres fois, elle est pleine de malheurs.Daofu du xama-file-fu-bai xosh-file-fu-bai-lô. La pluie tombe à mon grand dam.Ji ya janme shinkoga ge nari-to-xal-lô. La pluie tombe contre mon gré.Ji shinkoga nari-to-xal-lô. La pluie tombe contre mon intention. (« je » fait tomber la pluie involontairement)Ji ya baokoga ge nari-to-xal-lô. La pluie tombe contre son intention. (la pluie tombe involontairement)Nari du baokoga nari-to-xal-lô. Pour moi, il pleut et c’est désagréable.Ji li, cha nari-to-xal-lô. Je ne suis pas content quand la pluie tombe.Ji du nari-to-xal ya bai li yus shinpin-sha. La pluie qui tombe me dérange.Nari-to-xal nari du ji ho usa-to-suren-lô. La pluie me dérange.Nari du ji ho obarbaxu-to-lô. Ce n’est pas une raison pour faire ça ! —Une raison pour faire quoi ?Tsai ho dwo yari bilaria-fu-zei ! —Dwo-la yari bilaria-fu-nante ? Mais de quel endroit tu parles, toi ?Bu ba ranil-xal toki-nante fu-la-fuyoi ? Il a travaillé un peu.Aitsu du piska goyka-to. Il a peu travaillé. (pas beaucoup)Aitsu du yus jan goyka-to. À moins d’avoir une autorisation à cet effet, entrer est complètement impossible.Umuraku arach biu ho lin pe, anai ba me usiyae-fu-lô. Il mange avec nous tous les mois à la même date.Aitsu du iraga aldia li sotai baobin ge arji tie oñan-sowa. J’ai compris à quel moment le chat a pu entrer.Mimao ba anai-yao bai ja ji du fugao. J’ai compris au moment où le chat a enfin pu entrer.Mimao ba anai-yao ya bai li ji du fugao-lô. Ce n’est pas la peine de demander, je suppose.Fepusie, irmen ja yus xayi. Tu n’as qu’à suivre le chemin sur ta droite.Ja, domoan pya ho ipi ja ustu dwo-xayi-lô. Tu me tiendras au courant, n’est-ce pas ?Fugao-suren-xima-di ? Je n’y croyais pas, mais il est vraiment venu.Yus danlai-lô-jaga, aitsu du kai-da. Eh, tu n’as pas fermé la porte, je parie. —Si, je l’ai fermée (fait).Soterjipe, osu ho mife-to ja yus dwo-di. —Yi-da. Tu ne peux pas. —Si, je peux !Yus yao-lô. —Yao-da ! J’ai vraiment pas de chance, alors…Chadenden-da, ji du. Déjà, quoi ?Laxai-la ? Déjà ?Laxai-fe ? Ça s’est passé quand tu avais fini de manger ?Bu ba oñan-ñao ya bai li xal-fe ? Après ça, je suis venu. —Depuis ta maison ?Oxek, kai-lô. —Gi li-ge fe ? Quand j’aurai le temps, je passerai chez toi.Chi-fu ya bai li bu ya gi li kai-tsoa-gura-da. Comparés aux tiens, mes cheveux ne sont pas moins longs.Ji ya arfisa du bu ya xotie yuzu rane-fu-lô. Il n’empêche que les voitures ne sont pas moins dangereuses que les lions.Mugarlia, atasar du lion xotie yuzu nanfa-file-fu-lô. Il n’en a pas moins été viré.Yuzu chipach-laho-lô. Tu n’as pas mangé. —Non, je n’avais pas le temps, et puis je n’avais pas faim.Bu du yus oñan-lô. —Axa, yus chi dage, soreni yus keta dage. Je n’ai pas le temps pour faire ça !Tsai ho dwo ja yus chi-lô ! Je ne suis pas libre pour faire ça !Tsai ho dwo ja yus chi-lô ! Je n’ai pas le temps pour faire ça ! (insiste)Tsai ho dwo ja yus chi-lô, bai ya ishawoda-fu-lô ! À propos de la maison, il veut la vendre.Naguan ya oshima li, aitsu du xaozan-bao-lô. C’est à propos de la maison… (c’est l’affaire, le fait de la maison).Naguan ya oshima-fu-jaga… Il a cassé la fenêtre ! —La fenêtre, hein… Alors, c’est lui, le coupable.Gefon ho apur-to-lô ! —Gefon-fe-di. Il a dit qu’il venait. —C’est bizarre qu’il vienne.Aitsu ba kai ja il. —Kai-nante saranga-fu-lô. Il a dit qu’il venait. —Il vient, tu dis… c’est bizarre.Aitsu ba kai ja il. —Kai-fe-di… Saranga-fu-lô. Alors comme ça (au bout du compte), tu t’es fâché avec lui ? (résumé de ce que son interlocuteur lui a dit)Aitsu li tomen-to-fe-di ? Alors comme ça, tu t’es fâché avec lui ? (rapport de rumeurs)Omen, bu du aitsu li tomen-to-fe ? À part partir, il n’y a rien à faire.Tuanbe xoro, pyafunfu.

21.8 Phrases en anglais

We stopped looking for monsters under our beds when we realised they were inside of us.Arji du oe ya tan li fu moaqdak ho shukin-ortoy-mi, bila-la, da xal li, artsai ba arji xuayan fu ja baopun-to-mi bila./ˈar.d͡ʒi du o.ˈe ya tan li fu mo.aŋ.ˈdak o ʃu.ˈkin or.ˈtoʝ mi ˈbi.la la da xal li ˈar.tsaʝ ba ˈar.d͡ʒi xwa.ˈʝan fu d͡ʒa baw.ˈpun to mi bi.ˈla./We, (theme), bed, under, be, monster, (object), search, stop, (past), why, then, those, (sub-theme), we, inside, be, (about the fact), realize, (ponctuality), (past), because. In his early youth, while he was still minding his herds on the rich pastures of Mount Ida, Paris received a visit from the goddesses of Mount Olympus.Zuayulenyi li, Paris du Idashor ya asiki li ai ar tar ho manara zen-ranxal ya bai li, Olympushor ya odendye li sirigaosi ho pei-to-mi. Birds sing.Lanfu du shai-xushi. A bird is singing.Lanfu du shai-xal. A bird has sung.Lanfu du shai. Children are playing together.Ar zuhin du barge yuña-xal. Children play. (And it’s better this way)Ar zuhin du yuña-xushi. Children play. (And it’s natural)Ar zuhin du yuña-xisho. A dog is barking.Paochi du bowai-xal-lô. Bees are humming.Oazigai du buzubuzu-to-xal. The baby laughed.Nene du xamasi-to-mi. The sun is shining.Shishi du bin-to-xal. / Shishi du shi-to-xal. / Shi-to-xal. / Shishi-to-xal. The wind has blown.Aise-to. The car started.Atasar du alka-laho-mi. (passive) / Atasar du dancho-ñu-mi. School began again.Guldiyi du moyori iñu-mi. The child ran quickly.Zuhin du asku donguay-mi. Yellow daffodils nodded gaily.Shipa dafodila du xol-xama fagu-tsoa-mi. Little Marigold cried bitterly.Marigold nano zulya du xol-agabora zuwe-mi. All the people shouted.So shushu du kial-mi. I recited twice. (solemnly, we don’t specify whether once then twice or just twice, but the locution “banta mo il” means to “repeat solemnly”)Ji du bi ge banta mo il-mi. I recited twice. (a poem, a text)Ji du xol-wo lanwo-mi. I recited twice. (by heart, pejoratif)Ji du bulchak-mi-lô. The weary traveler slept soundly.Xarcha-tsoa-sha zeyeret du dondon oyu-mi. The little brook flows swiftly.Zuhuya du asku suay-xal. He was there just a minute ago.Aitsu du-pe utsani fa fun nuai xuay fu-lô. Softly the great white snowflakes fell.Ar ogon, saal sayarul du lei ge totora-mi. The kind old man laughed pleasantly.Baotsue seyi shogo du xol-tsulye xamasi-to-mi. The happy days passed quickly.Xama-file ar shi du asku puyai-mi. / Xama-file ar shi du dontoyari-mi. Up jumped the smallest boy.(Sototaxo) chai zu chumon du ma wei buba-mi. My little white kitten purrs softly.Ji ya saal mimaochu du xol-lei ororon-to-xal. Slowly the great door opened.Ogon osu du xol-pitaipize anur-to-mi. All the boys ran away.So chumon du tuwei-to-mi. There are decades where nothing happens ; and there are weeks where decades happen.Ufun ba xal ar tolyi du fu, soreni ar tolyi ba xal ar beldetin du fu. Nothing travels faster than the speed of light with the possible exception of bad news, which obeys its own special laws.Shi xotie chai asku fu du ufun-fu-yi ustu okal iyahin zanxal-fu-felafe bila-la, tsai du intu shehei ho yama-to bila lô. In anything at all, perfection is finally attained not when there is no longer anything to add, but when there is no longer anything to take away.Okal ayoria li, sabelen ba atalura-tsoa ya bai du-pe yus chayi-xalao-zei ya bai-fu, mushiro zunyi-xalao-zei ya bai-fu-lô. XXX You sure grew old.Bu, bumabura-lô. I broke it with my own hands.Ji du wan ya esku ge tsai ho apur-to-mi. I broke it with my own hands.Wan ya esku ge apur-to-mi-lô. Do your children know about it ?Bu ya chuge du tsai ho fugao-fe ? Do your children know about it ?Bu ya chuge du mura-to-fe ? Do your children know how to write ?Bu ya chuge du pin-to-yao-fe ? Do your children already know how to write ? For real ?Bu ya chuge du laxai pin-to-yao-fe-boe ? You and I went (have gone) to a shop. (together)Ji tie bu du basa li guay. You and I went (have gone) to a shop. (together)Barge ji tie bu du basa li guay. You and I went to a shop. (both separately)Katage ji yo bu du basa li guay. I went to a shop, then you went later. (then you)Ji du basa li guay, yogo bu. I went to a shop, then you went later. (then you did the same, in the same shop)Ji du basa li guay, yogo bu du yi. I went to a shop, then you went later. (then you did the same, not necessarily in the same shop)Ji du basa li guay, yogo bu du dwo. I thought you were here (but I saw you weren’t.Bu ba xoxosite xuay fu ja lai-jaga… It really looks like it, but it isn’t.Xoxosite-lô. I really thought he was deaf.Ji du aitsu ba xoxosite luyor-fu-nante. I’d swear I just saw a light over there. (but thinking it twice, it doesn’t seem like plausible)Xuay-da wei li, xoxosite zaf ho gao-mena-boe. Yet he was so sure he had seen a ghost !Aitsu du xoxosite yokofu ho gao-lô-jaga ! At first, he believed wholeheartedly in that religion, but then he understood that everything had been a scam.Iñuhen li, aitsu du dama odenayar ho janme kanlai-jaga, gose bai li-ge ustu muyuharia-fu ja fuybura-gui. It’s not exactly the time (for that).Yus sohoso-fu-lô. Shout, when you’re at it. (ironic)Sohoso ge kial-xa pe iraga-nante. Shout, when you’re at it. (ironic)Sohoso ge kial-xa-nante. They asked me the receipt.Araitsu du ji li tindi ho jiro. You’d spend better your time sleeping. (That you sleep is befitting, (so you should))Bu ba oyu-to ja xushi. I think you’d spend better your time if you slept. (Instead of wasting time, it’s better that you sleep, I think).Bu ba bai ho kur-to ya otso li, oyu-to ja xushi ja lai-lô, ji du. I may stop soon et maybe take a nap instead.Zugozugo ortoy-felafe-yo, otso, amayu-to-felafe. I saw him naked as the day he was born.Ji du pexoge fuñu-mena aitsu ya isikama sarabeg ho gao-lô. The telephone rang again.Telefon du mo rin-to. Down came the rain.Nari du totora-to (/tanwei-to). Once, the dragons fought here.Boke yori li, bar ozei du xuay lyogo-mi. The happy children shouted joyously.Xama-file ar zuhin du xol-shinpin kial-to-mi. The frightened horse plunged wildly.Ahia-to beo du porapora dontoyari-mi. Soon the rain stopped.Zubai go nari-to-ortoy-mi. The girls answered quickly.Zulya du asku totwil-mi. The oldest boy spoke carefully. (because of mistrust)Chai buma chumon du xol-furese il-mi-tafu… The oldest boy spoke carefully. (because he wants to speak clearly)Chai buma chumon du xol-punfaibozi il-mi-tafu… Slowly, she looked around.Xol-pitaipize, kelya du gerige shagao-mi. Carefully, she looked around.Fush ge, kelya du gerige shagao-mi. Where would you like to go ?(Bu ba) guay-shin xuay-la ? Do you have any spare gloves, please ?Chi bionala ho banja-fe-xima ?

21.9 Expressions

Il sourit tous les trente-six du mois. (il sourit quand il neige en été.)Aitsu ba amiyi li saya-fu ge xamasi-bai. Qu’est-ce qui se passe ?Ishawoda-xal-la ? C’est du matériel qui pue. (locution : c’est à jeter à la poubelle, pas touche, il ne faut pas s’en approcher)Xuafu xua-fu. Tu te crois tout permis ? Tu te crois où ?Bu-shama fu-la ? Il est bon de bouger.Suay, guay, buay ba tsue. Appeler un chat un chat.Mimao pe mimao-fu ja il. Cela me va comme un gant.Daya du ji li muneregia. Cela vient à point / Cela me convient.Munere-to. Après la pluie, le beau tempsNari go sha geyi. (Il est arrivé) au bout de son rouleau.(Aitsu du) soka dien uchu. On est au bout du tunnel.Wapyawa dien fu. Au pied de la lettre. (littéralement, s’en tenir au fond)Kutikuti. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.Shiorshu ya dowuxi li, famunshu du dowu-fu-lô. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.Fuen ya utor li fa kits ho shukin ja iraga fu-lô. Avoir la chair de poule.Pugpug ya niki ho lin. Avoir la grosse tête.Mairagon-fu. Être bavard comme une pie.Pifu xogal ilikae-fu. Être bavard comme une pie. (plus lourd)Pifu xotie ilikae-fu-aun-lô. Parler/Écrire comme un pied.Bei tie behil/pin-to. Bailler aux corneilles. (rêvasser)Uyamuyam-to. C’est du gâteau. (c’est un sourire)Wixijaq. C’est en forgeant qu’on devient forgeron.Dechexanshu li otsoa ja deche-to niren fu. Avoir du pain sur la planche. (J’ai une toiture à monter.)(Ji du) ingaboti ho losu-xabao-lô. Casser les pieds à quelqu’un. (énerver, gaver)Xashafasur. De fil en aiguille. (au fur et à mesure, progressivement)Pitaipi ; xol-aneseke Vraiment, sérieusement, réellement (faire…) ; Sérieusement ? Vraiment ? Réellement ? (locution)Gabi, xol-iwo, gandi ge ? Débarrasse-moi le plancher. (mets du vent sous ton aile/ du vent)Oal ho aise-to-suren-xa. / aise-xa. On n’est pas sortis de l’auberge. (nous ne sommes pas sortis du poulailler)Pugpugxuay ge yus mufo-iroi-lô. Je suspecte, car c’est très louche.Lamar ogare, damar. Vouloir une ville et la suivante (tout vouloir).Shino ho shin-yo yogoy ho. Si j’en apprends davantage, je te tiens au courant. (je te le fais savoir, en être conscient, locution)Chai fugao pe, fugao-suren. Tout est allé comme sur des roulettes. (Tout s’est bien passé et facilement) (Lit. tout s’est passé de manière lisse)(So ba) sir ge xal-xama. Ça m’arrive/ça arrive, de temps en temps (très peu de fois). (Lit. de manière très irrégulière, comme ça, je/on trébuche)Tamatama xol-da tamara. Courir de tous les côtés.Dienrinlige donguay / so dien ge donguay Ça dépend du contexte. (aussi : il ne faut pas généraliser)Ishawoda ya ishawoda-fu. N’importe quelle brebis a quelques poils noirs. (tout le monde n’est pas parfait.)Okal pula du are beltsa fisa ho lin-lô. Baisser les yeux vers les pitoyables. (regarder de haut les malheureux)Gawgashashu wei gawiro-cha. Arriver toujours plus tôt qu’un escargot.Sobai maxaski xotie xaskin uchu. Dans une telle situation, il ferait l’autruche. (mis dans une situation pénible, se refuser à voir la réalité)Yorayange, gayaranga-to. Déjà tous les bijoux, ensuite la maison ? (il faut qu’on lui donne tout ? On veut tout me prendre ?)Laxai so alaxa, yogo naguan-fe-bochane ? Avoir des pierres dans la cuisinière (ne pas avoir de quoi manger, être pauvre).Xamintorka li turka ho lin. Ça m’arrive (ça me prend), de temps en temps (très peu de fois).Tamatama xol-da tamara. Nul n’est censé ignorer les lois de la nature. (n’importe qui, à propos de ce qui est selon les lois de la nature, ne doit aller à contre-courant par ignorance.)Okalshu du lalaen ya serbilairia ge xisho du-pe yus bawgai-to-xalao. Sois heureux. (je te souhaite d’être heureux, locution)Fai-ozir. Regarder les pâquerettes (détourner les yeux à cause de la gêne, de l’embarras ; faire comprendre que l’on ne veut rien avoir à voir avec quelque chose)Beyorita ho gao. Mange de l’ail, et tu feras moins de bêtises. (occupe-toi à des tâches utiles au lieu de faire des bêtises)Baratso mushiro baratsaal ho oñan-xa. Sans bêtises, de l’ail. (occupe-toi à faire des choses utiles au lieu de faire des bêtises)Baratsaria-diu ge, baratsaal. Voilà, j’ai fini ! (de manger, etc.) (locution)Ñaomao ! Les plaines sont vastes. (sous-entendu : va-t’en et laisse-moi tranquille OU les possibilités positives sont nombreuses si tu décides de changer.)Waraba du ginpe-fu-lô. Il faut bien repasser les nuages de temps en temps. (il faut bien faire des choses inutiles pour la forme, faire des efforts même si le résultat est vain ou mauvais.)Suan ho sir-fu-suren-bai-xushi-lô. Parfait, c’est bon !Sohoso-sohoso ! Le pouvoir absolu corrompt de manière absolue.Soge xara ba xol-soge daoguechasu. On n’y voit rien.Cha dug gao-lô. Réfléchis avant d’aborder (un sujet, une action, une personne).Dilma nuai milma-xa. C’est un bol de haine (c’est quelqu’un qui hait beaucoup)Luabo ya lua-lô Le jeune homme qui n’est pas encore un homme reçoit (la création de l’homme centenaire, par la loi de la nature). (expression très souvent abrégée) (sens : il est du devoir des anciens de transmettre leurs connaissances aux jeunes)Shogo manara yushogo du (shor buma shogo ya doshoria ho) rirei-laho-xabao-xisho. (pei-xabao-xisho) Donne des malheurs, tu recevras des malheurs.Xosh ho rei, xosh ho pei. Mendie à un mendiant, (attends-toi à) cent ans de tourments.Eshuin li eshui ja-yo xosh ya shor yixu ho sasu-xushi. Faire un tableau parfait (une image, une scène, une représentation parfaite)Sabel abel-lô. Gare à l’ours frustré. (si tu lui cherches noise, fais attention, même s’il n’a pas l’air bien méchant au début, il peut se venger)Ikar kartse ho fush-xoy.

21.10 Suan-ozir (Asuhairyo) (Ode au Nuage)

(Traduction littérale)

Nuage qui court de tous les côtés, au soleil
sourit, espiègle et reconnaissant, et, tel un papillon,
virevolte, ô création digne d’admiration !

Dienrinlige donguay-xal suan du shishi ho
wixi-to-shien-xeiye-yo langia xogal
nugeguru-to-xal, wojae sho fu-lô !

21.11 Poème de Zou-Sha, du chapitre « Une leçon de logique »

Ô ciel de mon cœur, j’entends
Ton bleu d’azur qui nage
Entre les blancs nuages.
Ô ciel de ma vie, je vois
Ton doux murmure éclatant
Qui danse dans le vent.

Xoya fael, ji ya isha ya fael !
Ji du losie luwo-yi,
Saal ya suan fufuan bu ya
Juay-xal syun feye gie ho.
Xoya ! Ji ya daofu ya fael !
Ji du losie gao-shien-yi,
Aise li yoibi-xal lei saus ya ho.

21.12 Poème du Raconteur Impertinent

Vérité, Vérité !
Enterrée sous
Le firmament,
Étoile d’ombres
Qui ne ment…
Cours-lui après
Pour l’embrasser.

Iwoen, iwoen !
Faelko tan,
Xuatanyoko-laho
Usaria-diu
Shijoe ya woshi…
Tsai ho ipi-xa,
Dobanbura yari.

21.13 Poème de Shahouza

Clapotis des vagues au bord du Lac Étoilé,
Battements d’un cœur bercé de paix.

Zazobe ya kolapi, woshi ya ganju dien,
Xewa ge soduay isha ya pulon, pulon…

21.14 Poème du Cantique des Mendiants

Mougoum, disait… Mougoum !
J’ai ce que je tiens,
Et rien de plus.

Mugum ba il-mi-lô-tafu ! Mugum !
Banja damaya ho lin
Chaipun pe bechaitatsi.

21.15 Extrait du chapitre « Une leçon de logique »

Bah, tu sais bien que je suis en train de lui faire une leçon de logique.

Ba, bu du fugao-fe-yane-yi, ji ba aitsu li niwa guldaria ho rere-xal-lô.

Cousine, si tu ne comprends pas l’expérience que je t’ai montrée, c’est normal.

Wukda-yô, ji ba tatsu-mena urabashi ho yus fuybura pe, xisho-lô.

En fait, je pars du principe que le Démon des Trous est là et j’écarte d’emblée toute autre cause possible.

Xal-tafu, ji du Awa ya Ogaicha ba xuay-da fu kolaioxa ge kombura-yo okal iyae moxan ho aonago xoro.

Je ne trouve que des explications qui m’arrangent, sans définir une méthode rigoureuse capable de réfuter ma supposition.

Kartubil bilailria ho umuraku bura-yo ji ya moxan ho xol-iroye wochao-to-yao pixoze ho fuyrere-yushana, tsai ho pikipen-ñu.

Ayaïpa était restée le bec ouvert d’ahurissement.

Laitazawe Ayaipa du bikowahan-to-mi.

Cousin ! Mais c’est franchement idiot, cette façon de faire.

Wukji ! Da xol ja mechame tubao-fu-jaga-yone.

21.16 Contes

21.16.1 Semon yo zaixifu (Aisopos) ; le vieillard et la Mort (Ésope)

Chodama shi, chodama semon du tota ho bitso go uyel-to-mi.

Aitsu ya igata du laxai ran-fu-mi. Cho zuguay bila bexeche-tsoa-yo gareria ho neke-yo Zaixifu ho soma-to-mi. Ja, da kata du xefeze-yo soma-to-laho bila-la ja irmen-mi. Semon du totwil-mi-tafu :

— « Xisho, tota ho gare-jukapei bila… »

Niwailia : yomanuma, kixe-shin ya du wan ya aga xotie chai edel-fu.

21.16.2 Beo yo zumbo (Aisopos) ; le cheval et l’âne (Ésope)

Chodama zogo du fa beo yo fa zumbo ho lin-mi. Bi tsai ba shino li pya-to-xal ya chodama shi li, zombo-san du bexeche zao-tsoa dage, beo li il-mi-tafu :

— « Omoxi ji ya kixua du bu li xarei pe, ji ya gareria ya siu ho bura-xa-xushi. »

Ambo, beo-shama du luyor ho perte-to ge, zooy-to-mi-wô, yogo zumbo-san du bexeche-fu ya li yao-laho-yo me da toki li zai-mi.

Ariago, xarnin du gareria du-pe swo ho beo ya ma li pun-mi, woso zumbo ya sheg ho. Yo, beo-san du surazi-tafu :

— « Cho chadenden-lô ! Ji ba zu gareria ho yus bura-shin bila, ao li so mono ho gare-xalao-xuwe, woso zumbo ya sheg ho ! »

Niwailia : bu li xol-mushan jiro-to okalshu ba yus jukapei ya sotai bai li, bu du yus fugao-layusla, xolxoga, gandiade, bubu ho romaji-to-lô.

21.17 Simraz ya zuruxu (L’Espion de Simraz)

21.17.1 Ushwu xarons

Suhupe pisatu-yo alje beltsa mun-yo dinowixi ho lin ge, Rinan du koye-to-mi, ai esku ba zam ya pino ya ma li fu-shana-yo, ji li kai-to-mi-yo, arji goan fu-mi taosho wei munmatso-mi. Tsai ya seiga-sha bisatu dage, okalshu du xoxosite tsai ba foraki-fu-jaga, arji ya fugaoria omen yus fu-mi-lô. Yo, Rinan gawiro-yo axem-to-mi.

— « Tsai ho kaitia-nante yus zumizu-lô. Owanshia, aitsu du xuay fu-yane. »

Ji du erozoe-to-mi.

— « Da kata du yus fu pe gabi rixad-lô, yochai arji ba nuguay-to-to go. Ma, ji du-pe bu ho aitsu li il-chi-lô. Pejye-nante, furul, ji ya xanshiria-fu-zei. »

— « Pef » ja biai Rinan du zon-to. « Pejye-nante-boe. Yomanuma, pejye du miza li yus baibuay-fuyoi ! Arpixue ba xefeze-to ja chai selie-fu-lô. »

Ji du zuwixi-to-mi.

— « Omoxi mubibiri-fu-fe-lô. Ja, kyoke-fe-tafu : xol-xao arji du anai-to, aitsu ho soma-to-yo bu ba dilma. Soterjipe, aitsu ho milaushil ja yus oxanchia-fu-gura : da toki ho tuanbe ja yus janme ichake-fu-lô. Ugayago, ai muma ho chatiku-to-xao-yo aitsu ho pai gare-to-nante-lô, » ja ji du chista-mi.

Rinan du dercha-to-mi.

— « Ma, sogarila, ufun alfaiq-to-lô. »

— « Amabige, tsaipe, bu ya alfaiq du muda-fu-jaga » ja chodama duan du rin-to-mi, arji ya domo li-ge.

Ji yo Rinan du wan ge argei-to zam ho dirxoro-xao-mi-yo… gaoga ho turkatu-mi, laitazawe ge. Arji li dilma-mena tsai du yokofu-fu-mi-boe ! Aya, ma, janme xol-da fu-aun-jaga-lô. Taosho ya ux li kufafile ar zuybo fufuan, leide ya zon-anxua solaiju du lada-to-mi. Cho bisatu du kainda ahia-to-suren, ambo aitsu du torazi ya pejye xogal ruxe-fu-mi. Arpixue-nante yus fu-mi.

Ji du da cha Ralkus-shama nano seyi Seinilxanshu ya ilia ho iyi ge minma-to-mi-yo-tafu : “Okal toki li fu aitsu ho shukin-to-xa-yo ji li reibura-xa"”, ja da kata ba il-mi. Yo, bun-diu ge shukin-xal-sha ya fa baobin go arji du Feye Miza ya gina li chodama taosho li yoko-xal-sha da shiwo-to kata ho kaitia-gui-mi. Ambo, yokofu ho reibura-nante xol-la-yoma-fuyoi ? Soreni, aitsu du gandi ge nishiworia-fu-mi-fe ? Rinan du ji xogal asahame-fu-mi. Da xal li, ji du maira ho fagu-to-mi.

— « Ganma-to-suren-xima-jaga, moxange bu-san du yus… Uli Pejye-fu-fe ? » ja ji du il-mi.

Yokofu ho gao-nante dodonbai ji ya me fa bai-fu-mi-lô, yogo gandiade, ji du cho tsai ba fuhitashi-losie-nante yus danlai-lô. Nunla-sha ji du mo fa bai ge maira ho fagu-to-mi. Ralkus-shama du ji tie baji ho guayoxar-to-tafu : misan-sha xua li galdun pejye ho kaitia-xa ja… Owanshia, me da bai li, ji ya xogal ai mun du tsai ho gao-xal-mi pe !

Yokofu du wixi-to-mi.

— « Uli pejye-fu, xisho. Dodonbai li-ge. Ayo-la, bi yushogo ? Xol-mushan, ji du sirigaosi-to-laho ja dopabaido-tafu, eto… xie, afil yixu li-ge lô. Aya, uso, komie beldetin li, kuarnin du me koyan puyai-mi-jaga ji ho gao-mena xol-donguay tuanbe, bila-la-lô » ja chista-mi. Arji du yus totwil dadage, aitsu du sayaka ho churu-shana arji ho shagao-mi. « Xol-sha-la ? »

Orinshila Rinan du sietuay-mi. Ji du surazi-to-mi.

— « Yus fuybura-lô. Are yixu nuai, bu du kixe-ran-mi-jaga. Yomanuma… iya, ji du mapua-to ge xoxosite… »

— « Ji ba wosobai kixe-ran ja lai-di ? » Aitsu du wixi-to-mi. « Ah ! Fugao-xa-lô-tafu, iwo-sha-ran. Ma, uwei-lô. Xal-tafu, da cha taosho du ji ya sarabeg ho xoro. Iñuhen li, arbu ba uchu ya bai li, ji du tsai ho gao-yo ji xogal arbu ba yokofu li otsoa yaxari arbu ho anai-chi-xushi ja » yo yukelya du so iñe ho tatsu ge wixi-to-mi, « ambo, gandiade, ji ya gawga orsha shinkoga, lilye-to-ran-lô. Dabilage, bu ba dodonbai yus sha dowu li otsoa-gura ja aipawe du ji li il-sowa-mi. »

Rinan du ziriziri-to-mi.

— « Koyben dowu du tsai ho ? »

— « Xie. Sie, » ja oburun pejye du sietuay-mi. « Jaga, tao bai li-ge swo ba nao-lô. Fepusie, arbu du aipawe ya nuhe noma-fu-fe-lô. Akareadirnin-fu-fe-lô ? » ja eilôy-to-mi.

Omeze-sha ji du maira ge sietuay-mi. Me da xal li, arji ba biril-xal shu du ushwu dowuxi ya pejye-fu yochai yokofu li otsoa-mi-boe ! Yao-zei.

— « Sie. Gandiade, Akarea du yus fu-ran-lô, » ja ji du finzi-to-mi.

Pai xolaligo, Uli pejye du mumawahan-sha-ranfu-mi.

— « La, Akarea ba yus fu-ran ja fuy-la ? Ja… arda cha burkastonin du ji ya aipawe ho gatsa-to ya mama li, yochai, dowuxi ho xoroga-to ja fuy-fe ? »

Yokofu ya bisatu shinkoga, ai oshok aurupa ba alje-fu-mi.

— « Ustu nano ba otso-to-laho, » ja ji du aitsu ho orzuye-bao-mi. « Noma du-pe kixe-ran. » Ai feye mun li azawi ho zao-yo zutai-to-mi : « Ao li, Raolab nano-to. »

Yokofu du xol-rixad dercha-to-mi.

— « Cho nano-nante kainda… » ja baopun-suren-gui-mi.

Rinan du ahia ho gombo-aun-yo bila-la, da xal li pufufu-to-mi bila.

— « Nishiwo, pejye. Fo du Raolab-fu-yi, so odenki ho shehei-to-xal da oden-lô, » ja bilail-mi. « Bu ya xoyafali ho shasha fuybura-lô. Akarea ya tanriga go, otsoaria ba afil fu. Yogo, ma, arji du xuay kai-yi, bu ho dowuxi li mo kai-suren. Omen, bu du wan tuqmawa ya guino kixeranfushu-fu-yo… »

Uli pejye ya xamasi ya pai du il ja yonxaka-to-mi.

— « Kixeranfushu-boe ? » ja yukelya du mo il-mi. « Rao-lô-jaga, shagao-xa, gao-fe-yi, ji ya bisatu ho ? » ja aitsu du irmen-mi-yo, shana ge, zupizupi shi-to-sha yo amiwe xua ya ma li pihai-mi.

Aitsu du shijoe li yu fu ya bai li, ji ba ziri ho parapa-to-mi. Shi ya tan li pexoge usgaoyae-fu-mi.

— « Cha dug gao-lô, » ja Rinan du garachil-mi.

— « Mitome-lô, » ja ji du il-mi. « Ma, baji du arji ya shoybi ho bilail-lô-yi bu ho dowuxi li mo kai-suren ya… »

Rinan-dire atsas ya pai du ji ya ilia ho bitso-mi.

— « Dwo-chi-xa, » ja ji li susu-to-mi-yo maira ho mayigi-to-mi. « Aipeze, xal-tafu. Akarea du yus fu-ran-jaga Raolab du bu ho xayi. Dowu… Usnishihin-fu dowu du » ja axem-to-mi-yo ipi-to-mi, « le baobin nuai zai-lô. Tuqturshu ba uza-fu, soreni, kolaioxa ge, xarons li fei-tsoa-biupei shu du ustu Ar Ushwu Juyima-dire chodama selguzi-fu-lô-jaga, omen, da kata du dodonbai galdun, bila-la, arji ya shukinria du swo ge muda-fu-mi-lô. »

Ai usoria dage, ji du mun ho gugu-suren-mi. Are baobin nuai, ji tie Rinan du chodama Sarishal nano da tuqturshu ho iyi ge shukin yari tuanbe-mi-yo fugao-to-tafu : da kata ba Ar Juyima li baibuay yaxari guay-yo kainda mixonin kainda sabaxe pairata li otsoa-mi. Dabilage, dowuxi ya Ar Seinilxanshu du arji li asku egalun-yi da pairata mushiro Uli pejye ho shukin ja baotiku-xa. Soreni, omen, aitsu du chodama miza li yoko-tsoa-mi-yo zuxurin ya wan dowuxi ho losu-mi… nante-lô !, ji du milma-mi. Xolaligo, zuxurin ya dowuxi xoga iwo pejye xoga yus fu-chane.

Baji ya ilia du yokofu ho kolai-to-sha-suren-mi.

— « Gabi rixad-fu-lô, » ja aitsu du il-gui-mi. « Dowu-diu dowuxi-nante ! » Aitsu du xamasi-to-mi, choxol ji du yokofu li otsoaria ba utsani ai sarabeg ho lisiga-to ja cho lasul-mi-lô. Aitsu du arji ho nanga-to ge gao-mi. « Bonfainin-fu-ar-fe ? »

Ji yo baji du asku zugaoga ho turkatu-mi.

— « Bonfainin ? » ja Rinan du mo il-mi. « Yus. Yus gabi. »

— « Dobya-line-fu-jaga. »

Ji du zon-to-mi.

— « Pejye, dobya-diu ge Feye Miza li anai-bao-nante uzashu-fu-lô. »

Biai Uli pejye du iltsa ho somo ya ma li suwar-suren-mi.

— « Jiji du da maje toyobinin ba ji ya amaiti ho sonaq-to ya bai li dobya-nante yus lin-mi-lô. Ja, bonfainin ja yus fu, xolxoga dowuxi ya tannin-lô. »

Ji du aitsu ba fa pi ge pihai-to ja gao-mi-yo xata ho guhup-to-mi.

— Nishiwo. Arji du… ustu xarlahonin-fu.

Pejye du maira ho erozoe wei guk-to-mi.

— « Xarlahonin ? Okapichi. Jaga, ma, da kata du yus tuqturshu ho lin-nante saranga-fu-lô. »

Ji du sayaka-to-mi.

— « Saranga ? Dowu ya oshima-fe ? »

Aitsu du sayaka ho churu-mi.

— « Usnishihin ya oshima-losie. Da oshima-jaga… » Shishi du zubai ge suan guyan yoko-tsoa-mi-yo yokofu du jan kowoi ge xefeze-to-mi. Ai mun du arji ho baotiku ge fwogao-mi. « Usnishihin ya bun li goyka-to-fe ? »

— « Eto… » ja ji du kainda orinshila ge il-mi.

— « Yus, » ja Rinan du siexil-mi.

Yus-fuyoi ?, ja biai ji du milma-mi. Baji wei gaoga ho suwar-to-mi-yo maira ho fagu-to-mi.

— « Arji du tsu sonoma ya bun li goyka-to-lô, » ja ji du xol-omakikie serbilai-mi. « Yogo bu ba iraga totwo-gura ja mapua-to.  »

Pejye du erozoe-to-mi-yo tuguru-mi.

— « Arbu ho yus ipi-bao-lô, » ja ñuxil-mi, taosho ya sawda pisu wei kai-shana. « Shin pe, ji ho pai gare-to-gaora-yao-lô, » ja ji ya nuhe ilia ho shua-to ge chista-mi, « ambo, arbubu du fugao-lô-tafu : da ishawoda ba ustu cha wirta-fu-lô. Ji du sonoma-nante yu lin. Arbu ba gao-xal tsai du, » ja taosho wei xol-sanche tuay-to-mi ge il-mi, « ji ba so lin mono-fu-lô. Akarea ya Uli ya gi du xuay fu. Ao ge, shin-xima pe, tux ho xashi ja giri-to-xao. Jaga, xoyil-lô-tafu : omoxi kyoka-fu pe, arbu du taosho li-ge belili osfakoa yo edel sarabeg tie yus mufo-yao-gura-xoy. »

Aitsu du arji li jahi-file wixi ho dilma-mi-yo xol-gazel-una, safiripi ho marai-to-yo, anur-sha osu ho zahiro-to ge, fufao-mi.

— « Pejye-shama ! » ja arji du xol-shana woxil-mi.

Rinan du safiripi wei dontoyari, yogo ji du ipi-to-mi. Oxek, osu goan, arji du orinshila-mi, bila-tafu : xuayan, ruxe pejye du kanen ho mo bura-to-mi. Aitsu du kixe-fu-mi ! Ai uswa yo shiu arfisa-yo mife-sha ziri-yo waran poro li ai saal sarabeg iyoyo wahan…

Ji du meyame-to-mi. Nala-diu leide ho gao ya du janme yus ji ya fa bai-fu-mi-jaga, xaosh, pejye ho gao-nante…

— « Raolab shiwo, nongirsai-zawun, » ja ji du saus-to-mi.

Ji ba Rinan ho xan-to ja fuq-diu ge da kata du taosho xuayan kisa-tsoa-mi.

— « Rinan ! » ja ji du woxil-mi, mechai wusi ishawoda ho sasu bila. Mun ho pexoge mife-to-xal-shana, anwari-to-mi. Zanxal-odo ho yus zao-mi. Xolaligo, pejye ba arji li dama yokofu ya torazi ge gotasi-mi-feyusfe-yone…

— « Aipeze ! » ja Rinan du woxil-yo wan ya korako ho xoro-yi yukelya li rei-mi, ambo da kata du me yus bura-mi-shien-yo, mushiro, ogon xamasi ho pai-to-mi.

— « Tsai ge dwo-la-muka, yushogo ? Ji du nala ho gare ge mufo ja chaon-to ya sotai bai li nala ho ushwu-ñao-mi-lô. Xisho ge, nala du ji ya igata li guay, soreni ji li-du da zaoria ho gabi zupua. Da korako ho guayxoro-xima, Raolab ya xarlahonin, » ja-yo xaskin lada-tsoa-yo, arji ya aurupa ho gao go mun ho gugu-suren-mi. « Maha, fuyka… »

Aitsu du dug mife-sha bugowa li-ge dichaime-to resisa ya keiqsa ho donbura-mi. Nalapun go, inakibil tahin zuay ge babu-yo xunki-mi-yi, bi ogon tota ho zalpun yari. Bui ba israhi-to-mi.

— « Areinea ja lai-la ? » ja aitsu du irmen-mi.

Arji ba yus fuybura ge gao bila, surazi-to-mi.

— « Tux ya oshima, » ja bilail-mi. « Areinea du-pe tiyol xotie una. Yochai, upit li lamar tsue-fu-lô. »

Ji ba wixi ya joe ho yama-to dadage, yukelya du zoxara ho churu-mi.

— « Biai-suren-la ? » ja xol-wo garachil-mi. « Jua ho rere-xao-lô. Fei-tsoa-xa-zaochi. Sohoso ge, fuq ho shua-to-xushi. »

Arji du ma wei guay safiripi li yoko-to-tsoa pejye ho gao-mi, yogo ji du sayaka ho churu-mi.

— « Fuy-la-tafu, fuq ho shua-to-xushi-nante ? » ja ji du xol-lei il-mi.

Rinan du uzfuykaria ho tuay-mi. Arji du inakibil li kurap-xal bui ho rangao-mi.

— « Xaosh, aitsu du me ruxe-fu-fuyoi, » ja ji du engi il-mi-gui.

Rinan du kikarahi-mi.

— « Deil, fush-xoy-lô. Pejye ya oshima-fu-lô. »

— « Sie, sie, » ja ji du mugi-to ge il-mi. « Jaga… xaosh… »

Arji du gaoga ho turkatu-mi-yo xamasi ho pai-to-mi.

— « Janme uranbozi-fu, arji du, » ja ji-yo, « aitsu ba il ya ho luwo-fe ? Cho chichibao ge bu ba anai-nante-xushi-feyusfe. »

— « Bu ba ji ho ipi-fe-lô, » ja biai baji du baopun-suren-mi.

Ji du surazi-to-mi.

— « Sie, ji du tsaibila il-mi-tafu : uranbozi-fu, arji du. »

Rinan du mugi-to-mi.

— « Xol-mushan, da mixo-to-laho taosho ya torazi ho gabi kanlai-fe-nanga ? »

— « Maha… pejye ho gao-di, » ja ji du ustu il-mi.

— « Losie. Sha, sogarila, arji ya shoybi ba abor ja manara-lô, » ja Rinan du ji li siexil-mi. « Yukelya du arji ba tuanbe ja yus shin-aun. Milaushil-laho-gura, shueyogaoxa. » Usgabi milaushil-laho ji du angizi-mi. « Eilôy, ji li dor-to-xa. Bu du shasha fugao-tafu : ar kelya ho ranil ja ji ya xanshiria-fu-lô. »

Ji du mun ho gugu-suren-jaga yus totwil-mi, bila-la : Uli pejye ba bi jua-file nusin ho gare-shana xefeze-mi bila. Aitsu du fa selba-file chuka ho iñehiq-mi. Rinan du jukama ja kisa-tsoa, yo shana ge, ji du ziahusin ho oxai-to-mi.

— « Ah ! » ja pejye du il-mi-yo waran poro li mo fei-tsoa-shana. « Arbu ya kairia du ji li cho afil xoxosite polide-fu milma ho minma-suren-lô ! »

Ja-yo uyam ja orsha-to-mi-lô. Rinan du ji ho xol-fuisha-file gao-mi, pexoge fuisha-suren-shin-tafu : ne, xanshu-shama ho shagao-xa-lô. Ai aurupa du lei-tsoa-mi, yogo aitsu du irmen-mi-tafu :

— « Pejye, fepusie, arda tol nuhe yixu li, bu ba xuay fu-yo janme shao-sha dadage afil wusi oriaria-fu-fe-lô. »

— « Oh. » Yukelya du xoyafa-aun-mi. « Sie. Ma, iya, usgabi. Tol yixu ja il-fe ? Kainda rane-fu-lô, » ja mitome-to-mi. « Ambo, sobai da taosho li yus fu-lô. Ustu tin yixu ge ranxal. Ji ya aipawe ya sonaqjixa go da yogoy dan yixu ranbai, Aiskora ya Miza li baibuay-lô. »

Ji du saal-tsoa-mi. Aiskora ya Miza du da lanxua li so miza xotie mechai nanfa-file artsai fufuan fu-mi-lô.

— « Wojae-to-suren-xie, » ja shinpin-sha-aun pejye du xol-wo baopun-mi. « Da miza li fu ranbai iyahin uzasairia ba fezal afil-fu-mi. Bi yixu ranbai elfin ya tibul li chior-laho-mi-fuyoi-yo tuanbe, Aiskora ya toki ho mufo-yo xuay uchu-mi-yi, Feye Miza li. » Aitsu du wixi-to-mi. « Ji ba miza dienrinlige guay-zawun. Ma, ao ya orsha du-pe, da miza ho tuanbe-iroi ja manara-fu-lô. Ustu da taosho du ji ya sarabeg du-pe guayxoro, » ja surazi-to-mi.

Ai duan ba korakora lei-fu shinkoga, ji du tsai li agaborali ya miketa ho zao-mi. Faelko-una feye-fu arda ai mun du chai xol-wo bin-to-xal-mi.

— « Da… da xalmila du janme wusi-fu-lô, » ja Rinan du il-gui-yao-ñao-mi. « Elfin ya chior-nante, Raolab shiwo ! Cho ishawoda ja yus danlai-fuyoi. Xolshaisha tuaryaga-sha-lô, aipeze-shama. Soreni, da bawansa ba galsoy-laho-gura ja ji du alfaiq-to-lô. »

Pejye du sayaka-to-mi yo gotasi wixi ho tatsu-mi.

— « Ja, alfaiq dadage, mehen tuanbe-xa-yo tibulxar ya maira ho reibura-xa. »

Baji du orinshila-mi. Pejye du xamasi ho pai-to-mi, ja-yo ji du wixi-to ja yus xan-yao-tsoa-mi.

— « Bu ba yus atalura-to-shin okaldu ja alfaiq-ortoy-xa, ayul Akareadirnin, » ja-yo, « yochai, elfin ya tibul du yu fu-lô. Aya, chai xarsha-lô. Raolab shiwo ja il-fe-lô. Arbu omen, tsai du ratsin ge zai-to da chaba dowu ya odenfu-fe-yone ? »

— « Nishiwo, aipeze, » ja ji du lofeire-mi.

— « Aipeze-nante, » ja aitsu du gotasi ya duan ge mo il-mi. « Ji ba aipeze-aun-fe-fuyoi ? »

Ji du aitsu ho shagao-mi, yogo mitome-mi :

— « Yus. »

Pai, Rinan du wan zoxara ho oshur ge pegu-to-mi.

— « Aun-losie ! » ja woxil-mi. « Bu du Akarea ya tuqmawa ya fo-line-yo, barge Bufua yo Sifagola ya Ahode, Dowu ya Tinche Lanlan ya Uli pejye fu. Swo dom li Akarea nano shu du ustu bu ba fu, ariago xarons ho bu li biulin-lô. » Baji du banta xuhira-to-mi, ja-yo nunla mugi ho orsha-to ge ji du agwo-mi. « Akarea ya Uli, » ja Rinan du xol-omakikie siexil-mi, « bu ho xayi-iq bu ya sonoma soreni bu ya dowuxi tahin arji tie koura-xima-shien-yotan. »

Zooy ba fu-ñu-mi. Ji du maira ho piska mayigi-mi. Rinan du Uli pejye ho me xoyafa-tsoa-suren-baripi-mi : da kata du arji ho gao-gao-yo xol-chochomin tanen ya somo ho tobiña-mi.

— « Il-la-xima ? » ja il-gui-mi.

Ji du Rinan-dire chandali ya surazi ho me luwo-mi-yo yus wixi-to ja me iyigi-mi.

— « Il-tafu : arji du bu ho bu ya gi li koura-gura-yi Akarea li. »

Pejye du wanbura-aun-mi.

— « Yus, » ja siexil-mi. « Zubai ranbai, bokebai ruxe toki-fu-mi da ji ya gi li ji ba wanwai ja agir-to-jaga… usiyae yamaria-fu-lô. Iyayo-nante yus nishiwo-jaga… iya, gandiade, dowu li otsoa ja uzabai rao-lô. Ambo, tsai ho il-nante uzabai choiq-to-yi, okalshu li, okalrini… aipawe li. » Gorogoro-to-xal ja pai fugao-felafe bila zooy-to-mi. « Yus, » ja bilaguiria toshte mo il-mi. « Ji ba da taosho ya chaminin-fu bila. »

Ji du sayaka ho churu-yo il-ñu-xao-jaga, xan-tsoa-yo baji ba il ya ho shue-mi.

— « Fuybura-lô, » ja Rinan du perte yo lei duan ge il-mi. « Da taosho bila bu ba chaminin-fu, ambo arji du bu ho chi-to-suren-yao-lô. Bu du kixe-fu-lô. Ustu dwo-xayi-tafu, da taosho ba bu li dancho-suren da mixotoria ho apur-to, ja-yo bu du chi-fu-gura. »

Pejye du baji ho dinowixi ge gao-mi.

— « Xisho, fepusie, bu du xus-yao-lô, » ja irkiten-to-mi.

Rinan du sin ho yus ushwu.

— « Manara-xoshad, » ja il-mi, « jaga ji du sie-sha-lô-tafu : arji ba Akarea li fu ya bai li ishmin du chabakatoria ho apur-to-yao-gura-losie. Alfaiq-fu-lô. »

Pejye du bawaga aurupa ho orsha-to-mi.

— « Afil alfaiq-xoy, ayul monin-san. »

— « Monin-nante yus fu-lô, » ja ji du puki-mi-yi Rinan ya garagara gaoga ho baokoga wanri-to-suren ge, « jaga, kanilishan shu-fu-losie. Ma, da yori li lô. Ji xoga bu ba xarons li mo kai-yao ya bun li bu ho chi-to-suren yaxari ji ba xolshaisha xol-soge otor-to-bao ja bu li alfaiq-to-lô. »

Ai kiq du sha-otsoa-zei-xoshad, mushiro ji ya ilia du aitsu ho kiohoq-to-suren.

— « Ji du laxai il-fe-lô-tafu : da cha xarons li yus mo kai-shin-lô, » ja-yo, « xolxoga, arbu du ji ho chi-to-suren-gaora-fe ? »

Kainda orinshila ji du usbuye-ranfu-mi. Rinan du axem-to-mi.

— « Pejye-shama, arji du ustu Raolab ya xarlahonin-fu. Aya, baxad, Akarea ya ja chai xushi, » ja pejye ba sayaka ho churu ya ho gao ge xol-wo asku nishiwo-suren-mi. « Arji ya xabaoxi du bu ho Eshil ya palatyoa li koura ya otor-fu. Xuay-dama fu ya bai li… »

— « Xuay-dama fu ya bai li, arbu du ji ho polide-gura-yo ji ho fefezi shushu ya esku li foraki-gura, yogo xoshad-tafu arda kata ba ji ho luabi-yo, chai xol-dug, ji ho gatsa-bao-felafe. » Pejye ya duan du sishe-fu-mi. « Yus tuhuhali-fu-lô-jaga ji du kuhurki li tolol yixu ge ranxal-yo fezal yus ibarihe minmaria ho janme soma-to-yao-lô. Ah, jua du ibig-xal. »

Gandiade, jua du ibig-ranxal-mi. Aitsu du lada-tsoa-mi-yo areinea ya piska piska ho pun-mi. Ji du usahame-sha-aun baji wei zugaoga-to-mi.

— « Cha, lada-tsoa-xa-xima, » ja yukelya du jiro-to-mi, bonxazwai-sha ge. « Aya, mushiro, xisho ge fei-tsoa-xa. Tsai du cho minma-suren-yi ji tie daodao Tigali ba ar odenki li xuhira-to-ranxal ya arda yixu ho… Oh, Tigali… »

Pai ya zuweria ho tamara-mi, ja-yo ji du tike-ranfu-mi. Leide ya xanshu-shama-fu Rinan du dao totora-sha-mi-jaga-lô.

— « Ji du… Aipeze-shama, ji du… bu du… Fugao-lô, wusi-fu, » ja baji du xol-bushta il-gui-mi.

Pejye du maira ho fagu-to-mi-yo wan ya aganari ho fadel otuairia ge xoro-mi.

— « Ji ho dichaime kolai-suren-chane, arbu. Ji du xoxosite bai ba puyai go… Jaga, wochao. Ne, pejye-fu dadage, tux ho fili-to-xafe. Ji du porapora-yo tsai ho yus orpakaita-to-suren-shin. »

— « Mehen, » ja ji du totwil-mi, kisa-to ge lada-tsoa-mi-shana.

Ji du tux ho dan xashiwa li fili-to-mi. Ji ba fei-tsoa ya bai li, Uli pejye du laxai wanbura-gui-mi. Asarahi, arji ba taosho ho mufo-nante yus iroi-lô ja ji du lai-mi.

— « Shishiel, baotsue, » ja yukelya du ji ba xashiwa ho berere ya bai li il-mi.

Oja zooy du turi-to-mi. Rinan du wan ya xashiwa li eusilika-mi.

— « Ja tafu, » ja aitsu du ipil-mi, « xoxosite, bu ba omoxi wanwai pe lamar shinpin-sha-yoma ja arji du lai-losie. »

Pejye du baji ho wan ya feye mun ge xol-wo gao-to-mi.

— « Yaxu-xama ! » ja xol-dunsuts pafil-mi.

21.18 Zangsa nano atsir yo kiaqnin (iñuhen)

21.18.1 Sototaxo chai ruxe yalya

(La plus belle de toutes les fleurs)

Nau ! Nau !
Bajixie, munmatso-xima-yi,
ar woshi ba orogi xotie,
ogaicha ya pa ge margol-xal ho lô.

Nahou ! Nahou !
Frère, lève les yeux vers le ciel,
Telle l’orchidée, les étoiles se peignent
De la couleur des démons.

Zu-Sha

* * *

Bulxu ya bin ya xima li, seyi maoka ya dino li fei-sha ge, bi yushogo du wezi ya rusin ho bonwish-xal-mi. Fa kata du ai miketa uswa-fwo beltsa rane arfisa ho lin-yo sanche yo mirpa ge asizaha-to-laho nala ho dwo-mi. Da bai li, usko darangua ho zopun-shana xol-xamae il-mi-tafu :

À la flamme d’une chandelle, assis dans le coin d’une vieille taverne, deux jeunes hommes partageaient une jarre de vin. L’un, aux longs cheveux d’ébène un peu rebelles, portant d’amples habits noirs brodés de pourpre, posa son gobelet vide en lançant d’un ton joyeux :

— « Jaila ? Xuay fu, bu ho kaitia-nante yus danlai-lô, Irami, ushwu ruts li, dug wezi ho xashi-xal-boe. »

— « Qui aurait imaginé ? Je ne pensais pas te trouver ici, Irami, dans un village perdu en train de boire du mauvais vin. »

Dug ja-yo, xolxoga, aitsu du wan ya bun li mo fili-to-xal-mi. Ai bi woso chai mirpa lusalda du soduay-to-yi aitsu ba wezi ho gulu-to yari maira ho guy wei guk ya bai li. Sawdan, nari du gaboti yo mife-sha bongefon ya koga li kopilika-to-xal-mi.

Mauvais, disait-il, mais il se resservait quand même. Ses deux boucles d’oreille, d’un pourpre encore plus vif, oscillèrent quand il rejeta la tête en arrière pour boire son vin d’un trait. Au-dehors, la pluie tambourinait contre le toit et les volets fermés.

— « Sugoy cha ya fwo li shiginyago-fe-lô ? »

— « Quelle après-midi de chien, pas vrai ? »

Irami du suyai-aun ge xol-lei sietuay-mi. Feye muruden-line saal resisa ya ma li orpakaita-to-sha azabotse-una beltsa rane arfisa guyan, gao-yao-yi ai pingoe ba sapa-sha ya ho yo ai rane xizo-line ar ziri ba sowado xotie chai ranbai mife-tsoa-kaolin ya ho lô. Eseki, aitsu du dodonbai shihito li yus yao-sowa. Tsai ho xashi-xal-nante ai kiq ya oshima li fuisha-file-lô.

Irami acquiesça lentement, l’air de piquer du nez. Derrière ses longs cheveux noir de jais qui cascadaient le long de sa tunique blanche ourlée de bleu, l’on voyait ses pommettes rosies et ses paupières aux longs cils qui se refermaient plus longtemps que d’ordinaire. Il n’avait jamais bien tenu l’alcool. Qu’il se soit retrouvé là en train de boire en disait long sur son état d’esprit.

— « Irami. » Konin du wixi-to-mi-yo, benze ya mama li guk-tsoa-shana, xol-ki-file mo il-mi-tafu : « Irami. Arji ba fa ya bai ge dopa-mi da shi ho minmi-fe ? Bu du Saal Lior li fu-mi, yagambo, me xuay-da, ji du kisur ho bura yaxari zuayanai-mi… »

— « Irami. » Son compagnon sourit et se pencha sur la table en répétant avec entrain : « Irami. Tu te souviens du jour où on s’est vus pour la première fois ? Tu étais dans le Jardin Blanc. Et moi, je m’étais infiltré en douce pour cueillir un abricot… »

* * *

Mixafirega-lô ! Osorage, aipa du ji ba fanfin-diu kisur ya xima li cho dyagu-to ja fugao pe gotasi-fe-lô : bila-tafu, da kata du mirpa ki-file shikua ho umuraku oñan-losie. Ji du ñali ho dereteki dage xol-finzibozi muma-to-xal-mi-yo, pai, futoria ho ñebu-mi. Ja-yo, kisur ya abol li oydimaho-sha-shana, wan ya zoxara ya ma li buchi-to-mena ahanse ho zao-mi. Me koye li, abol ya tan li, fa yushogo du ji ho rangao-to-xal-mi. Ao tahin ji ba aitsu ho urtiku-nante gabi xol-la ? Eseki, ai fer du lamar lei-fu-mi-yi, zuyshi ya bisi xotie lô.

Quel délice ! Mon père se serait fiché de moi s’il avait su que son fils se délectait autant avec un simple abricot : lui ne mangeait que des fruits gorgés de ki pourpre. Je mâchais consciencieusement, savourant chaque bouchée, quand mon flair détecta soudain une présence. Perché sur l’abricotier, je sentis la sueur perler sur mon front. Tout près, au pied de l’arbre, un jeune homme me regardait. Comment ne l’avais-je pas remarqué avant ? C’est que son odeur était très douce, aussi douce que celle de la rosée du matin.

Utsani yangunin-fu-mi-zaye. Ji du aitsu li kisur ho goyon-to-mi.

Heureusement, ce n’était qu’un disciple. Je lui lançai un abricot.

— « Ñali-zaochi. Me shañam-fu-lô. »

— « Goûte. Ils sont délicieux. »

Aitsu du shikua ho donbura-jaga yus oñan-bao-aun-lô. Xaosh. Ariatoge, saxue boanshu-fu-mi-fe-lô.

Il attrapa le fruit mais ne fit pas mine de le manger. Zut. C’était un disciple sérieux.

Da bai li, ji du Zeligar igo ya kai-xal fer ho zao-yo giagia-to-ñu-mi. Saal Lior du Zeligar ya kobada-fu-lô. Ji du xol-soge oriro-yi asku tuanbe-xabao-mi-xoy.

Alors, je sentis venir l’odeur de l’instructeur Zéligar et je commençai à paniquer. Le Jardin Blanc était la propriété de Zéligar. Il fallait vraiment que je descende et que je file.

Izayi, dirdira, ji du chai bi-fe dan-fe kisur ho bura-mi-xama-yo man tahin wan ho suwar-chi-gui-yo…

Je cueillis quand même deux, trois abricots de plus avant de me laisser glisser jusqu’au sol…

— « Irahayami ! Sohoso », ja Zeligar igo ya duan du dwo-mi. Ji du turka-tsoa, yogo, tanfige zuybo guyan byum-tsoa-mi. Ja-yo, fa goyon-laho kisur du ji ya maira ya ma li layu-to-mi-aicha… « Churda-fe ? »

— « Irahayami ! Te voilà », fit la voix de Maître Zéligar. Je me pétrifiai puis me jetai à plat ventre derrière un arbuste. Un abricot lancé vint atterrir sur ma tête. Aïe… « Un souci ? »

Ji du surazi ho xan-to-mi. Irahayami. Begal-lô. Ji ba aitsu ho yus mehen aurupa-to xol-la-boe ? Aitsu du gwo-foi boanshu-fu-mi-lô. Woso fa ya yixu ya biterpia ya ar jixa li-ge, Donyoibi Zam ya shuzno ho urabari-mi. Xosh-tafu, ji ya orasaldi kisur-xuwe. Osorage, Zeligar du xol-saal-tsoa tomen-to-gura-yi ji ho yokaxoro-losie ya bai li yo baopun-yi…

Je retins un soupir. Irahayami. Bien sûr. Comment ne l’avais-je pas reconnu ? C’était un élève modèle. Aux duels de première année, il avait déjà gagné son titre de l’Épée Filante Qui Danse. Et voilà, adieu, mes abricots. Zéligar allait être blanc de colère quand il allait découvrir que j’avais…

— « Uza yi-lô, igo. Utsani ruxe lior ja lai-xal-mi-lô », ja Irahayami du totwil-mi.

— « Aucun, instructeur. Je me disais que c’est un beau jardin », répondit Irahayami.

— « Ji du sotai shi ge tsai ho zen-lô. Xua wei zahili ja inabari ho selgi-fu-suren-xushi. Okal, ji ba bu li kai-xafe ja fugao-fe ? »

— « Je m’en occupe tous les jours. L’amour de la terre rend l’âme fertile. Enfin, sais-tu pourquoi je t’ai demandé de venir ? »

Ji du okokoyfi-to-mi. Donyoibi Zam du ji ho bonfai-to yari igo li uso-mi-nante-boe ? Bi arda kata ba lior li barge taori-to-shana, ji du aitsu ba ji li goyon-to kisur ho noabura-mi. Ai sheg ya ma li are moshanti ba din-to-laho-tafu : « yus mo kai-xa ».

Je n’en revenais pas. L’Épée Filante avait menti à un instructeur pour me protéger ? Alors que tous deux s’éloignaient dans le jardin, je ramassai l’abricot qu’il m’avait jeté. Sur la peau, avaient été marqués habilement plusieurs signes : « ne reviens pas ».

Ji ya rifai-fwo nangatoli du wo-tsoa-mi.

Ma curiosité de renard était piquée.

* * *

« Yus », ja Irami du il-mi-yi rusin ya gulu ho bura-to-shana. « Bu ba fa ya bai ge ji ho dopa-mi ja yus dama bai-fu. »

— « Non », fit Irami, prenant la jarre par le goulot. « Ce n’est pas là la première fois que tu m’as rencontré. »

— « Xol-la ? », ja ji du barons li guayxoro ge fei-to-shana xol-wo xoyafa-to-mi.

— « Comment ça ? », fis-je, étonné, me rasseyant sur mon banc.

Irami du maira tie xol-lei sietuay-mi.

Irami hocha lentement la tête.

— « Ji ba tolle buma-yo okal beganshu li yus fuybura-laho dama ki ya erchinga ho ori-xal ya bai li… Il-laho-tafu : ji ho lante shu ba Narawul nano misan-file zu zogo-fu-mi. Jaga, baigo, ji du Narawul ya latur ho tamatama kaitia-to-mi. Da kata du semon-fu-mi-yo ji ba zata-laho nuai are nuhe baobin li zai-to-mi. Bu du ai seyim-fu-lô. Furul, ji du bu ba dama shi li jukama ja uzabai shielsha-to. Shielsha-shien, Zangsa. »

— « À mes quatorze ans, quand j’étais sous l’effet de cette obstruction du ki qu’aucun docteur ne comprenait… On m’a dit que c’est un petit homme mystérieux appelé Naravoul qui m’a sauvé. Mais, depuis, j’ai découvert la tombe de Naravoul. C’était un vieil homme, mort des mois avant que je ne sois guéri. Tu es son petit-fils. D’ailleurs, je ne t’ai jamais remercié pour ton aide, ce jour-là. Merci, Zangsa. »

Zu zooy ba fu-ñu-mi. Tsai ho… fugao bailige-la ? Ji ba aitsu ho shasha fugao-ranxal omen, selan ranbai ranbaige. Tsai xotie, ji ba Saal Lior ya xaliga go are beldetin ho bai-tsoa-nante-yi baopun-tafu-aiga : Irami xoga ji ba bi yixu nuai lante da mushak xoga ba me iraga shu-fu-mi-ma… Dama bai li, ji du amaguk ya ozachi li yokonala-to-sowa-mi, bila-la, ai toan atsir ya ubil shuzlaoxi ho wuz ge shua-to-bao-fe shawen ho zun zao-fe feyusfe bila. Xazwai-to-sha ji du terfa wei mun ho gu-to-gujo.

Il y eut un silence. Depuis quand savait-il ? Le connaissant, probablement depuis longtemps. Et dire que, moi, j’avais mis des semaines à comprendre, après l’épisode du Jardin Blanc, qu’Irami était le même garçon que j’avais sauvé, presque deux ans plus tôt… À l’époque, je me déguisais et me faisais passer pour mon grand-père maternel, je ne sais si pour profiter de sa réputation de grand chamane ou pour me sentir moins seul. Embarrassé, je détournai les yeux vers le comptoir de la taverne.

— « Ah… bah. Bu ya amaiti du ji ho xol-seine upe-mi-lône. Ambo, bu ba tsai ho fugao bailige-la ? »

— « Hah, bah… Ta famille m’a généreusement payé pour ça. Mais depuis combien de temps tu le sais ? »

— « Aipa ya chodama bonfainin ba Dansa li bu ho aurupa-to go ji li uzil-to-mi bailige. » La… ? Da kata du ji ho aurupa-to-mi-nante ? Osha, ji ya dama yokonala du cho dug-fu-mi-gujo-ma… « Zuydi bai go, bi ya yixu li, ji du lasul-ortoy-lô-yi, bu ba Saal Langia Yin ya boanshushu koga bu ya atsiraq ho shua-to-xal ja gao ya bai li lô. »

— « Depuis qu’un garde de mon père m’en a parlé après t’avoir reconnu à l’Académie. » Hein… ? Il m’avait reconnu ? Mon déguisement était donc si mauvais… « Peu de temps après, en deuxième année, je n’ai plus eu de doutes, quand je t’ai vu utiliser tes arts vaudou contre les élèves de la Secte du Papillon Blanc. »

— « Ah ! Usa-to-suren da bi gaifu-fe ? Ji du biai-mi-da-xie. Selan, bu ba urtoaria-to-xal ji ho yus donbura pe, araitsu du wan li xal-la ja yus fuybura bila ahia-to, choxol Fai Dansa ho tuanbe-mi-losie. Ambo, bu du seyi rifai-fu-lô, Irami. Ji ya ar igaña ho oyobi yari bu ba ji ya shaki li anai-nante jaila ? Oyobinin-cha-xuwe. »

— « Ah ! Ces deux crapules qui embêtaient tout le monde ? C’est vrai que je me suis bien amusé. Si tu ne m’avais pas pris en flagrant délit, ils seraient partis de l’Académie Céleste tellement ils étaient terrifiés de ne pas comprendre ce qu’il leur arrivait. Mais tu es un vieux renard, Irami. Qui aurait cru que tu entrerais dans ma chambre pour voler toutes mes poupées ? Espèce de voleur. »

— « Yus ji pe, bu du wo churda ho lin-to-mi. »

— « Tu aurais eu de sérieux problèmes si ça avait été quelqu’un d’autre que moi. »

— « Fugao-lô, Irami, utsani xamaril-xal. Xolaligo, chabakatoria du-pe ji du bu ho lante-jaga bu du ji ho me chai jukama-lô. Ma, xisho, dyig ba xol-da dwo-fe-lô. »

— « Je sais, Irami, je plaisante. En fin de compte, je t’ai sauvé de ta malédiction, mais tu m’as aidé bien davantage. Mais, tu diras, c’est ce que font les amis. »

Il-shana ji du lada-tsoa-mi-yo konin ya barons li fei-tsoa-mi-yo aitsu li xol-anshaxe atsas ya pai ho dwo-mi-xeixei.

Je m’étais levé et assis sur le même banc que mon compagnon, auquel je donnai un coup de coude complice.

— « Ne, Irami. Barge sobai sha amatar ho yama-fe-lône ? Selguzixie xogal. Doxirnin ya fubar ho pao ja lai-la ? Doxirnin ya Xanshibar li odaina-tsoa ja yus xayi-fu-lô. Da moxi yori li, arji du ruts dienrinlige zeitu-gura-yi sonpalta yo majebozi sawru xotie taotao muxao-tsoa-shana. Mushirochai, boanki ho losu-yao-lô. Donyoibi Zam ya Boanki ja, xol-sha-la ? »

— « Dis, Irami. On a toujours fait une belle équipe, tu ne trouves pas ? On est comme des frères jurés. Que dirais-tu de former un groupe de quêteurs ? Pas besoin de s’inscrire à la Guilde des Quêteurs Mercenaires. On voyagerait de village en village, loin des intrigues et des esprits néfastes. Ou même, on pourrait créer une école. L’école de l’Épée Filante, qu’est-ce que tu en dis ? »

— « Sonpalta ja… ? »

— « Les… intrigues ? »

Irami du xol-dulma garachil-mi-yo, wezi du-pe rusin li yu fu ja gao dage, lada-tsoa-mi-yo mufori wei sawaisawai-to-mi.

Irami grogna quelque chose d’inintelligible et, voyant qu’il ne restait plus de vin dans la jarre, il se leva, enjamba le banc et tituba vers la sortie.

— « Ei, laxai tuanbe-bao-fe ? Janme nari-to-xal-jaga ! »

— « Hé, tu pars déjà ? Il pleut à verse ! »

Ambo, aitsu du yu lutik-mi. Mama li, yus naogu-to-mi. Ji du wan ya sanche yo beltsa mafalya li uxpundo-yo terfa ya ma li fa bilarin goyon-to-yo maokatonin li tafu :

Il ne m’entendait plus. Il n’avait même pas payé. Je m’enveloppai dans mon ample manteau noir, lançai une pièce d’argent sur le comptoir et dis au tavernier :

— « Yogo fa rusin-xima. Arinchi-yotan. »

— « Une autre jarre, s’il vous plaît. Gardez la monnaie. »

— « Shishiel, ayul ximanin. Nafi li fush-xa-xima : damishige, koshke li ogai xawo ya zar du chabuay-lô. »

— « Merci, jeune messire. Faites attention sur votre route : des loups-démons rôdent dans la région. »

Ma, yus mahishihe-fu, bila-la, Ushwu Xaishor du me koye-fu-mi bila : xuay li « ogai » ki du Fai Dansa xotie lamar chai runie-fu-mi. Arda ogai xawo… Yus dopa-xushi.

Rien d’étonnant vu qu’on était près des Montagnes Perdues : l’énergie « démoniaque » y était bien plus dense qu’à l’Académie Céleste. Des loups-démons… Je préférais ne pas en croiser.

— « Arji du fush-lô, shishiel. »

— « Nous ferons attention, merci. »

Yagambo, omoxi ariatoge ogai xawo ba arji li togaturi pe, Irami du da xue ho wixijaq ge galsoy-lô. Woso bachuk, aitsu du zamonin toshte alabaya-fu-mi-lô.

Cependant, si un loup-démon venait à nous attaquer, Irami n’en ferait qu’une bouchée. Même ivre, il excellait comme épéiste.

Nari ya xiai li, ji du ruts ya achif-line pya ho gao-mi. Tsai du noytsa-sha-mi. Ji du zon ho ñebu-to-mi. Dabal, Irami du naeton wei miza li guay-mi. Rusin ho anur-to go ji du gulu-to-mi-yo tsai ho rapinala li otiri-yo dyig ya ueza ho ipi-to-mi.

À travers la pluie, je vis le chemin boueux du village. Il était désert. Je humai l’air. Irami était parti vers le nord-ouest, dans la forêt. Débouchant ma jarre, je pris une longue gorgée avant de l’attacher à ma ceinture et de suivre la trace de mon ami.

Kaitia ya bai li, ji du menpuhe-sha-mi. Aitsu du droa li fei-tsoa-sha-mi, alduki ya gina li, nari li yose. Saal nala du pexoge ziyapa-fu-mi. Jua du ai aurupa li zuhuya-to-mi. Ai tatsuria du, sobai xotie, iraga ontsei-yao-zei sin ho yama-to-mi. Ambo, ji du aitsu ho fugao-ranxal bila, ai mun li zaf-to-xal aga ho sieshage zao-mi.

Quand je le trouvai, j’étais trempé. Il s’était assis sur une roche, au milieu d’une clairière, sourd à la pluie. Ses vêtements blancs paraissaient gris. L’eau dégoulinait sur son visage. Il gardait, comme toujours, cette expression de sérénité immuable. Et pourtant, moi qui le connaissais, percevais la souffrance qui brillait dans ses yeux.

Piska sawai-to go, ji du pihai-yo droa ya bei li rusin ho zopun-yo, lia-diu ge, ontsei-to-mi.

Après une hésitation, je m’avançai, posai la jarre au pied de la roche et, sans un mot, me transformai.

* * *

Wo mirpa bin li Zangsa ya beg du uxpundo-laho-yo saal ipi-line yo zafe gana-line ogon rifai ya ojoe ho bura-mi. Ai mun ba pexoge bi mirpa bui-fu-mi ; ai za natakame ba wog xotie iraga beltsa-fu-mi.

Une vive lumière pourpre enveloppa le corps de Zangsa, qui prit la forme d’un grand renard au pelage noir étincelant et à la queue noire et blanche. Ses yeux étaient comme deux feux pourpres ; ses pupilles verticales, aussi noires que la nuit.

Ogai rifai du Irahayami ho anchu-to-yo, shijoe xogal zuay ge, zoyu-to-mi-yi, ai xuhira ya ma li boza ho oyu-shana.

Le renard-démon contourna Irahayami et s’allongea, posant son museau sur les genoux de celui-ci, aussi silencieux qu’une ombre.

Ranbai, ustu tulone nari du rin-to-mi. Yo, Irahayami ya duan du zooy ho apur-to-mi.

Pendant longtemps, on n’entendit que la pluie battante. Puis la voix d’Irahayami brisa le silence.

* * *

Aitsu du xalmila-to-tafu, Namgax ya oshon li wanwai go, amaiti li-ge afil asuhairia ho pei-mi. Donyoibi Zam nano aitsu du gwo-foi boanshu fu-yo moaq ya xi li me shasha shuzlaoxi ho xol-foye reibura-mi. Jaga, fa yori li, oshonxarnin-fu ai aipa du pyabura-to-yi aitsu ba, bajixie shinkoga, tuqturshu ya shuzno ho bura ja otomo, soreni aitsu ho Beltsa Lion ya Gonoshon ya fa ya ahode li niya-tsoa-tomo. Namgax du Ol Gonoshon li yus erkasopik fu-jaga, ma, sototaxo Gina ya Waraba ya fezal shuzlao amaiti-fu-mi-lô. Afil boaqnin du Namgax li-ge dir-mi-losie. Da shasha shuzlaoxi bila, arda bi oshon du koniya ya oshima li kyoka-to-mi-jaga… Irami du, tuqturshu li otsoa ya bun li ogon-tsoa bajixie wochan, shuzno li yus erese-fu-mi. Izayi, da bilaguiria du ane mon ho, soreni aipa yo fa ya ixo erean gatsomba ho, fo-to-mi. Irami du gerei ya ux li unchia xotie zao-tsoa. Ambo, xoyafali go, unchia du suan li otsoa-yo bechaitatsi xaise ya pai go oal-to-yo oshon ho tuanbe-mi.

Il raconta comment, après être revenu chez lui, dans le clan des Namgath, il avait reçu maintes louanges de la part de sa famille. L’Épée Filante Qui Danse avait été un élève modèle qui avait gagné une très bonne réputation dans le monde des arts martiaux. Mais voilà qu’un jour son père, le patriarche, avait décidé de le forcer à prendre le titre d’héritier du chef de clan au détriment de son frère aîné et de le marier à la première fille du Grand Clan des Lions-Noirs. Les Namgath ne faisaient pas partie des Cinq Grands Clans de l’Empire, mais c’était quand même une famille réputée des Plaines Centrales. De nombreux érudits provenaient des Namgath. De par cette bonne réputation, les deux clans s’étaient mis d’accord pour les fiançailles… seulement Irami n’était pas intéressé par le titre, contrairement à son frère aîné, qui avait grandi en se préparant à l’hériter. Finalement, cette décision avait créé un conflit interne et des querelles entre le père et le premier fils. Irami s’était senti comme un lapin au milieu de vautours. Mais, passée la surprise, le lapin s’était transformé en nuage et, lors d’une tourmente de trop, il s’était envolé et était parti du clan.

Dyig-ixie ya ux li zoyu-sha ji du zooy-to ge lutik-mi. Irami ya bawaga ho fuybura-lô, soreni ai nerincha ho. Kishaenxi yo kidoari ya boanjixa ya so arda yixu ba fu bila, Irami du dom ya dugetsa li-ge taori-yo tsai ho laxai polide-ñu-mi. Woso wan amaiti ya elun ba cho koradande gatsomba li nigoru ja iyae-fu-nante yokaxoro ya du iyahin liyoli-fu-lô.

Allongé autour de lui, j’écoutai mon ami en silence. Je comprenais le chagrin d’Irami et surtout sa déception. Avec toutes ces années d’études, de cultivation de ki interne et de méditation, Irami s’était éloigné de la noirceur de ce monde et avait commencé à l’oublier. Découvrir que les membres de sa propre famille étaient capables de sombrer dans de telles disputes était loin d’être plaisant.

Xolaligo, ai isha du wo wonsaria ho ori-yo ai inabari du sowado ge me sine-fu-jaga ao ge ganma-tsoa-yao-zei-yo wanbura-yao-zei-mi.

Son cœur avait reçu une blessure profonde et son esprit, d’ordinaire si serein, n’arrivait pas à retrouver son calme.

Ambo, orpakaita-to nari ba, izayi, sobai fael li guayxoro-xisho.

Toutefois, la pluie qui tombe finit toujours par revenir vers le ciel.

Ji du boza ge ai xuhira koga turabuy-mi. Okal ilia du-pe kur-fu-lô. Arji ya ux li nari du leyanari li otsoa-mi. Da xal li, ji du alduki ya dien li lada-to kisur ya abol ho baopun-mi. Tsai du shikua du-pe manara lin-mi-jaga saal yalya ho yi-losie. Ji du le opi ge lada-tsoa-yo abol ya bei li kai-to-yo Fael ya Rifai ya Ipi ho yama-to-mi : ji du nugera ge yoibi-yo mirpa ki ya nugegururia ge zonko li maytsi-mi. Chai mae barxa ho uchu ya bai li fa taryo ho iñe-to-yo aira-diu ge nugera ge man tahin mo kai-sha-mi.

Je frottai mon museau contre son genou. Les paroles étaient de trop. Autour de nous, la pluie s’était transformée en une légère bruine. J’aperçus à cet instant, se dressant au bord de la clairière, un abricotier. Il n’avait pas encore de fruits, mais des fleurs blanches. Je me levai sur mes quatre pattes, m’approchai de l’arbre et exécutai le Pas Céleste du Renard : je dansai en cercles et m’élevai dans les airs dans un tourbillon d’énergie pourpre. Atteignant la branche la plus haute, je mordis une tige de mes dents et redescendis, toujours en cercles.

Ji ba Irami li da yalya ho tatsu-to ya bai li aitsu du tsai ho bura-mi-yo nahana-sha-shana ol saal sae ho gao-mi. Ji xogal, aitsu du da niwailia ho shasha fugao-tafu :

Quand je présentai la fleur à Irami, celui-ci la prit entre ses doigts et regarda les cinq pétales blancs, saisi. Tout comme moi, il connaissait le proverbe :

“Sototaxo yalya, tao ya ba chai bura-shin-laho ya fu, ambo bu koyan fu ya ba amabi du-pe umuraku rere-xisho.”

“La fleur lointaine est la plus prisée, mais c’est celle qui se trouve à tes côtés qui te portera fortune.”

Ja-yo, agaboryoli du ai mun li usfu-tsoa-yo ustu sin li otso-tsoa-mi. Aitsu du ji ya boza wei chi esku ho mushe-yo ji ya bi lusa ya gina li ximashegi-ñu-mi. Mahishihe-lô. Sowado ge, aitsu du pexoge ji ba ustu shufu ja ota-sowa-lô.

L’amertume disparut de ses yeux et seule resta la sérénité. Il tendit sa main libre vers mon museau et me caressa entre les deux oreilles. J’en fus surpris. D’habitude, il me traitait bien trop comme un humain.

Ji du aitsu li rifai-fwo wixi ho dilma-yo, sohoso, zubai ranbai ai esku koga obi-mi. Owanshia aitsu ba ji ya lusa ya tan lea ho turabuy-jaga dichaime sasu ja yus wafuy-fu-lô. Yogo, ji du piska taori-yo shufu ya joe li guayxoro-mi.

Je lui adressai un sourire de renard et profitai de l’occasion pour me frotter à sa main un moment. S’il avait pu me gratter sous les oreilles, ç’aurait été encore mieux, mais il ne fallait pas trop espérer. Alors, je m’écartai et repris ma forme humaine.

— « Irami ! Wezi ya rusin du-pe tue ya ho reibura-lô. Bonwish ja lai-la ? »

— « Irami ! J’ai emporté une autre jarre de vin. On la partage ? »

Xazwai-sha Irami du lada-tsoa-yo, zuydi pi ge taori-xal-shana, il-mi-tafu :

Embarrassé, Irami se leva et s’éloigna de quelques pas en disant :

— « Tolyi ya bun li ushayi xashi-lô, ji du. Nalapun-xa. Kal ho bura-xoy. »

— « J’ai bu assez pour toute une décennie. Habille-toi. Tu vas prendre froid. »

— « Xoxo, ustu ao li nari li usa-to-fe-xeiye ? »

— « Hoho, c’est maintenant que tu t’inquiètes de la pluie ? »

Aitsu du shasha fugao-jaga-yi, arji xogal fu kiaqnin ba kal ho bura ja marayusa xal ja. Ji du xamasi-to-mi. Cho sha kiq li fu ja dopabaido-fu-mi-lô. Fa yixu go, ji du Irami ho mo dopa-nante xama-tsoa-mi-lô. Ai baotsu yo sine futoria ja betsi-mi-lô.

Il savait bien pourtant que les maîtres du ki comme nous prenaient rarement froid. J’eus un rire. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été de si bonne humeur. Après un an, je me réjouissais de retrouver Irami. Sa présence bienveillante et sereine m’avait manqué.

Resisa ho nofuyagi go ji du rusin ge gulu-to-mi.

Une fois ma tunique ajustée, je pris une longue gorgée de ma jarre.

— « Puaxa ! Botabota ! » Irami ya arata-to-suren gaoga ho pei-yo mugi-to-mi. « Bu du lai-xal-tafu-fe-lô : aitsu ba rifai ya joe li pe mechame chai sha-sha-lô. Di ? »

— « Ah ! Qu’est-ce que ça fait du bien ! » Je reçus le regard pénétrant d’Irami et fis une moue. « Tu es en train de penser : il est bien mieux sous sa forme de renard. Pas vrai ? »

Aitsu du maira ho fagu-to-mi.

Il secoua la tête.

— « Bu ya mun-lô », ja naruzushi il-mi.

— « Tes yeux », fit-il tout simplement.

Ah. Aitsu du fuy-tafu-fe-lô, shufu ya joe li ji ya mun ba, sowado ge beltsa fu-jaga, omen, dindin mirpa li otsoa-mi. Sowan, ji ba piska dichaime xashi-yo kankoro ya bai li da jixa du yama-to-mi. Mirpa xue ya ki du shihito ya danga ho zonguhup yo onsatsoro yaxari xisho ge neke-tsoa-mi. Dabilage, mirpa xue ba bachuk-tsoa-baripi ja ichake-fu-lô — yo, furul, amabige fu-lô, bila-la, ji du are yixu li-ge yokaxoro-yi-mi bila : shihito yo tue kuñu ya kuha ba ji ya ane mirpa ki ya selgiria ho alka-yao ja. Yogo, xisho, tsai ho dereteki-ñu-mi.

Ah. Voulait-il dire que mes yeux, d’habitude noirs sous ma forme humaine, avaient pris une teinte pourpre ? Cela m’arrivait quand je buvais un peu trop et que je baissais ma garde. Le ki des bêtes pourpres se relâchait à cause de l’alcool, aspirant et neutralisant son poison. C’est pourquoi une bête pourpre pouvait difficilement devenir ivre — et bienheureusement car j’avais découvert depuis des années que l’alcool et d’autres produits fermentés pouvaient stimuler ma production de ki pourpre interne. Alors, forcément, j’y avais pris goût.

Utsani-lô, shufu du mirpa ki ba ogaiche-fu ja sobai lai-mi-lô, nishbilage tafu : shufu ba Gina ya Waraba ya Danxi li irini xue fu xogal xisho ki du shain ki-fu-yi, chai nagal ki-fe ruxe ki-fe dao ki-fe nano-lô. Araitsu omen, ogaichaki osha mirpa ki du xuashor-dire sogarila xosh ya ki-fu, yochai toabul ya aq ya ki. Dage, me da bai li, okal kata du ji ya mirpa mun ho baopun pe, ji ba janme ogaiche aq li kidoari-to ja lomai-mi-losie. Sieshage, ji ba ogai xue ya miu yo shufu ya miu-fu zerfwo fuxue-fu-nante uzashu du megmeke danlai-mi-lô. Ma, xolxoga, tsaipe, ji ba nanfa ya xue ja lai-laho-mi-losie. Dabilage Irami du ji li bonusa-to-mi.

Le problème, c’est que le ki pourpre était taxé de démoniaque par les humains, dont l’énergie naturelle, comme chez la plupart des bêtes vivant au sein de l’Empire des Plaines Centrales, était le ki doré ou, comme on l’appelait plus couramment, le ki, l’énergie belle ou le ki spirituel. Pour eux, l’énergie pourpre, le ki-démon, était le ki des malheurs venant des montagnes, l’énergie des arts interdits. Ainsi, si quelqu’un, à l’instant, avait vu mes yeux pourpres, il aurait conclu que je cultivais quelque art vraiment démoniaque. Personne, assurément, n’aurait pu imaginer que j’étais une créature hybride, moitié bête-démon moitié humain. Enfin, même ainsi, on n’aurait pas moins pensé que j’étais une bête dangereuse. Voilà pourquoi Irami s’inquiétait pour moi.

Ji du xol-dwishiq danga ho otsoa-suren yaxari mirpa ki ho neige tuayaq-to-mi. Zuydi zifi ba ushayi-mi. Mun ba guayxoro ge beltsa-tsoa ja fugao-shana, ji du zuwixi-mi.

Je contrôlai mon ki pourpre afin de transformer le poison plus efficacement. Quelques secondes me suffirent. Conscient que mes yeux étaient redevenus noirs, j’esquissai un sourire.

— « Ñaomao ! »

— « Voilà ! »

Ja-yo rusin ge gulu-to-yo Irami-dire chandali ya mugi ja zugao-mi. Aitsu du taori-to-mi, kisur ya abol ya yalya ho banja-ran-shana. Xamasi-to-xal ji du olur-to-mi. Arji du ar abol ya tan li zooy ge zuguay-mi. Zuay ge suanliri-to, yogo, miza ho mufo ya bai li, shishi ya xoa du bonfaikai-to-mi. Saiki ho rangao-mi : ji du-pe Ushwu Xaishor li yogo zu ayulen ya wanxuay li gira-to Dan Bael ya Sawush ho, soreni Irami ja tawe Namgath ya oshon wei sibuton wei suwarsuwar-to-mi beltsa suan ho. Nari ya buchi du belka belar ya ma li natel xotie bin-to-mi-lô.

Puis je repris une longue gorgée de ma jarre, arrachant à Irami l’ombre d’une moue exaspérée. Il s’éloigna, tenant toujours la fleur d’abricotier. Riant, je le rattrapai. Nous marchâmes en silence sous les arbres. Les nuages s’éclaircissaient et, quand nous sortîmes de la forêt, un rayon de soleil nous accueillit. Nous contemplâmes le paysage : moi, le Pic des Trois Sages qui menait aux Montagnes Perdues et à mon foyer d’enfance, lui, les nuages noirs qui glissaient vers le sud-ouest, vers le lointain clan des Namgath. Les gouttes de pluie sur l’herbe verte brillaient comme des perles.

Ji du zonguhup-yo gixue yo musoy yo selbai ya yalya ho ñebu-mi. Ji ya muñe ya ki ba unchia ya tintsur ya ueza ho zao-jaga ogai xawo ja saray-zaye. Da xal li, Irami irmen-mi-tafu :

Je pris une grande bouffée d’air qui sentait l’humus, la mousse et les fleurs du printemps. Mon flair repéra les traces de plusieurs lapins et d’un hérisson, mais pas de traces de loups-démons. Alors, Irami demanda :

— « Dansa go, bu xoga wanwai-fe ? »

— « Après l’Académie, tu es toi aussi rentré chez toi ? »

Aitsu du jise laila ja marayusa irmen bila, xol-itse, ji du nukinuko-to-shin-ñu-mi-xeiye. Jaga baogombo-yo sietuay-mi.

Il était rare de l’entendre poser une question personnelle et, un instant, j’eus l’envie de le taquiner. Mais je me ravisai et acquiesçai.

— « So amiyi ranbai araitsu tie baibuay-lô. Shuyeh seysey ba ji ho minmi-boe, sugoy-di-lô ? Narawul nano ozachi tie ji ba sirigaosi-to ya komie yori li, aitsu du yuxo twan buma-mi-jaga. Xisho, bonlei-ganba, ji du. Aitsu du ruxe rifai li otsoa-lô. Ai gana du aipa ya xotie yuzu saal-fu-lô. Soreni, ai zaxu du ji ya xotie sen dan-fu-boe ! » Aitsu ba cho tsu yo edel-fu ja ji ba xol-xama-file gao ya yori ho minmi bila, ji du wixi-to-mi. Irami ho mo gugao-mi. « Ja, kal ya aise ba kai-mi, ja-yo ar wedo li mirpa ki du zuo-lô. Araitsu du chai mae xua li tuanbe-xalao-mi. Ji du shufu ja ustu miu ge fu, xolxoga xuay-dama ki du ji li-du janjan chai runie-fu-lô. Ja, ji du orasaldi-to-yo tan wei guay-mi. Foyi du-pe, Balka ya Lanxua li baibuay-lô. » Turi isha ge ji du il-ran-feyusfe. Yelyeh ya ishawoda yo Ugaye Mun iyoyo… siun il-shin-tafu-jaga, enkusa ja yus fu-mi-lô. Ja, ji du Shinbalka ja mo lai-yi, ai ruxe gonbaur, ai burone yo xambuhao-file basaye ho, yogo wixi-to-mi. « Ruxe toki-fu-lô. Lugu ya desa ba ergia-fu-lô. Kisur ya abol ba afil fu-lô, soreni nefa ya xoga, lugu ya xoga… Gao-xabao-xa, Irami. »

— « J’ai passé toute la saison chaude avec eux. Mon frère Shuyeh se souvenait de moi, tu te rends compte ? Il n’avait que huit ans la dernière fois que je suis passé le voir avec Grand-Père Naravoul. Alors, je l’ai gâté autant que possible. Il est devenu un beau renard au pelage aussi blanc que celui de mon père. Et il fait trois fois ma taille ! » Je souris rien qu’en me souvenant de la joie que j’avais ressentie en le voyant si sain et si fort. Je regardai à nouveau Irami. « Alors, les vents froids sont arrivés et le ki pourpre s’est affaibli dans les vallées. Ils ont dû partir vers les hauteurs. L’énergie, là-bas, est bien trop dense pour moi, même si je ne suis qu’à moitié humain. Alors, j’ai fait mes adieux et je suis redescendu. J’ai passé l’hiver dans la Province des Émeraudes. » J’hésitai, soudain le cœur serré. Je voulais lui parler de ce qui s’était passé, de Yelyeh, de l’Œil Renversé, mais… il n’y avait pas d’urgence. Alors, je songeai à la Cité Émeraude, à ses belles avenues, à ses marchés bruyants et joyeux, et je souris. « C’est un bel endroit. Leur tarte aux pommes est délicieuse. Et c’est plein d’abricotiers, de cerisiers et de pommiers… Tu devrais voir ça, Irami. »

— « Mm », ja aitsu du naruzushi il-mi-jaga, ji du danlai-tafu : ji ya aipa yo baji ba shasha zao-tsoa ja aitsu ba xama-to-mi-losie.

— « Mm », fut sa seule réponse, mais je pus deviner qu’il se réjouissait que tout aille bien pour mon père et mon frère.

Ruts li olur-to pya wei, piun ho tan wei guay-xal-mi ya bai li, Irami il-mi-tafu :

Nous descendions la pente vers le chemin qui menait au village quand Irami dit :

— « Zangsa. Da doxirnin ya fubar du… nano ja laxai pyabura-fe ? »

— « Zangsa. Ce groupe de quêteurs… tu as déjà pensé à un nom ? »

Zubai ge, rejin-to ji du orinshila. Sokyori-fe-boe ? Gabi ? Xolaligo, aitsu du ji li yus mechame obarbaxu-to-laho-di ? Ji du kolainin ya fwo li orsha-to-mi.

Une seconde, je demeurai coi de surprise. Il était partant ? Vraiment ? Je ne l’agaçais pas tant que ça, tout compte fait, hein ? Je pris une pose de penseur.

— « Ja, Iote Burkas Ozei ja lai-la ? »

— « Pourquoi pas… les Nobles Dragons Rebelles ? »

— « Xem. Burkas ja yus. Arji du yus toyobinin-fu-lô. »

— « Hum. Rebelles, non. Nous ne sommes pas des bandits. »

— « Ah, sie, nishiwo, gedai-laho-yao-lô. Ja, Uzkaishu. »

— « Ah, c’est vrai, c’est vrai, on peut confondre. Indociles, alors. »

Mik, aitsu ba kyoka-to-yo il-mi-tafu :

À mon étonnement, il marqua son approbation puis dit :

— « Iote ja nishiwo yo mushan ya fuisha-yone… Jaga Ozei ja bila-la ? »

— « Nobles, dans le sens de justes et d’honnêtes… mais pourquoi Dragons ? »

— « Bila-lô. Edel-zawun. Ahasi-to-lô. »

— « Parce que. Ça fait puissant. Ça fait peur. »

Usgabi milaushil-laho Irami du ji ho gugao-mi. Ruts wei wedo ya tan wei guay-shana, ji du chai serbilairia ho rei-ran-mi. Xolaligo, arji du biri kyoka ja yus dwo-jaga, ao ge, arji ya doxirnin ya fubar du pao-sha-losie. Utsani dwo-xabao ya du arji xogal chafil mafiki-diu zago ho kaitia ja fu-mi-lô.

Irami me regarda avec un air peu convaincu. Je lançai d’autres arguments tandis que nous descendions vers le village. Au bout du compte, nous n’arrivâmes à aucun consensus, mais notre groupe de quêteurs était formé. Il ne nous restait plus qu’à trouver d’autres vagabonds sans abri comme nous.

Zangsa ya Fa ban ya izar.Fin du premier chapitre de Zangsa.