Accueil. Cycle de Shaedra, Tome 6: Comme le vent
Ceci est un glossaire de quelques mots-clés de l’histoire pour aider à comprendre le monde. C’est un aide-mémoire et il n’est pas du tout indispensable de le connaître. D’ailleurs, l’auteure elle-même oublie quelquefois ses jours de la semaine.
Un saïjit est un groupe créé arbitrairement qui contient les races humanoïdes suivantes : bélarque, caïte, nain des cavernes, nain des bois, elfe noir, elfe de la terre, elfocane, faïngal, gnome, humain, hobbit, mirol, nuron, orc noir, orc des marais, orquin, sibilien, ternian, tiyan. Dans la Terre Baie, les saïjits vivent en moyenne 120 ans.
Entrée qui fait communiquer les Souterrains avec la Superficie.
Il y a six jours par semaine : Javelot, Druse, Lubas, Griffe, Blizzard, Guiblanc.
Il y a douze mois de trente jours dans un an. Au printemps : Planches, Ruisseaux, Gorgone. En été : Cerf, Mussarre, Amertume. En automne : Épine, Ossune, Vidanio. En hiver : Corale, Saneige, Ports.
Les Pagodes sont des centres d’apprentissage en Ajensoldra. Généralement, tous les enfants de six à douze ans y reçoivent les bases de leur éducation. On les appelle alors les nérus. Après les douze ans, ceux qui souhaitent devenir celmistes, Sentinelles, etc. restent à la Pagode. Un pagodiste deviendra snori, puis kal et cékal. Le rang des orilhs est réservé pour ceux qui ont accompli les Années de Dette et ont su se forger une réputation.
Il existe deux grands types d’énergies : les énergies darsiques et les énergies asdroniques. Les darsiques sont des énergies qui sont toujours présentes, elles sont naturelles et intrinsèques : le jaïpu, le morjas et le païras sont les trois énergies darsiques les plus connues. Les énergies asdroniques sont des énergies créées —que ce soit par des celmistes ou par des phénomènes naturels—. Elles sont nombreuses. La bréjique, l’orique, la brulique, l’essenciatique, la mortique, etc. sont des énergies asdroniques.
Un apathique est une personne, généralement un celmiste, qui arrive à consumer entièrement sa tige énergétique et subit une perturbation mentale, temporelle ou chronique.
La nécromancie est l’art de moduler le morjas des os. Un sortilège nécromancien génère de l’énergie mortique. Un squelette mort-vivant est empli d’énergie mortique. Les nakrus, les liches et les squelettes-aveugles sont capables de se régénérer tout seuls à partir de leurs os.
Les démons saïjits sont des saïjits dont la Sréda a subi une mutation. Dans le monde des démons, il existe des communautés, dont certaines sont dirigées par des démons portant le titre ancestral de « Démon Majeur ». Les tahmars sont des démons ne pouvant pas revenir à leur forme saïjit, contrairement aux yirs. Les kandaks ou sanvildars sont des démons ayant perdu tout contrôle sur leur Sréda et ayant subi une perturbation mentale brutale.
Ajensoldra possède six villes principales : Aefna, Kaendra, Belyac, Agrilia, Neiram, Yurdas et Ato.
Aefna est la capitale d’Ajensoldra, située à l’ouest. Là sont installées la plupart des grandes familles d’Ajensoldra (dont les Ashar ou les Nézaru). La Place de Laya divise la ville du sud-est au nord-ouest, séparant le Temple, les palais et le Palais Royal du centre-ville et du Sanctuaire.
Pour une durée d’environ quatre ans, sont élus deux enfants du peuple, de moins de quatorze ans, comme Fille-Dieu et Fils-Dieu d’Ajensoldra, représentants de la religion érionique. Alors que la Fille-Dieu vit dans le Sanctuaire d’Aefna et remplit une fonction plutôt centrée sur les pèlerins et les prêtres et prêtresses, le Fils-Dieu est censé réaliser des voyages entre les villes ajensoldranaises, mais il vit la plupart du temps dans le Palais Royal de la capitale. Tous deux doivent impérativement assister aux grandes cérémonies du Temple d’Aefna.
Cette pagode, située près de la ville de Kaendra, est considérée comme une relique, car elle est protégée par un sortilège très ancien qui la rend invisible de loin.